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Séniors : Comment l’activité physique transforme votre santé et votre vitalité

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Les bienfaits de l’activité physique chez les séniors

Pratiquer une activité physique régulièrement est crucial pour la santé des personnes âgées. Cela permet d’améliorer la santé cardiovasculaire, de renforcer les muscles et les os, et de réduire le risque d’ostéoporose. L’activité favorise également la mobilité, la souplesse des articulations, et aide à prévenir certaines maladies chroniques comme le diabète de type 2. Elle stimule le système immunitaire, améliore l’équilibre pour réduire les risques de chutes, et contribue au bien-être mental en diminuant le stress et l’anxiété. Enfin, faire du sport permet de maintenir le lien social et de favoriser la convivialité.

Activités physiques recommandées pour les séniors

Il est important de choisir des activités adaptées à ses capacités et à ses préférences. Voici quelques idées accessibles et efficaces :

La marche à pied

La marche est l’une des activités les plus simples et bénéfiques. Elle améliore la santé cardiovasculaire, renforce les muscles des jambes, et stimule la circulation sanguine. Il est conseillé de marcher au moins 30 minutes par jour, à un rythme modéré. Pour varier les plaisirs, il est possible de marcher dans un parc, en ville ou dans un centre commercial lors des jours de mauvais temps.

  • Porter des chaussures confortables
  • Utiliser une canne si nécessaire
  • Privilégier des parcours avec des pentes douces pour renforcer davantage

Les exercices d’étirement et de souplesse

Pour conserver une bonne mobilité, il est essentiel de pratiquer des exercices d’étirement. Ceux-ci peuvent être faits quotidiennement ou plusieurs fois par semaine, en douceur, le matin ou avant de dormir. Ces exercices aident à prévenir la raideur musculaire et à augmenter l’amplitude des mouvements.

  • Étirements du cou, des épaules, du dos et des jambes
  • Pratique de yoga ou de tai-chi adaptés
  • Respirer profondément lors de chaque étirement

Les activités aquatiques

Les exercices en piscine sont particulièrement recommandés pour ceux souffrant d’arthrite ou de douleurs articulaires. La flottabilité de l’eau réduit l’impact sur les articulations tout en permettant un travail musculaire efficace. Parmi ces activités, on trouve :

  • Marche ou course dans l’eau
  • Cours d’aquagym ou d’aquabike
  • Nage ou nage libre

Il est conseillé de pratiquer ces activités sous la supervision d’un professionnel pour garantir la sécurité.

Le yoga et le tai-chi

Ces disciplines douces combinent exercices de respiration, étirements et mouvements lents. Elles améliorent l’équilibre, la respiration, et la concentration. Des cours adaptés aux séniors existent dans de nombreuses structures. La pratique régulière peut aider à réduire le stress, améliorer la posture et prévenir les chutes.

  • Suivre des cours encadrés par des professionnels
  • Commencer avec des séances courtes, puis augmenter progressivement
  • Utiliser des accessoires comme des chaises ou des blocs pour faciliter certains mouvements

Les activités de renforcement musculaire

Pour maintenir la masse musculaire, il est conseillé d’intégrer des exercices de musculation adaptés. Cela peut inclure :

  • Utilisation de petits poids ou bandes élastiques
  • Exercices avec le poids du corps, comme les squats ou les levées de jambes
  • Gymnastique douce ou Pilates pour seniors

Il est important de commencer avec des charges faibles, d’éviter la douleur, et de respecter ses limites. La supervision d’un professionnel peut assurer la sécurité lors de ces exercices.

Les activités sociales et collectives

Participer à des activités sportives en groupe favorise la motivation et le maintien du lien social. Il peut s’agir :

  • De clubs de marche ou de randonnée légère
  • De cours de danse, comme la danse de salon ou en ligne
  • De séances de gymnastique douce ou de fitness pour seniors

Ces activités combinent sport et convivialité, contribuant aussi au bien-être mental.

Conseils pour commencer une activité physique en toute sécurité

Il est essentiel d’aborder toute nouvelle activité avec prudence, surtout si l’on a des problèmes de santé ou peu d’expérience en exercice. Voici quelques recommandations :

  • Consulter un médecin avant de débuter, notamment en cas de maladies chroniques ou de problèmes cardiaques
  • Commencer doucement, avec des sessions courtes, puis augmenter progressivement
  • S’échauffer avant l’effort et se refroidir après
  • Porter des vêtements confortables et adaptés
  • Pratiquer dans un environnement sécurisé
  • Écouter son corps et arrêter en cas de douleur ou de malaise
  • Se faire accompagner par un professionnel pour les activités plus exigeantes

Cancers du pancréas chez les jeunes : le cadmium en cause selon un médecin

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Un médecin alerte sur une cause possible de la hausse des cancers du pancréas chez les jeunes en France. Selon le Dr Arnaud Cocaul, médecin nutritionniste, la France connaît une augmentation exponentielle de ces cancers chez les moins de 20 ans, et une cause précise est identifiée.

