Une nouvelle étude américaine démontre que la prise d’antibiotiques à long terme pourrait augmenter le risque de décès prématuré, toutes causes confondues, de 27%.

La lutte contre la résistances aux antibiotiques étant devenue un enjeu majeur de santé publique, les études n’en finissent plus de sortir sur le sujet. Dernière découverte en date et argument de poids pour réduire la consommation d’antibiotiques, les résultats d’une étude menée à la School of Public Health à Havard (Etats-Unis). Ils démontrent que la prise d’antibiotiques à long terme augmenterait le risque de mort prématurée toutes causes confondues sauf du cancer de 27% chez les femmes.

Un risque augmenté de crise cardiaque de 58%

Selon le Dr Lu QI, épidémiologiste et auteur de l’étude, interviewé par le journal Dailymail « les antibiotiques dérèglent la flore intestinale, un phénomène responsable de nombreux troubles pouvant altérer l’espérance de vie comme des troubles cardiovasculaires ou même certains cancers ». Pour en arrvier à cette conclusion, le médecin et son groupe d’étude ont étudié les cas de 37 510 femme âgée de plus de 60 ans soumises à un traitement…

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