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Hygiène bucco-dentaire : brossettes et fil dentaire

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Pour conserver une excellente santé dentaire, l’hygiène bucco-dentaire est un rituel essentiel qui doit être rigoureusement respecté au quotidien. Les simples brossages de dents sont certes indispensables mais pas suffisants. Pour éviter autant que possible les caries, la plaque dentaire, les parodontites, les gingivites ou encore la prolifération des bactéries, il faut également penser au nettoyage interdentaire. Pour ce faire, on mise sur le fil dentaire et la brossette.


Le fil dentaire

 

Le fil dentaire, généralement fabriqué en nylon ou en soie, complète efficacement le brossage de dents réalisé avec une brosse à dents classique. Particulièrement recommandé aux personnes ayant peu d’espace entre les dents, il permet un nettoyage manuel précis et minutieux. Le principe est simple : il suffit de couper quelques centimètres de fil, de tenir fermement les deux extrémités entre le pouce et l’index de chaque main puis de passer le fil entre les dents. Le mouvement doit être souple et très délicat.

 


La brossette

 

Utilisée en complément du fil dentaire, la brossette est idéale pour éviter le dépôt de tartre, la prolifération de bactéries, mais également pour éliminer totalement les derniers petits résidus alimentaires. Semblable à un petit bâtonnet pourvu de poils rigides, elle se passe délicatement entre les dents à l’aide de petits mouvements verticaux et horizontaux. Pour une efficacité…

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7 raisons cachées qui peuvent augmenter votre taux de créatinine

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Vous avez certainement eu dans vos analyses de sang ou d’urines, un dosage de la créatinine. Cette évaluation sert au dépistage de l’insuffisance rénale, une altération du fonctionnement des reins, qui ne filtrent plus correctement le sang de l’organisme.  Le Dr Isabelle Tostivint, néphrologue à la Pitié-Salpêtrière (Paris), fait la liste des facteurs déclencheurs.

La créatinine, c’est quoi ?

Naturellement présente dans le sang, la créatinine est éliminée par les reins, suite à la dégradation de la créatine. Son dosage permet d’obtenir certaines informations sur le fonctionnement des reins. Elle se dose soit par une prise de sang, soit lors d’une analyse d’urine. C’est d’ailleurs le seul marqueur de la fonction rénale et un indice indispensable pour dépister une insuffisance rénale. « Le dépistage s’avère indispensable. L’insuffisance rénale est une maladie silencieuse. Quand les premiers symptômes apparaissent (anémie, nausées, etc) c’est que 90% des reins sont détruits », alerte le Dr Tostivint, néphrologue à la Pitié-Salpêtrière (Paris) et chargée de la communication scientifique de la Fondation du rein. Afin d’éviter de passer à côté d’une maladie rénale, il est important d’en connaitre les facteurs de risques. « Ce sont quasiment les mêmes que pour une maladie cardiovasculaire », énonce la spécialiste.


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Solution aux troubles du sommeil : le bracelet d’acupression

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Il existe de nombreuses solutions naturelles pour lutter contre les troubles du sommeil et s’affranchir des somnifères aux nombreux effets secondaires. Ainsi, on peut traiter, grâce à l’acupuncture, le sommeil de mauvaise qualité. De même, avoir recours à l’acupuncture en cas d’insomnie chronique est très efficace. Il est même possible d’y recourir seul chez soi en utilisant un bracelet d’acupression.


Acupuncture en cas d’insomnie

 

L’acupuncture permet de régler toutes sortes de maux en rétablissant la circulation d’énergie au sein des méridiens qui parcourent notre corps. En temps normal, l’acupuncteur est un médecin. Il reçoit donc les patients dans son cabinet, et en fonction de leurs motifs de consultation, il place des aiguilles sur les points d’acupuncture qu’il convient de stimuler. Ces points sont situés à des points très précis : il est donc important de savoir les localiser avec exactitude.

 


Bracelet d’acupression et sommeil

 

Comme son nom l’indique, le bracelet d’acupression est un bracelet qui va exercer une pression sur un point d’acupuncture. Ce type de bracelet est spécialement conçu pour lutter contre les troubles du sommeil en appuyant sur le point d’acupuncture H7 (porte de l’esprit). Dans un premier temps, il peut être nécessaire de localiser le point H7. Il se situe sur la face intérieure du poignet…

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Phytothérapie contre les troubles du sommeil : la valériane anti-anxiété

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De nombreuses plantes se révèlent extrêmement efficaces pour aider certaines personnes qui éprouvent des difficultés à dormir. En effet, phytothérapie et sommeil fonctionnent très bien et, à l’image de la valériane, il existe plusieurs remèdes de phytothérapie pour dormir. Cela est particulièrement vrai en cas de troubles du sommeil dus à l’anxiété.