Il explique que le cadmium, un métal lourd toxique, est responsable de cette explosion de cancers, notamment du pancréas. Il souligne également que certains engrais, notamment ceux provenant du Maroc, sont contaminés par le cadmium. Le médecin insiste sur la nécessité de stopper l’importation de ces engrais jusqu’à ce que le problème de contamination soit résolu.

Une exposition préoccupante chez les jeunes

Le cadmium est naturellement présent dans les roches, mais son niveau dans les sols est fortement augmenté par l’utilisation d’engrais phosphatés en agriculture. Ces engrais, utilisés en France, contaminent principalement les céréales, pommes de terre, légumes secs et légumes-racines. Ces aliments deviennent ainsi les principaux vecteurs d’exposition pour la population française.

Il y a quelques mois, les professionnels de santé, notamment les Unions régionales de médecins libéraux, avaient déjà alerté le gouvernement. Ils s’inquiétaient de la forte présence de cadmium dans des aliments de base, comme le pain, les pâtes, les céréales et les pommes de terre, et de l’exposition accrue des enfants à ce métal toxique.

Les risques pour la santé

À long terme, le cadmium est classé comme cancérogène pour l’Homme, mutagène et toxique pour la reproduction. Selon l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation (Anses), il s’accumule dans les organes comme les reins et le foie, provoquant des atteintes rénales et osseuses. Une partie de la population, et notamment les jeunes enfants, dépasse encore la dose journalière tolérable fixée par l’Union européenne.

En effet, seulement 0,6 % des adultes dépassent cette dose, contre 14 % des enfants âgés de 3 à 17 ans, et 36 % chez les moins de 3 ans.

Comment se protéger ?

Le Dr Cocaul conseille aux parents et aux individus de faire attention à leur alimentation. Il recommande de varier leur régime alimentaire, de privilégier le label bio si possible, et de faire attention à la provenance des aliments. Les professionnels de santé soulignent que cette simple précaution ne suffira pas à réduire la courbe des cancers si la source du problème n’est pas traitée.

Selon l’Anses, il est essentiel d’agir au niveau des matières fertilisantes, responsables de l’augmentation du cadmium dans les sols et, in fine, dans les aliments. En France, l’agriculture conventionnelle utilise principalement des engrais minéraux importés du Maroc et de Tunisie, où les mines de phosphate de calcium sont naturellement riches en cadmium. À l’inverse, en agriculture biologique, seuls des engrais phosphatés issus de matières organiques sont autorisés.

Fièvre chez l’enfant : comment repérer les signes d’alerte rapidement

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Les signes de fièvre et de malaise chez l’enfant

La fièvre est une réaction normale du corps face à une infection. Cependant, certains cas nécessitent une vigilance accrue, surtout si la température dépasse certains seuils ou si d’autres symptômes apparaissent.

Fièvre élevée

  • Température corporelle supérieure à 39°C, surtout si elle dure plus de 24 heures
  • Présence de convulsions fébriles
  • Fièvre chez un nourrisson de moins de 3 mois

Chez les très jeunes enfants, une fièvre élevée peut indiquer une infection grave comme une méningite ou une septicémie. En cas de fièvre persistante ou associée à une extrême somnolence, un refus de boire ou une grande irritabilité, il est important de consulter rapidement.

Malaise ou fatigue inhabituelle

  • Enfant très fatigué ou somnolent, peu réactif
  • Perte d’appétit prolongée
  • Perte de poids soudaine ou signes de déshydratation

Un état général dégradé peut signaler une infection sérieuse ou d’autres problèmes médicaux nécessitant une évaluation urgente.

Les symptômes respiratoires à surveiller

Les troubles respiratoires sont courants chez l’enfant, surtout lors d’infections virales. Toutefois, certains signes doivent alerter pour éviter une détresse respiratoire grave.

Respiration difficile ou rapide

  • Souffle court ou respiration saccadée
  • Retrait des muscles entre les côtes ou au niveau du cou lors de la respiration
  • Respiration supérieure à 60 cycles par minute chez un bébé ou un jeune enfant

Changements dans la voix ou la respiration

  • Voix rauque ou enrouée persistante
  • Changement de ton ou de son lors de la respiration
  • Coloration bleutée des lèvres ou de la peau, signe d’hypoxie

Ces symptômes nécessitent une consultation immédiate ou une prise en charge aux urgences, car la détresse respiratoire peut évoluer rapidement.

