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Stress : découvrez ce qui le provoque et comment le gérer efficacement

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Comprendre le stress : qu’est-ce que c’est ?

Le stress est une réaction physiologique et psychologique face à une situation perçue comme menaçante ou exigeante. Il mobilise notre organisme pour faire face à un défi, qu’il soit imminent ou simplement anticipé. Le stress peut être ponctuel, appelé « aigu », ou durer dans le temps, ce qui le rend « chronique ».

Définition du stress

Lorsque nous sommes confrontés à une situation stressante, notre cerveau active le système nerveux sympathique. Cela provoque la sécrétion d’hormones comme l’adrénaline et le cortisol. Ces hormones préparent notre corps à réagir rapidement, en augmentant la fréquence cardiaque, la pression artérielle et en libérant de l’énergie pour faire face à la menace.

Une réponse adaptée et temporaire est souvent bénéfique, car elle permet de réagir efficacement. Cependant, un stress prolongé ou mal géré peut avoir des effets négatifs sur la santé.

Les mécanismes physiologiques du stress

Face à une situation stressante, le cerveau active le système nerveux sympathique, entraînant la libération d’hormones telles que l’adrénaline et le cortisol. Ces substances préparent le corps à une réaction immédiate, en accélérant le rythme cardiaque, en augmentant la pression artérielle et en mobilisant de l’énergie.

Si cette réaction est adaptée, elle peut être utile. En revanche, un stress chronique peut avoir des effets délétères sur la santé.

Les effets du stress sur le corps humain

Impacts immédiats

  • Augmentation du rythme cardiaque et de la pression artérielle
  • Libération d’adrénaline et de cortisol
  • Diminution de la digestion et de la réponse immunitaire
  • Réaction de « combat ou fuite »

Conséquences à long terme

Lorsque le stress devient chronique, il peut engendrer plusieurs problèmes de santé :

  • Système cardiovasculaire : risque accru d’hypertension, d’athérosclérose, voire d’accidents comme l’infarctus ou l’AVC.
  • Système immunitaire : affaiblissement des défenses, plus grande vulnérabilité aux infections et maladies auto-immunes.
  • Système digestif : troubles digestifs, gastrites, syndromes du côlon irritable.
  • Système nerveux : troubles du sommeil, anxiété, dépression.
  • Santé mentale : fatigue mentale, perte de concentration, troubles de l’humeur.

Le stress peut-il provoquer des maladies ?

Les maladies directement liées au stress

Il est important de préciser que le stress n’est pas toujours la cause unique de certaines maladies. Cependant, il peut fortement contribuer à leur apparition ou à leur aggravation.

Voici quelques exemples de maladies dont le lien avec le stress est bien connu :

  • Maladies cardiovasculaires : Le stress chronique augmente le risque d’hypertension, d’athérosclérose, et peut favoriser les infarctus ou AVC.
  • Troubles psychologiques : Le stress prolongé peut conduire à la dépression, à l’anxiété ou à des troubles du sommeil.
  • Maladies auto-immunes : Certaines études suggèrent que le stress peut favoriser des maladies comme la sclérose en plaques ou la maladie de Crohn.

Les maladies où le stress agit en facteur aggravant

Au-delà des causes directes, le stress peut aggraver d’autres pathologies :

  • Diabète : Il peut augmenter la glycémie en libérant des hormones anti-insuline.
  • Asthme : Le stress peut déclencher ou intensifier des crises.
  • Maladies dermatologiques : Eczéma ou psoriasis peuvent s’aggraver en période de stress.

Comment le stress influence-t-il l’apparition des maladies ?

Les mécanismes biologiques

Le stress chronique entraîne une production prolongée de cortisol, une hormone qui, en excès, peut perturber le fonctionnement de plusieurs organes. Par exemple, un taux élevé de cortisol favorise l’accumulation de graisse abdominale, augmentant le risque cardiovasculaire.

De plus, le cortisol affaiblit la réponse immunitaire, rendant l’organisme plus vulnérable aux infections et ralentissant la réparation des tissus.

Les comportements liés au stress

Le stress influence aussi nos habitudes, qui peuvent avoir un impact sur la santé :

  • Manger de façon excessive ou, au contraire, perdre l’appétit
  • Consommer davantage d’alcool ou de tabac
  • Adopter une vie sédentaire ou réduire l’activité physique
  • Alterner entre insomnies et hypersomnie

Ces comportements peuvent augmenter le risque de maladies ou compliquer leur traitement.

Comment gérer efficacement le stress pour préserver sa santé ?

Adopter des stratégies de gestion du stress

  • Pratiquer la relaxation : techniques de respiration, méditation, yoga ou sophrologie.
  • Faire de l’exercice régulièrement : une activité modérée aide à libérer des endorphines et à réduire le cortisol.
  • Maintenir une vie sociale active : partager ses préoccupations avec ses proches ou un professionnel peut soulager.
  • Organiser son temps : planifier, déléguer et prioriser pour éviter la surcharge.

Consulter un professionnel si nécessaire

En cas de stress chronique ou de troubles liés, il est conseillé de consulter un médecin ou un psychologue. Un accompagnement adapté peut prévenir l’apparition de maladies ou améliorer la gestion du stress.