Phytothérapie pour dormir

 

De nombreux remèdes phytothérapeutiques sont efficaces pour lutter contre les troubles du sommeil. C’est par exemple le cas du houblon, qui agit contre les troubles du sommeil en traitant la nervosité et l’agitation (on l’associe souvent à la valériane). On peut aussi avoir recours à la menthe poivrée, aux feuilles d’ortie, à la camomille, à la lavande, aux fleurs de mélilot, etc. Ces remèdes se trouvent sous forme de plantes séchées à boire en infusion, en extraits liquides, ou en gélules à prendre trois fois par jour. Différentes plantes sont également utilisées pour confectionner des remèdes homéopathiques qu’on prendra dans ce cas à raison de 5 granules trois fois par jour, et il existe le complexe homéopathique Sédatif PC®.

 


Phytothérapie, sommeil et anxiété

 

Certaines plantes sont plus spécifiquement indiquées en cas de troubles du sommeil dus à un excès de stress. Dans ce domaine, des…

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Troubles du sommeil : l’examen d’enregistrement du sommeil

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En cas de troubles du sommeil, les traitements doivent être adaptés au problème rencontré. Aussi, avant de donner un médicament contre un trouble du sommeil, il faut procéder à un examen approfondi : une polysomnographie. Mais comment se déroule cet examen d’enregistrement du sommeil ?


Troubles du sommeil : pas de traitement sans diagnostic

 

La prise en charge des troubles du sommeil passe d’abord par le diagnostic du trouble à traiter. Pour cela, il peut s’avérer nécessaire de passer une polysomnographie. Ce test est réalisé au sein d’un service spécialisé. Il permet de détecter les apnées du sommeil, les défauts d’oxygénation, et de contrôler les phases du sommeil grâce à l’enregistrement des ondes cérébrales (électro-encéphalogramme) via des électrodes placées sur le cuir chevelu. Les réactions musculaires des membres sont elles aussi évaluées afin d’établir, le cas échéant, le diagnostic d’un syndrome des jambes sans repos ou de mouvements involontaires des membres. D’autres tests moins lourds peuvent également être réalisés à domicile : la polygraphie cardiorespiratoire nocturne, le test de maintien à l’éveil, ou encore le test itératif de latence à l’endormissement.

 


Troubles du sommeil : traitements…  Lire…

Phase du sommeil : qu’est-ce que le sommeil lent ?

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Il existe plusieurs phases du sommeil. On distingue ainsi le sommeil lent et le sommeil paradoxal. Mais qu’est-ce qui distingue ces deux phases ? Quelles sont les caractéristiques du sommeil lent ? Focus sur le sommeil lent.


Sommeil lent : définition

 

Le sommeil lent est la première phase du sommeil, la seconde étant le sommeil paradoxal. C’est au cours de ce sommeil lent que le corps se repose, et c’est donc pendant cette phase que l’activité biologique (respiration, rythme cardiaque, tension musculaire, température, etc.) et cérébrale diminue. Le sommeil lent dure généralement entre 60 et 75 minutes. Si des rêves peuvent survenir au cours de cette phase, on ne s’en souvient jamais. Ce sont les rêves qui surviennent au cours du sommeil paradoxal dont on peut le plus facilement se souvenir. Peu présente en début de sommeil, cette phase voit sa durée augmenter progressivement au cours de la nuit.

 


Les 4 phases du sommeil lent

 

Le sommeil lent se décompose lui-même en quatre phases : l’endormissement (qui dure une dizaine de minutes), le sommeil lent léger (50 % du temps global du sommeil), le sommeil profond (40 % du temps global du…

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Presbyacousie : la définition de ce trouble de l’audition

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Les problèmes de l’audition ne se limitent pas à la surdité ou aux acouphènes. En effet, d’autres troubles existent, tels que la presbyacousie. Mais qu’est-ce qui caractérise cette pathologie ? Quels sont les symptômes de la presbyacousie, et existe-t-il un traitement ?


Presbyacousie : définition

 

On parle de presbyacousie lorsque l’audition est moins bonne en raison de l’âge (tout comme la vue baisse naturellement chez les personnes âgées). Cette diminution de l’ouïe concerne 6 millions de personnes en France, et elle n’est donc pas rare. Elle s’amorce généralement à partir de la cinquantaine, et progresse au fil des années. La presbyacousie traduit un vieillissement des cellules sensorielles de l’oreille interne qui, à terme, finissent par disparaître.