Les signes liés à la peau et au comportement

Éruptions cutanées et coloration anormale

  • Éruptions rouges ou violacées qui ne disparaissent pas à la pression (pétéchies ou purpura)
  • Coloration bleutée des extrémités ou des lèvres
  • Peau très pâle ou jaunisse (jaunissement de la peau et des yeux)

Changements de comportement

  • Convulsions ou crises d’épilepsie
  • Perte de conscience ou état semi-comateux
  • Agitation extrême ou, à l’inverse, léthargie profonde

Ces signes indiquent souvent une urgence médicale. Par exemple, une éruption pétéchiale peut être le signe d’une infection grave comme la méningococcémie.

Les symptômes liés à l’alimentation et à la déshydratation

Une déshydratation peut évoluer rapidement chez l’enfant. Il est important de rester vigilant face à certains signaux.

Refus de boire ou de manger

  • Enfant qui ne veut plus s’alimenter ou boire pendant plusieurs heures
  • Vomissements répétés empêchant l’enfant de s’hydrater

Signes de déshydratation

  • Bouche sèche ou lèvres gercées
  • Urines moins fréquentes ou de couleur foncée
  • Somnolence ou irritabilité importante
  • Yeux enfoncés ou fontanelle bombée chez les bébés

Une déshydratation sévère doit être prise en charge immédiatement, car elle peut entraîner un choc ou une défaillance d’organes.

Les douleurs inhabituelles ou persistantes

Douleurs aiguës ou persistantes

  • Douleurs abdominales intenses ou durables
  • Douleurs à la tête ou au cou avec vomissements ou troubles visuels
  • Douleurs thoraciques ou dorsales

Signes associés à la douleur

  • Enfant se plaignant ou se couvrant de douleurs constantes
  • Changements de comportement, comme irritabilité ou léthargie

Ces douleurs peuvent indiquer une appendicite ou une infection grave, nécessitant une consultation rapide.

Les symptômes spécifiques chez les enfants de moins de 6 mois

Les nourrissons étant particulièrement vulnérables, certains signes doivent être pris très au sérieux, même s’ils semblent bénins.

Refus de téter ou d’allaiter

  • Enfant refusant la nourriture ou le lait sans raison apparente
  • Perte de poids rapide ou déshydratation visible

Changements dans le comportement

  • Somnolence excessive ou, à l’inverse, agitation
  • Signes de douleur ou inconfort, comme pleurs inconsolables

Signes de maladie grave chez le nourrisson

  • Fièvre chez un bébé de moins de 3 mois
  • Respiration rapide ou difficile
  • Coloration bleutée ou pâle

En cas de doute, il est toujours conseillé de consulter rapidement un professionnel de santé. La prise en charge précoce peut faire toute la différence.

Quand consulter un médecin ou se rendre aux urgences ?

Il n’est pas toujours évident de déterminer si un symptôme nécessite une consultation immédiate ou une simple surveillance. Voici quelques conseils :

  • Si l’enfant a une respiration rapide ou une coloration bleutée, notamment au niveau des lèvres ou des extrémités
  • En cas de convulsions, perte de conscience ou crises d’épilepsie
  • Lorsqu’un enfant ne répond plus ou est très somnolent
  • Si une éruption pétéchiale ou violacée apparaît, surtout si elle s’étend rapidement
  • Forte fièvre chez un bébé de moins de 3 mois ou fièvre qui ne baisse pas après traitement
  • Refus de boire ou d’alimenter associé à des signes de déshydratation
  • Douleurs abdominales ou thoraciques intenses ou persistantes

En cas de doute, il est toujours préférable de consulter un professionnel ou d’appeler les urgences. La rapidité d’intervention peut sauver la vie de l’enfant.

Révolution en psychiatrie : les animaux sauvent des vies et transforment la thérapie

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Dans les hôpitaux psychiatriques, des professionnels de santé utilisent la médiation animale pour accompagner leurs patients. Cette approche consiste à faire intervenir des animaux pour aider à mieux gérer les troubles mentaux.

Le rôle des animaux dans la thérapie

Manon, une jeune femme de 30 ans, souffrait d’anorexie et de dépression. Après une tentative de suicide en mars dernier, elle a été hospitalisée plusieurs mois à Sainte-Anne, à Paris. Aujourd’hui, elle se sent mieux grâce à un traitement personnalisé et à un programme de médiation canine. Elle raconte que la présence des animaux, comme une chienne apportée par une infirmière, a eu un effet positif. Selon elle, ces animaux absorbent les émotions sans juger et complètent le traitement médical.

