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Actualité du site Focus-senior

Surdose de caféine

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Un ado de 16 ans est décédé d’une crise cardiaque aux Etats-Unis après avoir consommé trois boissons caféinées en deux heures. Le jeune homme avait bu un café latte, un Mountain Dew XL et une boisson énergisante, ces deux dernières étant enrichies en caféine. Une étude parue dans l’International Journal of Cardiology en février dernier avait alerté sur les risques des boissons énergisantes au niveau cardiaque chez de jeunes sujets.

Recyclez vos médicaments

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Sirops, comprimés ou antibiotiques : les Français montrent l’exemple dans le recyclage des médicaments. 80 % rapportent à la pharmacie leurs traitements non utilisés et/ou périmés. Les femmes (86 %), les plus de 50 ans (87%) et les habitants des zones rurales sont les meilleurs élèves selon Cyclamed. Cette association milite pour la collecte et la valorisation des médicaments non utilisés. En 2016, elle a recyclé plus de 12 000 tonnes de boîtes.

Future maman : des ateliers pour préparer au mieux l’arrivée de bébé

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Vous êtes une future maman ? Vous habitez le Var ? C’est l’occasion de participer aux ateliers du pôle Femme-Mère-Enfant de la Dracénie. Ces journées spéciales sont organisées sur mesure pour les jeunes parents ou ceux étant sur le point de le devenir. On y discute accouchement, échographie, allaitement, portage, alimentation… Tout un panel de conseils à même d’aider les personnes anxieuses à l’idée d’affronter seul l’arrivé de bébé. Si vous n’êtes pas de la région, cela vaut la peine de réserver sans tarder un billet de TGV.

Prévenir les accidents de défenestration

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Chaque année, plusieurs dizaines d’enfants chutent accidentellement d’une fenêtre ou d’un balcon. Les victimes sont majoritairement des petits garçons de moins de 6 ans. Santé publique France lance une campagne de prévention pour rappeler les règles de sécurité aux parents. L’accident a souvent lieu pendant les heures de préparation des repas et, dans 82 % des cas, un adulte est présent dans le logement pendant la chute de l’enfant.

VIRUS- Alerte au moustique-tigre

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Il est petit, rayé et porteur de maladies virales (Zika, dengue ou chikungunya) : le moustique tigre est de nouveau la bête noire du ministère de la Santé. Depuis le 1er mai et jusqu’au 30 novembre, trente départements sont en alerte, du Sud-Ouest au Sud-Est jusqu’au Rhône. Pour se prémunir : supprimer toute eau stagnante où se développent les larves du moustique. En cas de piqûre, contactez votre médecin.

Toux sèche ou grasse : comment les reconnaître et quand consulter

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La toux peut prendre différentes formes : sèche, grasse, sifflante ou quinteuse. Chacune a ses caractéristiques propres. Comment les reconnaître et savoir quand consulter un médecin ?

La toux sèche est généralement irritative, souvent causée par un virus ou une allergie. Elle ne produit pas de mucus. La Dr Cédric Villeminot, médecin généraliste, précise qu’elle est « irritative, souvent d’origine virale ou allergique ».

La toux grasse, quant à elle, est souvent d’origine bactérienne, mais peut aussi être virale. Elle se caractérise par la production de mucus. Elle sert à évacuer les sécrétions et ne doit pas être bloquée, insiste le médecin.

Des quintes de toux intenses, accompagnées d’une respiration bruyante, peuvent évoquer la coqueluche. Cela est parfois appelé « chant du coq ». La toux chronique dure plus de trois semaines. Un reflux gastro-œsophagien (RGO) peut provoquer une toux nocturne non sifflante. En revanche, une toux sifflante récurrente, surtout la nuit, peut indiquer un asthme ou une allergie.

Quels sont les signes d’alerte ?

