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Trouble de l’audition : la définition de l’hyperacousie

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L’hyperacousie se définit par une perception paroxysmique des sons moyennement forts. En présence d’une hyperacousie, le traitement inclut une rééducation vestibulaire.

Hyperacousie : définition

L’hyperacousie est un terme qui désigne une intolérance aux sons dont l’intensité est pourtant parfaitement tolérable. On ne connaît pas la cause exacte de cette hypersensibilité au bruit. Cependant, les spécialistes pensent qu’elle pourrait être due à une exposition excessive aux sons de haute intensité, à des dommages au niveau des cellules régulatrices, à une infection, à un traumatisme crânien, voire à l’autisme dans certains cas. L’hyperacousie concerne près de 50 % des sujets qui souffrent d’acouphènes. Elle peut s’accompagner de symptômes divers comme des nausées, des maux de tête, et certains patients se plaignent d’être anormalement fatigués.


Hyperacousie : un trouble handicapant

L’écart entre la zone de confort et la zone de douleur est considérablement réduit chez le sujet présentant une hyperacousie. C’est la raison pour laquelle – en présence de sons d’intensité modérée – la perception de la douleur est plus rapidement…

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Audition : qu’est-ce que l’hypoacousie ?

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L’hypoacousie est une atteinte de la fonction auditive. Entre hypoacousie de perception et hypoacousie de transmission, la définition diffère.

Hypoacousie : définition

Il existe deux formes d’hypoacousie qui se distinguent selon la zone de l’organe de l’audition qui est concernée. On peut donc être en présence d’une hypoacousie de transmission ou d’une hypoacousie de perception. Dans le premier cas, le conduit auditif externe et l’oreille moyenne sont touchés. Les otites à répétition qui affectent osselets et tympan peuvent en être la cause. Dans le cas de l’hypoacousie de perception, fibres nerveuses et cochlée sont concernées. Cette forme d’hypoacousie trouve son origine dans la maladie de Ménière, le vieillissement, ou encore dans un traumatisme comme la fracture du rocher. Quelle que soit la forme d’hypoacousie, celle-ci se définit par une perte des capacités auditives d’intensité variable. La surdité est une hypoacousie totale. L’atteinte de la fonction auditive peut concerner une seule oreille ou les deux. Lorsque l’hypoacousie touche les deux oreilles, on parle d’hypoacousie bilatérale.


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Traitement des acouphènes : un remède naturel

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Le traitement des acouphènes peut être allopathique. Mais les acouphènes ont des causes variables et les remèdes sont tout aussi divers.  

Acouphènes : les causes

D’intensité variable, les acouphènes sont des sons parasites qui peuvent s’avérer handicapants. Il peut s’agir de bourdonnements dans les oreilles ou encore de sifflements, parfois d’une sensation d’oreille bouchée ou d’oreille pleine. Les acouphènes ont des causes variées comme un bouchon de cérumen, la plongée sous-marine, un voyage en avion ou l’exposition à long terme de sons à haut volume. Leur origine peut aussi être pathologique comme c’est le cas de l’affection ORL ou encore de la maladie de Ménière.


Acouphènes : les remèdes

Trouver un remède contre l’acouphène permet d’améliorer considérablement son confort de vie. Lorsque la cause de l’acouphène ne justifie pas de traitement allopathique, il est nécessaire de rechercher un remède naturel contre l’acouphène qui puisse donner de bons résultats. Pour réduire l’intensité des acouphènes, la médecine chinoise vante les mérites des graines de sésame grillées ou crues, consommées au…

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Dévitalisation d’une dent : les étapes chez le dentiste

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Dans la grande majorité des cas, une dent est dévitalisée avant la pose d’une couronne dentaire. Cet acte indolore se déroule en trois étapes.