Une pratique encadrée par des spécialistes

Marine Chauveau, infirmière diplômée de l’Institut français de zoothérapie, accompagne ses patients avec ses animaux. Quatre fois par mois, elle intervient dans l’établissement avec sa petite chienne Talia, et récemment, avec sa lapine Bella. Ces sessions sont appréciées par les patients, jeunes et âgés, ainsi que par le personnel soignant. Selon Marine Chauveau, cela permet de calmer les malades et de valoriser leur travail. Isabelle Gitton, cadre de santé, estime que cette médiation peut aussi limiter la prise de médicaments supplémentaires.

Des initiatives à l’échelle nationale

En France, d’autres structures proposent également des programmes de médiation animale pour des patients atteints de troubles mentaux tels que la schizophrénie, l’autisme ou la dépression. Par exemple, à Lyon, une consultation hebdomadaire avec trois chiens a été mise en place pour des enfants hospitalisés, notamment autistes. Le professeur Pierre Fourneret, pédopsychiatre, explique que cette approche modifie la perception des enfants agités. Elle permet, par exemple, à Gabriel, 13 ans, souffrant de TDAH, de se calmer et de se rassurer lors de ses hospitalisations.

Les fermes thérapeutiques et autres projets innovants

Depuis près de dix ans, une ferme thérapeutique à Ville-Évrard, en région parisienne, accueille des patients sur prescription médicale. Elle héberge une quinzaine d’animaux, dont des ânes, chèvres, poules, lapins ou chiens. La zoothérapeute Ermelinda Hadey souligne que cette méthode vise à soigner autrement, en utilisant des approches non médicamenteuses.

Une autre initiative concerne un partenariat entre le GHU Paris Psychiatrie Neurosciences de Sainte-Anne et un club hippique près de Poitiers. Depuis 2021, des patients victimes de traumatismes psychologiques rencontrent des chevaux durant plusieurs jours. Selon la psychologue Dominique Joaüs, cette expérience leur permet de se sentir en confiance, apaisés et en sécurité face à leur vécu.

Articulations après 50 ans : découvrez la solution miracle pour soulager la douleur

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Un meilleur confort articulaire après 50 ans

Après 50 ans, il est courant de ressentir une certaine raideur ou des douleurs au niveau des articulations. Cependant, il n’y a pas de fatalité. En adoptant de bonnes habitudes et en soutenant la santé du cartilage, il est possible de préserver sa mobilité et son confort articulaire sur le long terme.

Les études récentes mettent en avant une solution efficace : une association de trois nutriments essentiels. La glucosamine, la chondroïtine et le collagène travaillent ensemble pour entretenir les tissus articulaires et réduire les gênes liées à l’usure naturelle.

Les effets d’une meilleure qualité de vie articulaire

Avec l’âge, le cartilage des articulations s’amincit. La production de collagène, protéine structurale essentielle, diminue également. La quantité d’acide hyaluronique, qui lubrifie les articulations, diminue aussi, ce qui peut causer davantage d’inconfort et d’inflammations chroniques. Cependant, ces troubles peuvent être atténués grâce à une combinaison de compléments. La prise de chondroïtine et de glucosamine en gélules permet de réduire les douleurs et de retrouver une meilleure mobilité.

Les bienfaits de la glucosamine

La glucosamine est une substance naturellement présente dans le cartilage. Elle participe à sa réparation et agit comme une huile pour les articulations, facilitant leur mobilité. Après 50 ans, la production naturelle de glucosamine baisse, ce qui augmente le risque d’arthrose. Les compléments alimentaires riches en glucosamine ont montré leur efficacité pour préserver la santé des articulations et retarder l’usure du cartilage. Ils sont particulièrement utiles pour prévenir ou limiter les douleurs liées à une arthrose modérée.

Le rôle de la chondroïtine

Comme la glucosamine, la chondroïtine est un composant naturel du cartilage. Elle aide à retenir l’eau dans le tissu articulaire, ce qui améliore sa résistance. Elle agit aussi en bloquant les enzymes qui dégradent le cartilage. Lorsqu’elle est associée à la glucosamine, la chondroïtine optimise la protection des articulations. Les personnes de plus de 50 ans qui prennent ces deux actifs en gélules constatent souvent une diminution des douleurs et une récupération de fluidité dans leurs mouvements.

Pourquoi intégrer du collagène dans la routine ?

