C’est une étude toulousaine qui le dit : les infarctus de forme légère ne sont pas anodins. Leur impact sur l’espérance de vie est la même qu’un infarctus sévère. Les chercheurs toulousains expliquent pourquoi.
Suivi de patients pendant 10 ans
Oppression dans la poitrine, douleur irradiante dans le côté gauche ? Ce sont les signes les plus connus de l’infarctus du myocarde. Des signes que connaissent bien les chercheurs toulousains[1]. Entre 2006 et 2016, ils ont suivi 1822 patients âgés de 35 à 74 ans, à Strasbourg, Lille et Toulouse.