Le 21 septembre 2018, l’Agence européenne des médicaments (EMA) a annoncé étendre son contrôle du valsartan à quatre autres substances actives suspectées de contenir elles aussi une impureté potentiellement cancérigène.

Le valsartan n’a pas fini de faire parler de lui. Après plusieurs rappels de lots de médicaments contenant cette substance active, dans laquelle une impureté potentiellement cancérigène a été retrouvée, depuis le 5 juillet 2018, l’Agence européenne des médicaments (EMA) a annoncé le 21 septembre 2018 par voie de communiqué l’extension de son contrôle à quatres autres sartans, susceptibles.

« Pas de risques immédiats »

Un contrôle renforcé qui fait notamment suite à une nouvelle détection de N-nitrosodiéthylamine (NDEA ; sembable à la N-nitrosodiméthylamine (NDMA) retrouvée dans le valsartan) « à très faibles niveaux » dans la substance active losartan, fabriquée par le laboratoire indien Hetero Labs, par les autorités allemandes. Les quatres sartans en question sont le candésartan, l’irbésartan, le losartan et l’olmésartan. « Comme le valsartan, ces substances actives…

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