Le collagène, notamment sous forme de complément alimentaire, compense la faiblesse des tissus après 50 ans. Produit en France, il soutient tendons, ligaments et cartilage. Sa consommation régulière aide à prévenir les micro-lésions, à réduire l’inflammation et à protéger contre les entorses ou tendinites. Elle permet aussi de reprendre une activité physique sans inconfort ni risque accru de blessures, un avantage précieux avec l’âge.

Comment optimiser cette synergie ?

Les effets de la combinaison de chondroïtine, glucosamine et collagène se font généralement sentir en deux à trois mois. Ces molécules ne régénèrent pas le cartilage, mais elles ralentissent sa dégradation. Pour une meilleure assimilation, il est conseillé de prendre ces compléments lors d’un repas. La vitamine C, essentielle à la synthèse du collagène, doit aussi être intégrée à l’alimentation, par exemple sous forme de fruits frais ou de supplémentation. Ces nouvelles habitudes sont simples à adopter et ne provoquent généralement pas d’effets secondaires ou de troubles digestifs.

Lutte contre le gaz cancérogène dans l’eau : la première en France

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Un recours pour mieux détecter le gaz cancérogène dans l’eau potable

Ce lundi 27 octobre, deux associations ont saisi le tribunal administratif de Nantes pour demander à l’État d’améliorer la détection du chlorure de vinyle monomère (CVM) dans l’eau qui circule dans les canalisations. Il s’agit d’une première en France sur ce sujet.

Les associations souhaitent que le tribunal enjoigne à l’État de renforcer ses contrôles sur le CVM, un gaz classé comme « cancérogène certain » depuis 1987. Selon leur avocate, cette démarche vise à faire réagir l’État qui, selon elles, ne répond pas depuis plusieurs mois.

Ce recours en injonction est une première en France sur le sujet du CVM et vise à forcer l’État, qui ne nous répond pas depuis des mois, à réagir

Le CVM, présent dans les canalisations en PVC installées dans les années 1970, est suspecté de provoquer notamment des cancers du foie. Sa présence dans l’eau potable est préoccupante, d’autant qu’il pourrait contaminer une partie importante du réseau français.

Une contamination potentielle importante

Selon le chercheur Gaspard Lemaire, le CVM pourrait être présent dans 15 % à 30 % du réseau d’eau potable en France. Il estime que 275.000 kilomètres de canalisations pourraient être contaminés, mais moins d’un quart de ces cas sont rendus publics.

Une action nationale face à l’inaction

Cette démarche intervient après plusieurs autres initiatives lancées par des habitants de différentes régions françaises, qui dénoncent la pollution au CVM et le manque de réaction de l’État. Les associations espèrent ainsi obtenir une meilleure application des réglementations en vigueur.

Les actions visent notamment à améliorer l’identification des tronçons contaminés, à renforcer les contrôles et à mieux informer les populations concernées. Selon l’avocate, « des fautes ont été commises » et il est important de faire reconnaître les responsabilités.

Hervé Conraux, membre du Comité citoyen de la Sarthe, déposé le recours avec l’antenne départementale de France Nature Environnement, souligne que face à l’absence de mesures suffisantes, il était urgent d’intervenir à l’échelle nationale pour faire respecter les règles et provoquer des réactions.

Les Français négligent leur vue : 63 % refusent lunettes et lentilles

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Nos yeux peuvent parfois nous faire défaut, surtout en vieillissant. En effet, la capacité naturelle de l’œil à s’adapter et à se régénérer diminue avec l’âge. En France, près de la moitié des personnes déclarent souffrir de problèmes de vue. Selon un sondage récent d’OpinionWay, une majorité de Français ne prennent pas suffisamment soin de leur vision.

Environ 63 % des Français ne portent pas leurs lunettes ou leurs lentilles, alors que leur utilisation est souvent recommandée. Pourtant, négliger la correction visuelle peut avoir des conséquences graves. Le baromètre Asnav 2025 indique qu’une mauvaise santé oculaire augmente le risque de troubles cognitifs, avec un risque cinq fois plus élevé, et celui de la maladie d’Alzheimer, neuf fois plus élevé. Chez les personnes âgées, cela peut aussi doubler ou tripler le risque de chutes après 65 ans. Il est donc essentiel de protéger ses yeux dès que possible.

Une alimentation qui protège la santé de vos yeux

Ce n’est pas seulement une question de porter des lunettes. Des chercheurs ont montré que l’alimentation joue un rôle clé dans la santé oculaire. Selon John Nolan, spécialiste en santé oculaire, la nutrition est désormais reconnue comme un facteur important pour préserver la vision.

Les radicaux libres, des déchets produits par le corps lors du métabolisme de l’oxygène, peuvent endommager la rétine. Comme l’explique le professeur Nolan, l’œil consomme énormément d’oxygène, ce qui favorise la production de ces radicaux. Le stress oxydatif causé par ces derniers peut provoquer des lésions importantes au niveau de la rétine.

