La mort est encore taboue dans notre société mais il est important d’aborder les différentes options possibles au moment du décès. Crémation, aquamation, inhumation… Comment ça se passe ? Combien ça peut coûter ? Qu’est-ce qui est autorisé et interdit ? Réponses de Marie-Thérèse Ferreira De Moura, conseillère funéraire aux Pompes Funèbres de Saint-Julien-Les Villas (Aube).
L’inhumation : la pratique la plus répandue en France
L’inhumation correspond à l’enterrement au cimetière. C’est la pratique la plus répandue en France.
Définition : le verbe « inhumer » est composé des mots latins « in » qui signifie « dans » et « humus » qui signifie « terre ». Ce terme désigne donc la mise en terre du http://www.medisite.fr/obseques-les-7-choses-qui-se-passent-dans-le-corps-lorsquon-meurt.4005916.688348.html?xtor=SEC-63. « Elle peut se dérouler dans le cadre d’une cérémonie laïque ou religieuse » précise Marie-Thérèse Ferreira De Moura, conseillère funéraire aux Pompes Funèbres dans l’Aube.
Lors du décès : « Quand la personne décède dans une clinique, les pompes funèbres sont obligées de faire un transfert de corps avant la mise-en-bière et de déposer le corps dans une chambre funéraire poursuit notre interlocutrice. Si la personne décède au centre hospitalier, ce n’est…