En plus des possibles malformations déjà connues sur le fœtus, les médicaments à base d’isotrétionïne présenteraient également des risques de troubles neuro-développementaux de type autistique chez l’enfant à naître.
Un risque de plus de 30 % de malformations
La prise d’isotrétinoïne, cette molécule dérivée de la vitamine A utilisée pour traiter l’acné sévère, est loin d’être anodine. Pendant la grossesse, elle « est associée à un risque de plus de 30% de survenue de malformations (…) chez l’enfant à naître », rappelle l’Agence du médicament (ANSM).
Ces malformations sont