Le GHB, une drogue aujourd’hui souvent consommée de façon volontaire, a causé une dizaine de comas chez des jeunes dans des boîtes de nuit parisiennes, selon les informations du Parisien.

Le collectif Action nuit a accordé une interview au Parisien pour aborder les dégâts provoqués par le GHB, une substance chimique plus communément appelée « drogue du violeur ». La drogue de synthèse est à l’origine de plusieurs comas, dont un ayant conduit la victime à la mort.

« Une sorte de spirale infernale que l’on n’arrive pas à casser »

Le GHB ou « acide gammahydroxybutyrique » est une drogue de synthèse aux propriétés sédatives et amnésiantes. Elle peut être utilisée dans le traitement de la narcolepsie et comme anesthésiant préopératoire. Elle est classée comme stupéfiant et peut entraîner : maux de tête, nausées, somnolence, amnésie, chute de la tension artérielle lors de surdosage mais aussi plus gravement des arrêts respiratoires. Les effets de la GHB rendent celui qui en consomme plus vulnérable.

Une vague d’overdose liée au GHB vient récemment d’envahir les boîtes de nuit parisiennes. Les comas sont de plus en plus fréquents. En quelques mois seulement, on…

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