C’est une bonne nouvelle. Une étude fait le lien entre une vie sociale riche et une réduction des risques de démence. Un risque diminué de 30 à 50 %. Mais qu’entend-t-on par vie sociale active ?
Une vie sociale active réduit le stress
Les personnes engagées socialement en milieu et en fin de vie seraient 30 à 50 % moins susceptibles de développer une démence. C’est le résultat d’une étude parue dans la revue Nature Aging. Selon les chercheurs la sociabilisation réduit le risque de démence car elle réduit le stress et améliore la santé cérébrale et vasculaire.