Dévitalisation d’une dent : déroulement de la séance

Relevant du domaine de l’endodontie – spécialité qui traite l’intérieur des dents – la dévitalisation d’une dent est effectuée après une radiographie et un examen clinique. Cela permet au dentiste d’établir un diagnostic avec précision. Il procède ensuite à une anesthésie locale afin de rendre la zone concernée totalement insensible. L’objectif est d’éviter au patient tout risque de douleur au cours de l’intervention. La dévitalisation de la dent peut commencer. Elle dure entre trente et soixante minutes selon les cas et s’effectue en trois étapes, à savoir : création d’une voie d’accès permettant au dentiste d’atteindre les racines de la dent ; nettoyage, élargissement et désinfection des racines ; obturation des racines afin de les rendre imperméables à tout risque d’infection.


Mal de dents : que faire ?

Lorsqu’un mal de dents sévit au point de perturber le quotidien du patient, la dévitalisation d’une dent…

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Dents : qu’est-ce que l’inlay core sans clavette

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L’inlay core est le support sur lequel le chirurgien-dentiste pose une couronne ou une céramique afin de restaurer une dent très abîmée. Cette pièce métallique permet la reconstruction de la partie invisible d’une dent dévitalisée ou non.  

Rôle de l’inlay core

L’inlay core est une solution de reconstruction à laquelle les dentistes ont recours pour poser une couronne lorsque ce qu’il reste d’une dent cassée ou cariée ne constitue plus un support suffisant. L’inlay core appelé aussi faux moignon ou encore dent sur pivot reconstitue donc la partie invisible de la dent. Après la prise de mesures de la dent, cette pièce prothétique est fabriquée par un prothésiste. Sa pose est possible sur une dent dévitalisée et sur une dent vivante. L’inlay core ne doit pas être confondu avec l’onlay qui, lui, sert à reconstituer la partie visible d’une dent. Il existe un inlay core à clavette utilisé lorsque la dent concernée est pluriradiculée ou que ses racines sont divergentes. L’inlay core à clavette évite que la prothèse ne se descelle avec le temps. C’est tout simplement un inlay core verrouillé grâce à un tenon ou clavette.


Inlay core, avantages et inconvénients

L’inlay core est une solution prothétique qui…

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Hormones DHEA : les effets secondaires

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Appelée hormone de la jeunesse, la DHEA est controversée. À dose élevée et à long terme, la DHEA entraînerait des effets secondaires sur la santé.

Qu’est-ce que la DHEA ?

Naturellement produite par les glandes surrénales, la DHEA, déhydroépiandrostérone, est une hormone stéroïdienne. C’est avant l’âge de 20 ans que le taux de DHEA dans le sang est le plus élevé puis il baisse régulièrement au cours de la vie. Le rôle essentiel de la DHEA est de synthétiser la testostérone et les œstrogènes, des hormones sexuelles. Pour ses éventuels effets contre le vieillissement, les symptômes de la ménopause, la fonte musculaire, l’obésité, mais aussi pour ses facultés à restaurer les performances physiques et les fonctions sexuelles, la DHEA a été largement médiatisée. Aujourd’hui, les avis scientifiques sont partagés.


DHEA, une hormone aux effets secondaires

Afin de rétablir le taux de DHEA, cette hormone de la jeunesse a été fabriquée en laboratoire à partir de substances végétales, car il n’existe aucune source alimentaire qui permette de combler le déficit en DHEA. Or, une supplémentation excessive en hormone DHEA…

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Comment blanchir ses dents naturellement avec du curcuma ?

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Si blanchir les dents est le souhait de nombreuses personnes, le tarif des traitements chimiques est souvent dissuasif. Alors comment employer l’eau oxygénée pour des dents blanches ? Et quid du curcuma ?

Comment utiliser l’eau oxygénée pour des dents blanches ?

L’eau oxygénée est un composé chimique principalement connu pour son utilisation comme désinfectant et agent de blanchiment, notamment du papier et des cheveux. À des doses extrêmement faibles, soit une cuillère à café d’eau oxygénée stabilisée à 10 volumes, elle peut être employée avec l’accord d’un dentiste pour blanchir les dents, au même titre que le curcuma.
L’eau oxygénée se mélange généralement à une demi-cuillère à café de bicarbonate de sodium et peut s’utiliser une à deux fois par semaine.