Douleurs Au dos : comment soulager 95 % des Français en souffrance

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Près de 95 % des adultes en France souffrent de douleurs dorsales, selon une étude de l’Anses. Ces douleurs, souvent très inconfortables, touchent principalement la région lombaire, située en bas du dos. La façon dont on s’assoit, marche ou gère son stress influence directement cette zone.

Selon la Mayo Clinic, les douleurs dorsales sont la première cause d’invalidité dans le monde. Les traitements efficaces restent limités, mais certaines mesures peuvent aider à prévenir ou soulager les crises, notamment chez les moins de 60 ans.

Le neurochirurgien spécialiste de la colonne vertébrale, le Dr Baxter, partage ses conseils pour éviter ces douleurs au quotidien. À 45 ans, il applique lui-même ces recommandations.

Boire 3 à 4 litres d’eau par jour

Le Dr Baxter insiste sur l’importance de l’hydratation. « Bien s’hydrater est essentiel pour la santé de la colonne vertébrale. Cela maintient la souplesse des disques et limite leur usure », explique-t-il. Une étude dans le Journal of Medical Sciences montre que le noyau des disques intervertébraux contient en moyenne 73,5 % d’eau. Avec l’âge ou la dégénérescence, cette quantité diminue, fragilisant les disques. Boire suffisamment d’eau permet de garder ces disques souples et capables d’absorber les chocs. Le Dr Baxter recommande de boire entre 3 et 4 litres par jour.

Faire le plein de vitamine D

À l’approche de l’hiver, on reste plus souvent à l’intérieur. Pourtant, le Dr Baxter rappelle que la lumière du soleil est cruciale pour la production de vitamine D. Celle-ci est indispensable à la santé des os. En période sombre, il conseille la prise d’un complément alimentaire. La vitamine D favorise le mouvement, lubrifie les articulations, et libère des endorphines, ce qui réduit la douleur et améliore l’humeur.

Un petit-déjeuner équilibré et un déjeuner anti-inflammatoire

Le lien entre alimentation et douleurs dorsales est direct, selon le médecin. « La santé de l’intestin et celle de la colonne vertébrale communiquent », rappelle-t-il. Une bonne santé intestinale protège la colonne. Il recommande un petit-déjeuner avec des baies, des noix, deux cuillères de kéfir et un peu de cacao. Pour le déjeuner, privilégiez un repas anti-inflammatoire, comme dans le régime méditerranéen, riche en céréales complètes, légumes et poisson. Ce type d’alimentation réduit l’inflammation chronique et préserve la masse musculaire. En collation, il suggère des œufs durs pour les protéines et du kimchi pour la santé intestinale.

Faire de la musculation de résistance

Pratiquer régulièrement des exercices de musculation de résistance est également conseillé. Le Dr Baxter recommande des mouvements comme les squats, les fentes, le gainage ou le soulevé de terre léger. Ces exercices renforcent les muscles du dos et du tronc, ce qui aide à soutenir la colonne vertébrale. Il pratique lui-même cette routine cinq fois par semaine et constate une amélioration de ses douleurs dorsales.

« Correctement exécutée, la musculation renforce les muscles profonds, protège la colonne, et améliore la posture. Il n’est jamais trop tard pour commencer », affirme-t-il. Cependant, il met en garde contre le surmenage ou le port de charges trop lourdes, qui peuvent aggraver les douleurs, notamment chez les jeunes femmes.

Saunas et massages pour se détendre

Le stress peut aggraver les douleurs dorsales en perturbant la réparation cellulaire et le sommeil. Le Dr Baxter recommande de se détendre avec un sauna ou un bain froid quelques fois par semaine. Il pratique aussi un massage mensuel pour favoriser la relaxation. Ces thérapies manuelles peuvent soulager temporairement les raideurs dorsales.

Prendre une douche froide avant le coucher

Une douche froide avant de dormir aide à réduire l’inflammation et à mieux dormir. L’eau froide provoque une vasoconstriction, ce qui diminue les micro-inflammations dans les muscles et tissus autour de la colonne. Elle détend aussi le corps, moins tendu, ce qui réduit la pression sur les disques intervertébraux. Le Dr Baxter recommande de prendre une douche fraîche 20 minutes avant de se coucher pour favoriser l’endormissement.

Bien dormir

Le sommeil est crucial pour la réparation du corps. « Un bon sommeil aide à réguler la douleur chronique », souligne le médecin. Il conseille d’investir dans un matelas adapté et d’expérimenter différentes positions de sommeil. Selon lui, un matelas très ferme sans oreiller lui-même évite les douleurs cervicales. Une bonne qualité de sommeil est essentielle pour la santé de la colonne vertébrale.

Les signes précoces du vieillissement cutané à ne pas ignorer

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Les premiers signes du vieillissement cutané

Les rides commencent souvent à apparaître discrètement, notamment aux coins des yeux ou sur le front. Avec le temps, elles deviennent plus visibles. Leur apparition peut débuter dès l’âge de 25 ans, en raison du ralentissement naturel de la production de collagène, d’élastine et d’acide hyaluronique. À cela s’ajoutent des agressions quotidiennes comme le froid, l’air sec, les douches chaudes, le stress ou l’exposition aux UV. Ces facteurs endommagent la barrière cutanée et accélèrent le dessèchement de la peau. En conséquence, le teint devient terne, la peau perd en souplesse, et les ridules se marquent davantage.