 


Symptômes de la presbyacousie

 

Les symptômes de la presbyacousie s’installent progressivement, de sorte qu’elle passe souvent inaperçue. Tout d’abord, les personnes concernées perçoivent moins bien les sons aigus puis, peu à peu, il devient difficile de suivre une conversation dans un milieu bruyant, et de plus en plus de sons deviennent difficiles à percevoir, avec la nécessité d’augmenter le son de la télévision ou de la radio….

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Médecin spécialiste des oreilles : quand consulter un audioprothésiste ?

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Lorsqu’on éprouve des difficultés à entendre, il est normal de se tourner vers un médecin spécialisé. Mais à quel moment devient-il nécessaire de faire appel à un audioprothésiste ? Quel type de prothèse auditive peut-il vous proposer ?


Se rendre chez un audioprothésiste

 

Il devient indispensable de consulter un spécialiste ORL lorsque la baisse de l’audition est manifeste. Cela se traduit par divers symptômes comme le fait de ne pas entendre tous les mots lors d’une conversation (y compris au téléphone), de ne pas parvenir à suivre les conversations avec plus de deux interlocuteurs, la nécessité de faire répéter les gens, la tendance à parler fort ou à augmenter le volume de la télévision ou de la radio. Ce n’est qu’après un bilan ORL que le patient peut être adressé à un audioprothésiste, qui sera en mesure de proposer la prothèse auditive la plus adaptée au type de surdité (ou d’hypoacousie). En effet, l’ordonnance de l’ORL est nécessaire.

 


Différents types de prothèses auditives

 

L’audioprothésiste est en mesure de proposer diverses prothèses auditives. Les modèles qui existent sont extrêmement nombreux, et on recense seize marques différentes…

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Ménopause : le progestatif de synthèse comme traitement des bouffées de chaleur

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La ménopause correspond à l’arrêt définitif des menstruations. Elle survient progressivement autour de 50-55 ans. La préménopause précède la ménopause. C’est durant cette période que les signes cliniques sont les plus importants. Parmi eux, on retrouve les bouffées de chaleur, qui touchent plus de la moitié des femmes. Comment se manifestent les bouffées de chaleur, et existe-t-il un traitement ?


Que sont les bouffées de chaleur ?

 

Ce phénomène désagréable est présent chez de nombreuses femmes au moment où elles entrent dans la période de ménopause, et est lié à des modifications hormonales. La diminution de la sécrétion d’œstrogènes provoque un déséquilibre hormonal. Celui-ci entraîne un dérèglement du mécanisme de régulation de la température corporelle. Une sensation de chaleur sur le haut du corps et le visage apparaît brutalement, parfois associée à des sueurs, des rougeurs, des frissons et des vertiges. Les bouffées de chaleur surviennent de façon irrégulière, principalement la nuit, une à plusieurs fois par jour ou seulement quelques fois par semaine, selon les femmes. Les bouffées de chaleur durent en moyenne trois à cinq ans, jusqu’à la disparition complète des règles.

 


Traitement des bouffées de chaleur

 

Elles peuvent être atténuées par une alimentation équilibrée et variée, sans alcool, ni tabac, ni…

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Acouphènes : quels médicaments pour les soigner ?

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Les acouphènes sont une sensation sonore (sifflement, bourdonnement) perçue par l’individu atteint. Ils peuvent être unilatéraux ou bilatéraux. Quelles en sont les causes, et existe-t-il des traitements pour les acouphènes ?


Causes des acouphènes

 

Les causes des acouphènes sont multiples. Une otite, une otospongiose, un bouchon de cérumen, une baisse de l’audition, un traumatisme crânien, une entorse cervicale ou une tumeur du nerf auditif sont susceptibles de provoquer des acouphènes. Si le pouls et le bruit sont synchronisés, l’atteinte dans ce cas peut être d’origine vasculaire soit par malformation, soit par anévrisme carotidien. Les acouphènes peuvent également n’avoir aucune origine. Ils ne sont pas dangereux, mais ils sont très pénibles et finissent souvent par atteindre le moral des personnes concernées. L’individu devient irritable, ne dort plus, et présente des troubles de la concentration.

 


Traitements des acouphènes

 

Si l’origine des acouphènes est diagnostiquée, le traitement sera celui-ci de la cause. Dans tous les cas, un bilan chez un ORL s’impose. Mais dans de nombreux cas, la cause n’est pas identifiée. La personne atteinte…

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