Une toux persistante ou inhabituelle doit attirer l’attention. Si elle dure plus de trois semaines, il est important de consulter. La présence de crachats avec du sang, une fièvre dépassant 72 heures, des difficultés à respirer ou une perte de poids inexpliquée sont autant de signes nécessitant une consultation rapide.

Les médicaments qui peuvent aggraver la toux

Certaines medications peuvent provoquer ou aggraver la toux. Les inhibiteurs de l’enzyme de conversion (IEC), utilisés pour traiter l’hypertension, peuvent entraîner une toux sèche. Les bêtabloquants, prescrits pour l’hypertension ou l’insuffisance cardiaque, peuvent aussi provoquer un bronchospasme ou aggraver une toux d’asthme. Si une toux apparaît après la prise d’un nouveau traitement, il faut en parler à son médecin.

Pourquoi éviter l’automédication ?

Les antitussifs, souvent en vente libre, sont peu efficaces et peuvent masquer des symptômes importants. Le Dr Villeminot souligne qu’ils retardent souvent le diagnostic, notamment en cas d’infection bactérienne, où une surinfection peut survenir. La toux est un réflexe naturel qui protège et nettoie les bronches. Il est donc préférable d’éviter ces médicaments.

Les fluidifiants : utiles ou risqués ?

Les fluidifiants peuvent aider à évacuer les mucosités. Cependant, ils sont contre-indiqués chez les asthmatiques ou les personnes atteintes d’insuffisance cardiaque, car ils risquent de provoquer un encombrement bronchique nocturne. Pour limiter ce risque, il est conseillé de les prendre plutôt en fin d’après-midi, vers 16 heures, et d’éviter toute prise après 20 heures, leur efficacité étant d’environ quatre heures.

Comment traiter la toux et quand consulter ?

Les gestes simples peuvent soulager : boire régulièrement, humidifier l’air, se moucher si besoin, prendre une douche tiède avant de dormir et arrêter de fumer. Il est aussi important de respecter les gestes barrières, comme se laver les mains, tousser dans son coude et aérer régulièrement.

Il faut consulter rapidement un médecin si vous avez de la fièvre depuis plus de 72 heures, si vous crachez du sang, si vous avez des difficultés à respirer, une perte de poids inexpliquée ou si la toux dure plus de trois semaines. Cela est particulièrement important pour une femme enceinte, un enfant, une personne âgée ou une personne en situation de handicap. Le médecin pourra alors établir un diagnostic précis et proposer un traitement adapté, selon la cause : médicaments pour l’asthme, antiacides pour le RGO, ou antibiotiques en cas d’infection bactérienne.

Notre expert : Dr Cédric Villeminot, médecin généraliste

Une première en France : une crèche dans un Ehpad pour rapprocher générations

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Une initiative innovante dans le secteur public

Pour la première fois en France, un établissement public d’hébergement pour personnes âgées, l’Ehpad Lumières d’automne à Saint-Ouen-sur-Seine, accueille une crèche associative et parentale. L’objectif est de favoriser les rencontres entre générations et de donner un sens nouveau à ces espaces.

Un projet porté par des familles et soutenu par la collectivité

Mélanie Barey, mère d’une petite fille de 1 an et demi, explique que sa mère, résidente de l’Ehpad depuis trois ans, a intégré cette structure non lucrative située à proximité de leur domicile. Pour elle, c’était un choix fort, visant à garantir une prise en charge humaine et une équipe soudée.

Ce projet n’aurait pas été possible sans l’engagement d’un collectif de familles, ainsi que le soutien de la Caisse d’Allocations Familiales de Seine-Saint-Denis et de la ville de Saint-Ouen-sur-Seine. La crèche, baptisée Petits Bourgeons, a ouvert ses portes en septembre et accueille 24 enfants. Elle se trouve dans le parc de l’Ehpad, séparée du bâtiment par une barrière pour des raisons de sécurité, mais des échanges réguliers ont lieu par le biais des espaces extérieurs.