Un soin de nuit pour stimuler le renouvellement cellulaire

Pour lutter contre ces signes de l’âge, certains soins privilégient le traitement durant la nuit, lorsque la peau se régénère naturellement. La crème Nivea Q10 s’appuie sur un ingrédient connu des spécialistes, mais souvent sous-estimé par le grand public : le Q10, ou coenzyme Q10. Présent naturellement dans l’organisme, sa production diminue dès la trentaine, ce qui fragilise la structure de la peau. Ce composé est reconnu pour favoriser la production d’énergie dans les cellules de la peau et stimuler le processus naturel de renouvellement cutané.

En association avec de la vitamine C et un extrait végétal énergisant, cette crème promet de redonner de l’éclat aux peaux fatiguées dès le réveil. Elle vise à hydrater en profondeur, uniformiser le teint et stimuler la production de collagène. La marque indique que la peau terne et fatiguée retrouve un aspect reposé, avec un teint plus lumineux au matin. Nivea, connue pour sa fameuse crème bleue en pot métallique, continue d’étoffer ses gammes avec des formules plus techniques, tout en restant accessibles.

Des résultats rapides selon les utilisatrices

Testée auprès de 107 femmes, cette crème de nuit anti-âge montre des résultats rapides. En seulement 24 heures, 90 % des participantes constatent une amélioration de l’hydratation. Selon leur auto-évaluation, ce soin offre une hydratation intense. Après deux semaines d’utilisation, les effets se renforcent. Près de 89 % remarquent une peau plus lisse et plus douce.

Une journaliste ayant interrompu son rituel habituel a également testé la crème pendant 7 nuits consécutives. Elle a observé une peau plus douce au réveil, un teint moins terne, et une meilleure tenue du maquillage durant la journée. Si les rides profondes ne disparaissent pas, la texture de la peau semble globalement améliorée. Cependant, elle précise que la crème offre surtout un bon équilibre entre hydratation et éclat, sans provoquer de transformation spectaculaire.

Composition et prix de ce soin anti-rides

Vendue à un prix abordable d’environ 15,99 €, cette crème de nuit contient des ingrédients couramment utilisés dans les produits haut de gamme : Q10 pur, vitamine C, vitamine E, glycérine, beurres végétaux et huiles nourrissantes. Son objectif est double : stimuler la régénération de la peau pendant le sommeil et renforcer la barrière d’hydratation naturelle.

Selon la marque, ce soin favorise le renouvellement cellulaire et stimule la production de collagène, contribuant ainsi à réduire l’apparence des rides et ridules. Adaptée à la plupart des types de peaux, il est toutefois conseillé de faire un test en cas de peau très sensible ou sujette aux imperfections. Sa texture légère, non grasse et non collante le rend agréable à utiliser, même pour dormir.

Attention aux bonbons acidulés : un brossage immédiat peut nuire à vos dents

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Les dentistes mettent en garde contre le brossage après avoir mangé des bonbons acidulés

Après Halloween, de nombreux enfants ont rapporté leurs bonbons, ce qui peut être source de problèmes pour la santé dentaire. Si tous les types de sucreries peuvent endommager les dents, certaines sont particulièrement dangereuses. Les spécialistes sont formels : les bonbons acidulés, qui piquent, pétillent ou laissent une sensation “aigre-douce”, sont à éviter.

Selon la chirurgienne-dentiste Catherine Mojaïski, sur BFMTV, « ce qui détruit l’émail des dents, c’est l’acide, que ce soit directement quand on consomme des aliments acides, ou le sucre qui, sous l’effet des bactéries, se transforme en acide ».

Un cocktail dévastateur pour l’émail

Les bonbons acidulés contiennent souvent des acides citrique, malique ou tartrique. Leur consommation provoque une chute rapide du pH dans la bouche. La salive devient alors plus acide, et la bouche commence à puiser dans les minéraux des dents, comme le calcium et le potassium, pour tenter de rétablir l’équilibre. Ce phénomène, appelé déminéralisation, fragilise l’émail et favorise le développement des caries.

La professeure Nadine Tassabehji, de la Tufts University School of Dental Medicine, s’inquiète particulièrement des confiseries collantes. Ces bonbons adhèrent aux dents plus longtemps, prolongeant l’exposition aux acides. Elle souligne qu’« ce mélange collant, acide et sucré est une véritable recette pour les problèmes dentaires ».

Le geste à éviter face aux attaques acides

Face à ces effets, certains pensent qu’il faut se brosser immédiatement après avoir mangé des bonbons. Pourtant, c’est l’un des pires réflexes à adopter, préviennent les dentistes.

La dentiste et créatrice de contenu @tadentistepreferee, sur Instagram, explique que « si on brosse tout de suite, on risque de répandre ces acides et d’endommager encore plus l’émail ». En effet, l’acide ramolli la surface de la dent, et le brossage peut alors agir comme un abrasif, aggravant l’érosion.

Le bon conseil ? Rincer la bouche avec de l’eau pour éliminer un maximum d’acidité ou de sucre, puis attendre au moins 30 minutes avant de se brosser les dents. Cela permet à la salive de neutraliser l’acidité et à l’émail de se renforcer à nouveau.

Pendant ce temps, il est conseillé de mâcher un chewing-gum sans sucre pour stimuler la production de salive, ou de boire un peu de lait, qui aide à neutraliser les acides grâce à son calcium, précise la professeure Tassabehji.