Pour lutter contre cela, certains nutriments sont bénéfiques. Les bons gras, les vitamines et le zinc peuvent réduire ce stress oxydatif. Une étude américaine menée sur plus de 39 000 femmes sur dix ans a montré que celles qui consommaient au moins une portion de poisson gras par semaine, riche en oméga-3 (DHA et EPA), avaient jusqu’à 38 % de risque en moins de développer une dégénérescence maculaire liée à l’âge. Manger du poisson, des graines de courge ou des œufs peut donc aider à protéger vos yeux du vieillissement.

Six conseils alimentaires pour préserver votre vision

Pour profiter de ces bénéfices, il est conseillé d’adopter certains ajustements alimentaires simples et durables. Voici six recommandations de l’expert :

  • Mangez plus de carottes

Les carottes sont riches en bêta-carotène, un pigment végétal transformé en vitamine A par l’organisme. Cette vitamine est essentielle au bon fonctionnement de la rétine, notamment pour la vision nocturne. L’ajouter dans vos plats, qu’ils soient cuits, crus ou râpés, peut donc améliorer votre vision dans l’obscurité.

  • Consommez davantage d’œufs, de lait et de fromage

Les œufs, le lait et le fromage sont riches en lutéine et en vitamine E, deux nutriments qui protègent contre le stress oxydatif. Ces aliments contribuent aussi à maintenir une bonne vision nocturne. Une étude en Corée a montré qu’une consommation accrue de vitamines A et B2, présentes dans ces produits, diminue le risque de cataracte.

  • Privilégiez le riz brun plutôt que le riz blanc

Le riz brun conserve ses nutriments, notamment ses fibres et son cuivre, essentiels pour la santé des vaisseaux sanguins de la rétine. Le cuivre aide à maintenir la santé vasculaire, ce qui peut préserver la vision à long terme. En remplaçant le riz blanc par du riz brun, vous faites un petit geste en faveur de votre santé oculaire.

  • Remplacez le jus de fruits par du kiwi ou des baies

Les fruits comme le kiwi ou les baies sont riches en vitamine C, un antioxydant puissant. La vitamine C peut protéger le vitré, une partie centrale de l’œil en forme de boule de gélatine. En optant pour ces fruits, vous réduisez aussi votre consommation de sucre, qui peut endommager les vaisseaux de la rétine.

  • Préférez rôtir ou faire frire vos légumes avec de l’huile d’olive

Les caroténoïdes présents dans certains légumes sont liposolubles, c’est-à-dire qu’ils se dissolvent dans les graisses. Cuire les légumes dans de l’huile d’olive permet une meilleure absorption de ces nutriments protecteurs pour la rétine.

  • Ajoutez des légumes colorés à vos salades

Les légumes comme les poivrons ou les tomates contiennent des caroténoïdes, qui sont de puissants antioxydants. Ces pigments naturels aident à réduire la quantité de lumière bleue atteignant le fond de l’œil, protégeant ainsi la rétine. Plus vous en consommez, mieux c’est pour votre santé visuelle.

Une première en France : une crèche dans un Ehpad pour rapprocher générations

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Une initiative innovante dans le secteur public

Pour la première fois en France, un établissement public d’hébergement pour personnes âgées, l’Ehpad Lumières d’automne à Saint-Ouen-sur-Seine, accueille une crèche associative et parentale. L’objectif est de favoriser les rencontres entre générations et de donner un sens nouveau à ces espaces.

Un projet porté par des familles et soutenu par la collectivité

Mélanie Barey, mère d’une petite fille de 1 an et demi, explique que sa mère, résidente de l’Ehpad depuis trois ans, a intégré cette structure non lucrative située à proximité de leur domicile. Pour elle, c’était un choix fort, visant à garantir une prise en charge humaine et une équipe soudée.

Ce projet n’aurait pas été possible sans l’engagement d’un collectif de familles, ainsi que le soutien de la Caisse d’Allocations Familiales de Seine-Saint-Denis et de la ville de Saint-Ouen-sur-Seine. La crèche, baptisée Petits Bourgeons, a ouvert ses portes en septembre et accueille 24 enfants. Elle se trouve dans le parc de l’Ehpad, séparée du bâtiment par une barrière pour des raisons de sécurité, mais des échanges réguliers ont lieu par le biais des espaces extérieurs.