Comment préparer un blanchiment dentaire maison avec du curcuma ?

Le curcuma est quant à lui une épice de couleur jaune orangé bien connue pour son utilisation qui en est faite en cuisine : carry réunionnais, samoussas et curry indien… Toutefois, il faut savoir qu’il s’emploie également dans les médecines traditionnelles chinoise et ayurvédique ainsi qu’en phytothérapie dans les pays…

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6 conseils pour faire baisser ses gamma GT

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Les gamma-GT sont des protéines présentes dans les reins, l’intestin mais principalement dans le foie et les voies biliaires. Le taux normal dans le corps ne doit pas dépasser les 40 UI/L en moyenne. Les vôtres sont trop élevés ? Les conseils du Dr Bernard Grunberg, gastro-entérologue, pour les faire baisser naturellement. 

Reprendre une alimentation équilibrée et saine

Un régime alimentaire sain contribue à faire baisser les gamma-GT. 
Pourquoi : ces dernières peuvent augmenter avec de mauvaises habitudes alimentaires comme des excès réguliers de graisses, de sucre… et tout ce qui pourrait augmenter le surpoids, le cholestérol et les triglycérides.
Que faire : limiter les …

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Fin de vie : qu’est-ce que l’acharnement thérapeutique ?

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Derrière l’acharnement thérapeutique se cache en réalité une obstination démesurée de poursuivre une ou plusieurs thérapies dont les effets n’apporteront aucun bénéfice au malade. Mais à partir de quand peut-on parler d’acharnement thérapeutique ? Que dit la loi ?

L’acharnement thérapeutique, à partir de quand ?

Dans le langage médical, on parle d’acharnement thérapeutique lorsque des thérapies sont instaurées sans qu’elles n’aient d’impacts positifs sur la santé du patient ou sur l’évolution de sa pathologie. Il s’agit ici d’une thématique relevant de l’éthique médicale et qui fait régulièrement l’objet de polémiques puisqu’il s’agit d’un sujet subjectif et extrêmement sensible. A partir de quand juge-t-on que l’emploi ou la recherche de traitements est déraisonnable ? La réponse à cette question varie en fonction de nombreux paramètres tels que l’âge du patient, la pathologie dont il souffre, les souhaits qu’il a émis en toute conscience…


L’acharnement thérapeutique, quel cadre législatif ?

Depuis plusieurs années, les pouvoirs publics se penchent sur la question de la fin de vie en essayant de constituer une législation complète sur le sujet. En 1999, une première loi dite « Kouchner » a été votée afin de développer l’accès…

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Raloxifène : un traitement de la ménopause efficace contre l’ostéoporose

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La ménopause se caractérise par une baisse progressive de la production d’œstrogènes. Cette diminution naturelle peut, chez certaines femmes, accroître le risque d’ostéoporose et nécessiter la mise en place d’un traitement hormonal de substitution. Le Raloxifène en est un.

Le traitement hormonal de substitution, pour qui ?

Il arrive que pour certaines femmes, la période de la périménopause devienne cauchemardesque. Les signes cliniques induits par les fluctuations hormonales deviennent tellement prégnants qu’ils impactent considérablement leur qualité de vie, sans parler du fait que le risque d’ostéoporose est également plus important. Dans ce cas précis, l’administration d’un traitement hormonal de substitution (THS) est parfois envisagée par le médecin gynécologue au terme d’un bilan médical complet. Si le recours à ce type de traitement n’est pas fréquent, c’est parce qu’il n’est pas dénué d’effets indésirables potentiellement graves. En effet, les THS peuvent accroître les risques de cancer du sein, de cancer des ovaires ou encore de maladies cardiovasculaires. Leur prescription est donc soumise à une surveillance médicale drastique et ne peut être que provisoire.


Le Raloxifène, comment ça fonctionne ?

Le Raloxifène fait partie…

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