Quelques règles pour préserver ses dents

Il n’est pas nécessaire d’abandonner totalement les bonbons. L’essentiel est de limiter leur consommation et de respecter quelques règles simples. Par exemple, manger des bonbons à la fin du repas, plutôt qu’entre les repas, car la salive y est plus abondante et protège mieux les dents.

Il est aussi recommandé d’éviter les bonbons acides et collants, et d’utiliser un dentifrice fluoré. Le fluor contribue à reminéraliser l’émail et à le rendre plus résistant.

Enfin, il faut rappeler que malgré leur goût plaisant et leurs bulles piquantes, les bonbons acidulés ne sont pas sans risques. La professeure Tassabehji souligne que « les aliments fermentés sont bons pour notre microbiote intestinal, mais pas les bonbons acidulés. Ce ne sont que du sucre et de l’eau, et le goût acide provient d’additifs ou d’arômes ».

Grippe en France : peu de cas cette année, la saison sera-t-elle douce

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Situation actuelle de la grippe en France

Au début du mois de novembre 2025, le virus de la grippe est peu présent en France. Selon Santé Publique France, les indicateurs restent à leur niveau de base dans toutes les régions, avec seulement quelques cas sporadiques détectés, ce qui est habituel à cette période de l’année.

Retour sur la dernière épidémie de grippe

La dernière saison grippale s’est terminée en février 2025, après une période de trois mois. Cette épidémie a été plus longue que la moyenne et a été particulièrement sévère, touchant surtout les moins de 5 ans et les personnes âgées de plus de 65 ans. Environ 3 millions de personnes ont consulté un médecin pour des symptômes grippaux, et 29 000 ont été hospitalisées. La mortalité liée à cette épidémie a été importante, avec environ 14 100 décès excédentaires dans les communes les plus touchées, dont près de 5 000 liés directement à la grippe.

Qu’est-ce que la grippe ?

La grippe est une infection respiratoire aiguë causée par un virus Influenza. C’est une maladie très contagieuse qui survient chaque année en automne et en hiver. À la différence d’un syndrome grippal, qui peut être dû à d’autres virus respiratoires comme le rhinovirus ou le virus respiratoire syncytial, la grippe est généralement plus sévère, surtout chez les personnes fragiles.

Les virus responsables de la grippe

Les virus grippaux se divisent en deux types principaux : A et B. Le virus de type A comprend deux sous-types, A(H3N2) et A(H1N1)pdm09, et circule chez plusieurs animaux comme les canards, poulets, porcs, chevaux ou phoques. Le type B, quant à lui, circule principalement chez l’humain, sous deux lignages : B/Victoria et B/Yamagata. Seuls les virus de type A ont provoqué des pandémies à ce jour.

La contamination se fait principalement par contact avec une personne infectée ou via des objets contaminés. La transmission peut se produire par :

  • Voie aérienne : en respirant des gouttelettes de salive projetées lors de la parole, de la toux ou des éternuements.
  • Contact direct rapproché : en serrant la main ou en embrassant une personne malade.
  • Contact avec des objets contaminés : poignées de porte, téléphones, etc.

Symptômes typiques de la grippe

  • Grande fatigue
  • Frissons, même sans froid
  • Toux sèche et douloureuse
  • Fièvre pouvant dépasser 39°C
  • Courbatures
  • Maux de tête

En cas d’aggravation soudaine ou si l’état ne s’améliore pas après 72 heures, il est essentiel de consulter un médecin.

La toux lors d’une grippe

La toux est généralement sèche et douloureuse au début. Elle peut évoluer en toux grasse et durer jusqu’à trois semaines ou plus. Elle devient préoccupante si elle s’accompagne d’une fièvre persistante, de difficultés respiratoires, d’une coloration anormale de la peau, ou chez les enfants, de pauses respiratoires ou d’étouffements.

Vaccination contre la grippe

La campagne de vaccination commence chaque année le 15 octobre en France, en même temps que celle contre la COVID-19. Elle cible notamment les personnes âgées de 65 ans et plus, celles de plus de 6 mois avec des comorbidités, les femmes enceintes, les résidents en établissements de soins, ainsi que les professionnels de santé et les personnes en contact avec des individus vulnérables.

Les vaccins disponibles incluent Vaxigrip Tetra®, Influvac Tetra® et Fluarix Tetra®. Il faut compter environ 15 jours après la vaccination pour que l’organisme soit protégé. Il est conseillé de se faire vacciner avant l’arrivée des premiers froids ou le début de l’épidémie.

Durée de la grippe

Une grippe dure généralement entre 3 et 7 jours, avec une moyenne d’environ 5 jours.

Incubation et contagion

Le délai d’incubation, c’est-à-dire le temps entre la contamination et l’apparition des symptômes, est généralement de 24 à 48 heures, pouvant aller jusqu’à 72 heures. La personne infectée reste contagieuse en moyenne pendant six jours, et parfois plus, avant même de présenter des symptômes.

Contagiosité

Une personne grippée peut transmettre le virus dès avant l’apparition des premiers symptômes. La contagion peut se prolonger en moyenne jusqu’à six jours chez l’adulte.

