Etre réanimé à tout prix ou pas ? Incinéré ou inhumé ? Testament ou pas ? Penser aux détails du jour où on quittera ce monde n’est pas facile, mais c’est encore plus difficile pour les proches qui restent lorsqu’ils ne savent pas ce que le défunt aurait voulu. Voici six démarches à préciser avant la mort pour être sûr de faire respecter ses dernières volontés.

Don d’organe : le refus doit se dire avant la mort

On est tous donneur d’organes et de tissus par défaut après notre mort. Trois grands principes régissent le processus pour que le don d’organe puisse être valide : le consentement présumé, la gratuité du don et l’anonymat du donneur et du receveur. Il y a toujours plusieurs moyens de le refuser, mais pour ça il faut le dire avant le décès. Il n’est pas toujours facile de penser au jour où l’on va quitter ce monde, mais c’est important d’en parler pour faire respecter ses dernières volontés et éviter une souffrance supplémentaire aux proches en se demandant s’ils ont fait le bon choix. 

Comment faire savoir si on refuse de donner ses organes ? Depuis le 1er janvier 2017 un nouveau décret précise que pour refuser le don d’organe, il faut s’inscrire sur un registre en ligne, transmettre un document écrit, daté et signé à l’un de ses proches ou le dire oralement…

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