Le confinement a totalement bouleversé le rythme de vie de la plupart des gens, sans préalable ni négociation. Après deux mois d’oisiveté imposée et donc totalement déculpabilisée, il faut appréhender le retour au « métro-boulot-dodo ». Mais si on ne voulait plus de ce rythme effréné ? Comment l’assumer et le gérer ? La pression financière qui motivait et justifiait une quantité de travail déraisonnable est toujours présente…voire décuplée par ces deux mois à l’arrêt. Il n’y a plus de raison,

, de, etc. sont normalement suivies de l’infinitif, par ex.: de manger, à vendre. Si vous avez

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