Tests de dépistage

Il existe en pharmacie un test rapide d’orientation diagnostique (TROD) pour détecter la grippe A ou B. Ce test, réalisable sans ordonnance, nécessite un prélèvement nasal effectué dans les 24 à 48 heures suivant l’apparition des symptômes. Sa sensibilité est variable, étant moins fiable chez l’adulte, mais plus précise chez l’enfant. Certains laboratoires proposent aussi des tests antigéniques combinés pour détecter simultanément le COVID-19 et la grippe, avec un résultat en 15 à 30 minutes.

Traitements

  • Prendre du paracétamol pour faire baisser la fièvre et soulager les douleurs.
  • Consommer de la vitamine C et des aliments favorisant la récupération.
  • Utiliser un décongestionnant nasal ou un antitussif si nécessaire.
  • Se reposer et boire beaucoup d’eau.

Les antibiotiques sont inefficaces contre la grippe, qui est causée par un virus. Leur usage peut même nuire en détruisant la flore bactérienne bénéfique.

Prévenir la transmission

  • Se couvrir la bouche et le nez en toussant ou éternuant, idéalement dans le pli du coude.
  • Se laver fréquemment les mains avec du savon.
  • Utiliser des mouchoirs jetables et les jeter rapidement.
  • Porter un masque chirurgical si l’on est malade.
  • Utiliser du gel hydroalcoolique, mais avec modération pour éviter de dessécher la peau.
  • Aérer régulièrement les pièces pour renouveler l’air.
  • Nettoyer les surfaces fréquemment touchées, comme les poignées de porte ou les télécommandes.

Il est également conseillé d’éviter les contacts avec les personnes vulnérables, comme les femmes enceintes, les seniors ou les personnes immunodéprimées.

L’essor des injections de lèvres : la quête de beauté à tout âge

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Depuis la fin de la pandémie de Covid-19 et le retrait des masques, l’attention portée à la bouche a augmenté. Les injections de lèvres ont connu un véritable essor, notamment chez les jeunes qui aspirent à obtenir des « Russian lips », c’est-à-dire des lèvres très pulpeuses et projetées. Les femmes plus âgées ont aussi recours à ces traitements, mais pour des objectifs différents. Elles cherchent surtout à retrouver une définition plus nette, des lèvres mieux ourlées avec un volume harmonieux, ainsi qu’à atténuer les rides situées au-dessus de la lèvre supérieure et aux commissures, aussi appelées plis d’amertume.

Mais toutes ne souhaitent pas recourir à la médecine esthétique. Cette demande a inspiré les marques de cosmétiques, car jusqu’à présent, il existait principalement des baumes nourrissants pour cette zone, surtout en hiver. Selon Michèle Evrard, experte en cosmétologie, « on a vu depuis quelques années un essor des traitements esthétiques des lèvres. Mais il existe désormais des alternatives non invasives pour obtenir des résultats plus naturels. Jusqu’à récemment, cette catégorie n’était pas encore exploitée. »

Une peau 5 fois plus fine que celle du visage

Depuis un an, des soins spécifiques pour les lèvres font leur apparition. Leurs formulations offrent bien plus que de simples sticks hydratants, en intégrant des actifs anti-âge performants.

La bouche est en permanence sollicitée : on mange, on mâche, on parle, on sourit, on rit, on embrasse… Elle subit de nombreuses agressions mécaniques (mouvements musculaires, frottements, micromorsures, léchages), climatiques (froid, vent, humidité), externes (UV, tabac) et internes (salive, alimentation). Ces sollicitations contribuent à son vieillissement accéléré.

Michèle Evrard précise que « la peau des lèvres est cinq fois plus fine que celle du visage, avec un épiderme et un derme beaucoup moins épais. Dépourvues de glandes sudoripares ou sébacées, elles ne produisent pas de sébum ni de film protecteur, ce qui entraîne une perte d’eau importante. Elles sont donc plus vulnérables à la sécheresse et aux gerçures. Très vascularisées, elles sont aussi réactives à l’irritation et à l’inflammation. Enfin, leur microbiote est fragile, car la zone est en contact avec le microbiote buccal. »

Un vieillissement accéléré qu’il est possible de prévenir

Les lèvres ont une particularité physiologique : la zone rouge, qui marque l’intersection entre le visage et l’intérieur de la bouche, attire beaucoup l’attention. Cependant, la bouche comprend aussi la peau blanche qui entoure la zone, ainsi que la lèvre rouge humide, la surface muqueuse de la bouche qui reste humide.

Les agressions et sollicitations accélèrent le vieillissement de cette zone. Dès le plus jeune âge, les lèvres peuvent devenir déshydratées et sèches. Avec le temps, elles perdent leur aspect rebondi et pulpeux, s’amincissent, et leurs contours deviennent moins nets. Des rides et ridules apparaissent autour de la bouche, rendant nécessaire des soins ciblés pour lutter contre ces effets.

Quels actifs privilégier dans les soins

Les produits conçus pour les lèvres traitent généralement la déshydratation et la sécheresse, notamment avec de la glycérine. De plus en plus, ils contiennent de l’acide hyaluronique et des ingrédients nourrissants comme les huiles végétales, le beurre de karité ou de cacao, ainsi que des agents renforçant la barrière cutanée (oméga 6, céramides).

Certains soins intègrent aussi des actifs anti-âge, similaires à ceux utilisés pour le visage, tels que l’acide hyaluronique à bas poids moléculaire, les peptides ou des extraits végétaux qui stimulent la production de collagène.