Des rencontres entre résidents et enfants

Les résidents et les enfants se croisent souvent lors de promenades ou de pauses café. Mélanie Barey souligne que ces interactions, même brèves, créent des liens précieux. L’objectif est d’établir des connexions en douceur, en respectant les rythmes très différents des personnes âgées et des bébés. Les professionnels encadrent ces échanges pour assurer le bien-être de chacun.

Au départ, certains résidents étaient réticents, notamment à cause des travaux, mais ces inquiétudes ont disparu une fois le lieu ouvert. Mélanie constate que les enfants créent une magie instantanée et facilitent les rencontres.

Des activités communes pour renforcer les liens

Plusieurs événements sont prévus dans les mois à venir, comme des séances de lecture, de chant, des activités artistiques ou des moments de jardinage dans le potager partagé. La fête de la musique, organisée en juin dernier, a rassemblé résidents, enfants et familles. Une brocante est également programmée début décembre.

Le projet vise à organiser des fêtes, des repas communs et des événements qui sortent du cadre habituel. L’idée est d’apporter de la vie dans ces espaces et de leur donner un vrai sens.

Un lieu qui favorise la continuité et la ville inclusive

Pour Mélanie Barey, cette initiative permet aussi de rendre le lieu plus familier pour les enfants. Elle souhaite leur transmettre la continuité des différentes étapes de la vie et leur montrer que ces espaces sont ouverts à la ville et à ses habitants. En tant qu’architecte, elle souligne que la place des enfants dans la ville reste encore trop souvent marginalisée, tout comme celle des personnes âgées, souvent peu visibles en dehors des établissements.

Ce projet constitue une réponse à ces enjeux, en créant des liens entre les générations et en rendant la ville plus inclusive. Mélanie insiste sur le fait que cette démarche permet de lutter contre l’isolement et d’apporter de la vie dans ces lieux de proximité.

À 71 ans, le secret de Jane Ziegler Sojka pour rester en forme dévoilé

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À 71 ans, Jane Ziegler Sojka partage sa méthode pour rester en forme

Jane Ziegler Sojka, âgée de 71 ans, n’est pas une retraitée inactive. Elle enseigne toujours le marketing à l’Université de Cincinnati, aux États-Unis. Dans le magazine Parade, elle affirme se sentir « plus en forme que jamais ». Cette vitalité, elle la doit à une nouvelle routine quotidienne : des cours de fitness combinant musculation, cardio et pleine conscience, pour maximiser ses résultats.

Pour elle, l’important n’est pas de faire des efforts extrêmes, mais d’être régulière. « Cela permet de développer et renforcer des muscles que je ne connaissais pas », explique-t-elle. Ces séances sont devenues pour elle bien plus que de simples entraînements. Elles sont une façon de prendre soin de son corps et de son esprit. Grâce à cette pratique, elle a notamment réussi à réduire ses douleurs aux genoux et à retrouver sa mobilité.

Un de ses plus grands succès est d’avoir pu monter et descendre seule les escaliers raides d’un stade de football pour aller voir jouer son petit-fils. Elle souligne qu’il y a dix ans, elle aurait eu peur de faire cela.

Son programme hebdomadaire

Pour maintenir cette régularité, Jane suit un planning précis chaque semaine. Le lundi et le mercredi, elle participe à un cours appelé « signature » dans sa salle de sport. Ce cours mêle renforcement musculaire, équilibre, étirements et cardio. Elle réalise des squats, des fentes et de petits mouvements à la barre. « C’est juste ce qu’il faut pour me réveiller, me faire bouger et commencer la journée de bonne humeur », confie-t-elle avec le sourire.

Les mardi et jeudi, place à la musculation. « À mon âge, se muscler est essentiel », affirme-t-elle. Elle utilise des haltères, des bandes de résistance, fait des pompes et des soulevés de terre. Elle apprécie que ces séances soient rythmées par de la musique et des routines amusantes, rendant l’entraînement plus agréable.

Le vendredi, elle privilégie un entraînement cardio de 45 minutes pour prendre soin de son cœur. Le samedi, elle opte pour une version plus douce du cours « signature », avec plus d’étirements. « J’en ressors revigorée », dit-elle. Lorsqu’elle se sent fatiguée, elle remplace ses exercices en salle par un cours d’aquagym, ce qui lui permet de retrouver son énergie pour repartir le lendemain.

Une source d’inspiration et d’encouragement

Jane veille aussi à sa vitalité en promenant ses trois chiens, une habitude qu’elle partage avec son mari. « Quand il fait froid, qu’il pleut, que je suis fatiguée ou que je n’ai pas envie, je regarde mes chiens. Leur motivation me pousse à enfiler mes chaussures de marche », explique-t-elle.

