Des chercheurs de l’université d’Oxford et de plusieurs universités américaines ont réussi à identifier le gène qui serait responsable de l’endométriose.

C’est une véritable avancée pour les femmes qui souffrent d’endométriose. Selon une étude publiée dans la revue Science Transitional Medicine le 25 août dernier, des chercheurs de l’université d’Oxford et de plusieurs universités américaines ont enfin découvert le gène NPSR1 qui serait responsable de la maladie et donc un potentiel traitement futur. Pour rappel, l’endométriose est une maladie inflammatoire chronique courante responsable de douleurs pelviennes intenses et une cause d’infertilité chez les femmes. Comme le détaille l’Inserm, l’endométriose est une maladie gynécologique très fréquente qui concerne une femme sur dix. « Elle est liée à la présence de tissu semblable à la muqueuse utérine en dehors de l’utérus » qui peut se répandre sur la vessie, les intestins, le rectum, le diaphragme ou encore les poumons. Une pathologie dont les options thérapeutiques sont très limitées à l’exception des interventions chirurgicales ou…

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