Enfin, quelques produits contiennent des actifs présents dans les gloss repulpants, qui activent la microcirculation pour un effet volumateur immédiat. Ces ingrédients, comme la capsaïcine (présente dans le piment), le menthol, la cannelle, l’huile de gingembre ou les graines de moutarde, peuvent provoquer des picotements et donner un aspect plus pulpeux à court terme.

Notre experte : Michèle Evrard, docteure en pharmacie, spécialiste en cosmétologie et créatrice de la marque C27.

Combien de minutes de marche pour booster votre vitamine D naturellement

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Combien de temps faut-il marcher pour augmenter son taux de vitamine D ?

Il est bien connu que s’exposer au soleil favorise la production de vitamine D, essentielle pour renforcer notre système immunitaire. Mais combien de temps doit-on passer dehors pour bénéficier de ses bienfaits ?

La vitamine D est principalement synthétisée par la peau sous l’effet des rayons ultraviolets du soleil. Environ 70 % de cette vitamine provient de cette production naturelle, le reste venant de l’alimentation. Cependant, en automne et en hiver, la luminosité est plus faible et la durée d’exposition au soleil est souvent limitée. La diététicienne Florence Foucaut explique que durant ces saisons, la synthèse de vitamine D dans notre corps est moins efficace, car nous sommes généralement mieux couverts et moins exposés au soleil.

Selon des chercheurs espagnols, le temps d’exposition nécessaire varie selon la saison. En janvier, par exemple, il faut environ 2 heures d’exposition au soleil à midi pour atteindre la dose quotidienne recommandée, avec le visage, le cou, les mains et les avant-bras découverts. En juillet, cette durée descend à seulement 7 minutes, tandis qu’en octobre, il faut environ 31 minutes.

Pour éviter toute carence en vitamine D, les experts recommandent de profiter du soleil dès qu’il y en a. De plus, il est conseillé de consommer régulièrement des aliments riches en vitamine D tout au long de l’année. Parmi eux, on trouve les poissons gras comme le saumon, la sardine ou le maquereau, mais aussi les champignons, les œufs, le chocolat noir, le beurre, la margarine, les abats, l’huile de foie de morue, le fromage blanc ou les Petit-Suisse.

En cas de risque de carence, un médecin peut prescrire une supplémentation en vitamine D. Il est important de suivre ces recommandations pour préserver ses défenses immunitaires, surtout durant les saisons où l’exposition au soleil est limitée.

Séniors : Comment l’activité physique transforme votre santé et votre vitalité

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Les bienfaits de l’activité physique chez les séniors

Pratiquer une activité physique régulièrement est crucial pour la santé des personnes âgées. Cela permet d’améliorer la santé cardiovasculaire, de renforcer les muscles et les os, et de réduire le risque d’ostéoporose. L’activité favorise également la mobilité, la souplesse des articulations, et aide à prévenir certaines maladies chroniques comme le diabète de type 2. Elle stimule le système immunitaire, améliore l’équilibre pour réduire les risques de chutes, et contribue au bien-être mental en diminuant le stress et l’anxiété. Enfin, faire du sport permet de maintenir le lien social et de favoriser la convivialité.

Activités physiques recommandées pour les séniors

Il est important de choisir des activités adaptées à ses capacités et à ses préférences. Voici quelques idées accessibles et efficaces :

La marche à pied

La marche est l’une des activités les plus simples et bénéfiques. Elle améliore la santé cardiovasculaire, renforce les muscles des jambes, et stimule la circulation sanguine. Il est conseillé de marcher au moins 30 minutes par jour, à un rythme modéré. Pour varier les plaisirs, il est possible de marcher dans un parc, en ville ou dans un centre commercial lors des jours de mauvais temps.

  • Porter des chaussures confortables
  • Utiliser une canne si nécessaire
  • Privilégier des parcours avec des pentes douces pour renforcer davantage

Les exercices d’étirement et de souplesse

Pour conserver une bonne mobilité, il est essentiel de pratiquer des exercices d’étirement. Ceux-ci peuvent être faits quotidiennement ou plusieurs fois par semaine, en douceur, le matin ou avant de dormir. Ces exercices aident à prévenir la raideur musculaire et à augmenter l’amplitude des mouvements.

  • Étirements du cou, des épaules, du dos et des jambes
  • Pratique de yoga ou de tai-chi adaptés
  • Respirer profondément lors de chaque étirement

Les activités aquatiques

Les exercices en piscine sont particulièrement recommandés pour ceux souffrant d’arthrite ou de douleurs articulaires. La flottabilité de l’eau réduit l’impact sur les articulations tout en permettant un travail musculaire efficace. Parmi ces activités, on trouve :

  • Marche ou course dans l’eau
  • Cours d’aquagym ou d’aquabike
  • Nage ou nage libre

Il est conseillé de pratiquer ces activités sous la supervision d’un professionnel pour garantir la sécurité.

Le yoga et le tai-chi

Ces disciplines douces combinent exercices de respiration, étirements et mouvements lents. Elles améliorent l’équilibre, la respiration, et la concentration. Des cours adaptés aux séniors existent dans de nombreuses structures. La pratique régulière peut aider à réduire le stress, améliorer la posture et prévenir les chutes.