Professeure active, elle a choisi de porter des baskets pour ménager ses articulations lors de ses déplacements. « Certains pourraient critiquer ma tenue, un tailleur avec des baskets, mais je pense qu’en agissant ainsi, j’encourage aussi mes élèves à bouger », affirme-t-elle. Son style vestimentaire symbolise sa philosophie : vieillir ne doit pas empêcher de rester forte et joyeuse, ni de continuer à bouger chaque jour.

Ma routine beauté à 40 ans : secrets pour une peau éclatante et adaptée

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Alors que je m’approche de la quarantaine, je constate que ma peau change. Les hormones sont souvent en désordre, mais j’ai aussi appris à mieux la connaître et à en prendre soin. Pendant ma jeunesse, je testais des produits vantés par la publicité, mais je n’obtenais que des déceptions. Après plusieurs années d’expériences, j’ai compris que ma routine doit évoluer en fonction de mon cycle hormonal, de la météo et de mon état d’esprit.

Routine matinale : nettoyage et protection

Le matin, entre les responsabilités familiales et la course contre la montre, je me contente de me brosser les dents et de me laver le visage à l’eau pour avoir l’air présentable. Après une séance de sport et une douche rapide, je fais le point sur l’état de ma peau.

Si ma peau semble normale, j’applique mes soins hydratants habituels. En revanche, si elle a besoin d’un décrassage, notamment après une soirée entre amis ou durant la phase lutéale de mon cycle, j’utilise une huile démaquillante appelée Get Unblocked. Bien que recommandée pour le soir, cette huile dissout aussi le sébum et les impuretés le matin, sans agresser la barrière lipidique de la peau.

Je l’applique à sec, en massant longuement pour stimuler la circulation et réduire les gonflements. J’apprécie son parfum doux et son effet matifiant. Ensuite, je protège ma peau avec une crème solaire Supergoop Unseen SPF 30+, qui sert aussi de base pour le maquillage. Sa texture légère et sans parfum offre une sensation veloutée agréable à l’application.

Soins ciblés pour le regard et la croissance des sourcils

Pour mes yeux, qui présentent des poches de plus en plus marquées avec l’âge, j’utilise un sérum raffermissant à base de peptides. Son applicateur large facilite le massage et permet de défatiguer le regard. Ce sérum est doux, sans parfum, et contribue aussi à renforcer la tenue de l’anticernes.

Récemment, j’ai remarqué une perte de densité au niveau de mes sourcils, qui s’éclaircissent avec l’âge. Pour stimuler leur pousse, j’applique un sérum pour sourcils de Mavala. En quelques semaines, j’ai déjà constaté des résultats visibles.

Priorité à l’hydratation

En 2022, après avoir soufflé mes 38 bougies, j’ai discuté avec mon esthéticienne de mes rides naissantes. Elle m’a expliqué que ma peau manquait d’hydratation, ce qui accentuait ces rides. Depuis, l’hydratation est devenue ma priorité.

Je me tourne vers l’huile régénérante MiYé, adaptée aux peaux matures. Elle aide à préserver l’équilibre du microbiome cutané, lutte contre le stress oxydatif, et stimule la régénération cellulaire. Elle apaise aussi les rougeurs et irritations, un avantage avec l’âge. Son fini léger et sec la rend agréable à utiliser.

Choix de la crème de jour selon la période du cycle

Pour ma crème de jour, j’hésite entre deux options : Hyaluronic Acid + Peptides Ceramide d’Elizabeth Arden ou la crème raffermissante Mimétique. La première hydrate en profondeur, protège et apaise, sans laisser de sensation grasse. La seconde est légère, hydratante, et repulpante.

En début et en fin de cycle, j’utilise la crème Mimétique, qui donne un coup d’éclat à ma peau, particulièrement en hiver lorsque celle-ci est sèche. Pendant la phase pré-ovulatoire, je préfère la crème Elizabeth Arden, riche en céramides, pour renforcer l’élasticité et l’hydratation.

Soins du soir : nettoyage et apaisement

Après une journée bien remplie, je prends le temps de nettoyer mon visage avec la brosse Lauvée. Elle élimine impuretés et favorise la régénération nocturne, tout en étant douce et adaptée aux peaux sensibles.

Selon mon cycle, je choisis aussi mon soin du soir. En début et fin de règle, j’applique l’onguent Estime & Sens, qui hydrate et apaise ma peau. En milieu de cycle, je privilégie la crème de nuit et le sérum de Typology, pour une régénération en profondeur.

Pour moi, cette routine n’est plus une contrainte. C’est un moment de plaisir, une façon d’apprendre à mieux me connaître et de prendre soin de moi chaque jour.

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