  • Suivre des cours encadrés par des professionnels
  • Commencer avec des séances courtes, puis augmenter progressivement
  • Utiliser des accessoires comme des chaises ou des blocs pour faciliter certains mouvements

Les activités de renforcement musculaire

Pour maintenir la masse musculaire, il est conseillé d’intégrer des exercices de musculation adaptés. Cela peut inclure :

  • Utilisation de petits poids ou bandes élastiques
  • Exercices avec le poids du corps, comme les squats ou les levées de jambes
  • Gymnastique douce ou Pilates pour seniors

Il est important de commencer avec des charges faibles, d’éviter la douleur, et de respecter ses limites. La supervision d’un professionnel peut assurer la sécurité lors de ces exercices.

Les activités sociales et collectives

Participer à des activités sportives en groupe favorise la motivation et le maintien du lien social. Il peut s’agir :

  • De clubs de marche ou de randonnée légère
  • De cours de danse, comme la danse de salon ou en ligne
  • De séances de gymnastique douce ou de fitness pour seniors

Ces activités combinent sport et convivialité, contribuant aussi au bien-être mental.

Conseils pour commencer une activité physique en toute sécurité

Il est essentiel d’aborder toute nouvelle activité avec prudence, surtout si l’on a des problèmes de santé ou peu d’expérience en exercice. Voici quelques recommandations :

  • Consulter un médecin avant de débuter, notamment en cas de maladies chroniques ou de problèmes cardiaques
  • Commencer doucement, avec des sessions courtes, puis augmenter progressivement
  • S’échauffer avant l’effort et se refroidir après
  • Porter des vêtements confortables et adaptés
  • Pratiquer dans un environnement sécurisé
  • Écouter son corps et arrêter en cas de douleur ou de malaise
  • Se faire accompagner par un professionnel pour les activités plus exigeantes

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Les signes de fièvre et de malaise chez l’enfant

La fièvre est une réaction normale du corps face à une infection. Cependant, certains cas nécessitent une vigilance accrue, surtout si la température dépasse certains seuils ou si d’autres symptômes apparaissent.

Fièvre élevée

  • Température corporelle supérieure à 39°C, surtout si elle dure plus de 24 heures
  • Présence de convulsions fébriles
  • Fièvre chez un nourrisson de moins de 3 mois

Chez les très jeunes enfants, une fièvre élevée peut indiquer une infection grave comme une méningite ou une septicémie. En cas de fièvre persistante ou associée à une extrême somnolence, un refus de boire ou une grande irritabilité, il est important de consulter rapidement.

Malaise ou fatigue inhabituelle

  • Enfant très fatigué ou somnolent, peu réactif
  • Perte d’appétit prolongée
  • Perte de poids soudaine ou signes de déshydratation

Un état général dégradé peut signaler une infection sérieuse ou d’autres problèmes médicaux nécessitant une évaluation urgente.

Les symptômes respiratoires à surveiller

Les troubles respiratoires sont courants chez l’enfant, surtout lors d’infections virales. Toutefois, certains signes doivent alerter pour éviter une détresse respiratoire grave.

Respiration difficile ou rapide

  • Souffle court ou respiration saccadée
  • Retrait des muscles entre les côtes ou au niveau du cou lors de la respiration
  • Respiration supérieure à 60 cycles par minute chez un bébé ou un jeune enfant

Changements dans la voix ou la respiration

  • Voix rauque ou enrouée persistante
  • Changement de ton ou de son lors de la respiration
  • Coloration bleutée des lèvres ou de la peau, signe d’hypoxie

Ces symptômes nécessitent une consultation immédiate ou une prise en charge aux urgences, car la détresse respiratoire peut évoluer rapidement.

Les signes liés à la peau et au comportement

Éruptions cutanées et coloration anormale

  • Éruptions rouges ou violacées qui ne disparaissent pas à la pression (pétéchies ou purpura)
  • Coloration bleutée des extrémités ou des lèvres
  • Peau très pâle ou jaunisse (jaunissement de la peau et des yeux)

Changements de comportement

  • Convulsions ou crises d’épilepsie
  • Perte de conscience ou état semi-comateux
  • Agitation extrême ou, à l’inverse, léthargie profonde

Ces signes indiquent souvent une urgence médicale. Par exemple, une éruption pétéchiale peut être le signe d’une infection grave comme la méningococcémie.

Les symptômes liés à l’alimentation et à la déshydratation

Une déshydratation peut évoluer rapidement chez l’enfant. Il est important de rester vigilant face à certains signaux.

Refus de boire ou de manger

  • Enfant qui ne veut plus s’alimenter ou boire pendant plusieurs heures
  • Vomissements répétés empêchant l’enfant de s’hydrater

Signes de déshydratation

  • Bouche sèche ou lèvres gercées
  • Urines moins fréquentes ou de couleur foncée
  • Somnolence ou irritabilité importante
  • Yeux enfoncés ou fontanelle bombée chez les bébés

Une déshydratation sévère doit être prise en charge immédiatement, car elle peut entraîner un choc ou une défaillance d’organes.

Les douleurs inhabituelles ou persistantes

Douleurs aiguës ou persistantes

  • Douleurs abdominales intenses ou durables
  • Douleurs à la tête ou au cou avec vomissements ou troubles visuels
  • Douleurs thoraciques ou dorsales

Signes associés à la douleur

  • Enfant se plaignant ou se couvrant de douleurs constantes
  • Changements de comportement, comme irritabilité ou léthargie

Ces douleurs peuvent indiquer une appendicite ou une infection grave, nécessitant une consultation rapide.

Les symptômes spécifiques chez les enfants de moins de 6 mois

Les nourrissons étant particulièrement vulnérables, certains signes doivent être pris très au sérieux, même s’ils semblent bénins.

Refus de téter ou d’allaiter

  • Enfant refusant la nourriture ou le lait sans raison apparente
  • Perte de poids rapide ou déshydratation visible

Changements dans le comportement

  • Somnolence excessive ou, à l’inverse, agitation
  • Signes de douleur ou inconfort, comme pleurs inconsolables

Signes de maladie grave chez le nourrisson

  • Fièvre chez un bébé de moins de 3 mois
  • Respiration rapide ou difficile
  • Coloration bleutée ou pâle

En cas de doute, il est toujours conseillé de consulter rapidement un professionnel de santé. La prise en charge précoce peut faire toute la différence.

Quand consulter un médecin ou se rendre aux urgences ?

Il n’est pas toujours évident de déterminer si un symptôme nécessite une consultation immédiate ou une simple surveillance. Voici quelques conseils :

  • Si l’enfant a une respiration rapide ou une coloration bleutée, notamment au niveau des lèvres ou des extrémités
  • En cas de convulsions, perte de conscience ou crises d’épilepsie
  • Lorsqu’un enfant ne répond plus ou est très somnolent
  • Si une éruption pétéchiale ou violacée apparaît, surtout si elle s’étend rapidement
  • Forte fièvre chez un bébé de moins de 3 mois ou fièvre qui ne baisse pas après traitement
  • Refus de boire ou d’alimenter associé à des signes de déshydratation
  • Douleurs abdominales ou thoraciques intenses ou persistantes

En cas de doute, il est toujours préférable de consulter un professionnel ou d’appeler les urgences. La rapidité d’intervention peut sauver la vie de l’enfant.

Articulations après 50 ans : découvrez la solution miracle pour soulager la douleur

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Un meilleur confort articulaire après 50 ans

Après 50 ans, il est courant de ressentir une certaine raideur ou des douleurs au niveau des articulations. Cependant, il n’y a pas de fatalité. En adoptant de bonnes habitudes et en soutenant la santé du cartilage, il est possible de préserver sa mobilité et son confort articulaire sur le long terme.

Les études récentes mettent en avant une solution efficace : une association de trois nutriments essentiels. La glucosamine, la chondroïtine et le collagène travaillent ensemble pour entretenir les tissus articulaires et réduire les gênes liées à l’usure naturelle.

Les effets d’une meilleure qualité de vie articulaire

Avec l’âge, le cartilage des articulations s’amincit. La production de collagène, protéine structurale essentielle, diminue également. La quantité d’acide hyaluronique, qui lubrifie les articulations, diminue aussi, ce qui peut causer davantage d’inconfort et d’inflammations chroniques. Cependant, ces troubles peuvent être atténués grâce à une combinaison de compléments. La prise de chondroïtine et de glucosamine en gélules permet de réduire les douleurs et de retrouver une meilleure mobilité.

Les bienfaits de la glucosamine

La glucosamine est une substance naturellement présente dans le cartilage. Elle participe à sa réparation et agit comme une huile pour les articulations, facilitant leur mobilité. Après 50 ans, la production naturelle de glucosamine baisse, ce qui augmente le risque d’arthrose. Les compléments alimentaires riches en glucosamine ont montré leur efficacité pour préserver la santé des articulations et retarder l’usure du cartilage. Ils sont particulièrement utiles pour prévenir ou limiter les douleurs liées à une arthrose modérée.

Le rôle de la chondroïtine

Comme la glucosamine, la chondroïtine est un composant naturel du cartilage. Elle aide à retenir l’eau dans le tissu articulaire, ce qui améliore sa résistance. Elle agit aussi en bloquant les enzymes qui dégradent le cartilage. Lorsqu’elle est associée à la glucosamine, la chondroïtine optimise la protection des articulations. Les personnes de plus de 50 ans qui prennent ces deux actifs en gélules constatent souvent une diminution des douleurs et une récupération de fluidité dans leurs mouvements.

Pourquoi intégrer du collagène dans la routine ?

Le collagène, notamment sous forme de complément alimentaire, compense la faiblesse des tissus après 50 ans. Produit en France, il soutient tendons, ligaments et cartilage. Sa consommation régulière aide à prévenir les micro-lésions, à réduire l’inflammation et à protéger contre les entorses ou tendinites. Elle permet aussi de reprendre une activité physique sans inconfort ni risque accru de blessures, un avantage précieux avec l’âge.

Comment optimiser cette synergie ?

Les effets de la combinaison de chondroïtine, glucosamine et collagène se font généralement sentir en deux à trois mois. Ces molécules ne régénèrent pas le cartilage, mais elles ralentissent sa dégradation. Pour une meilleure assimilation, il est conseillé de prendre ces compléments lors d’un repas. La vitamine C, essentielle à la synthèse du collagène, doit aussi être intégrée à l’alimentation, par exemple sous forme de fruits frais ou de supplémentation. Ces nouvelles habitudes sont simples à adopter et ne provoquent généralement pas d’effets secondaires ou de troubles digestifs.

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