Des rencontres entre résidents et enfants

Les résidents et les enfants se croisent souvent lors de promenades ou de pauses café. Mélanie Barey souligne que ces interactions, même brèves, créent des liens précieux. L’objectif est d’établir des connexions en douceur, en respectant les rythmes très différents des personnes âgées et des bébés. Les professionnels encadrent ces échanges pour assurer le bien-être de chacun.

Au départ, certains résidents étaient réticents, notamment à cause des travaux, mais ces inquiétudes ont disparu une fois le lieu ouvert. Mélanie constate que les enfants créent une magie instantanée et facilitent les rencontres.

Des activités communes pour renforcer les liens

Plusieurs événements sont prévus dans les mois à venir, comme des séances de lecture, de chant, des activités artistiques ou des moments de jardinage dans le potager partagé. La fête de la musique, organisée en juin dernier, a rassemblé résidents, enfants et familles. Une brocante est également programmée début décembre.

Le projet vise à organiser des fêtes, des repas communs et des événements qui sortent du cadre habituel. L’idée est d’apporter de la vie dans ces espaces et de leur donner un vrai sens.

Un lieu qui favorise la continuité et la ville inclusive

Pour Mélanie Barey, cette initiative permet aussi de rendre le lieu plus familier pour les enfants. Elle souhaite leur transmettre la continuité des différentes étapes de la vie et leur montrer que ces espaces sont ouverts à la ville et à ses habitants. En tant qu’architecte, elle souligne que la place des enfants dans la ville reste encore trop souvent marginalisée, tout comme celle des personnes âgées, souvent peu visibles en dehors des établissements.

Ce projet constitue une réponse à ces enjeux, en créant des liens entre les générations et en rendant la ville plus inclusive. Mélanie insiste sur le fait que cette démarche permet de lutter contre l’isolement et d’apporter de la vie dans ces lieux de proximité.

Vapotage classé comme tabac, une interdiction en vue en 2026

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Une interdiction de la vente en ligne des produits de vapotage envisagée

Le projet de budget pour 2026 prévoit de nouvelles mesures concernant les produits de vapotage. Parmi celles-ci, une taxe supplémentaire sur les e-liquides et une assimilation légale aux produits du tabac.

Concrètement, l’article 23 du projet de loi de finances (PLF) 2026 déclare que les produits de vapotage seront considérés comme des produits du tabac. Cette classification pourrait entraîner l’interdiction de leur vente en ligne. Actuellement, la vente par Internet représente environ 25 à 30 % du chiffre d’affaires des entreprises du secteur, selon la Fivape, le syndicat de l’industrie du vapotage.

Conséquences pour les consommateurs et les entreprises

Si cette mesure est adoptée, il ne sera plus possible d’acheter des e-liquides ou des cigarettes électroniques en ligne, comme c’est déjà le cas pour les cigarettes classiques. La vente en boutique physique resterait autorisée, mais la fermeture du canal en ligne serait un coup dur pour le secteur.

Les vapoteurs pourraient également payer plus cher leurs produits, avec une augmentation de 30 à 50 centimes d’euro par flacon d’e-liquide, selon la Fivape.

Une pétition pour faire retirer la mesure

Face à cette menace, une pétition a été lancée pour demander le retrait de l’article 23 du PLF. Les signataires dénoncent une interdiction qui couperait l’accès au vapotage à des centaines de milliers de Français. Elle mettra également en péril de nombreuses entreprises de e-commerce innovantes et des boutiques physiques qui dépendent de ces ventes en ligne.

Selon la Fivape, la vente en ligne ne se limite pas à la transaction : elle sert aussi à fournir des informations, des tutoriels, des avis clients, ainsi qu’un service après-vente. L’interdire reviendrait à compliquer la vie des consommateurs et à augmenter le coût des produits.

Risques liés à une régulation stricte

Les entreprises du vapotage seraient également contrôlées par les douanes. La vente pourrait alors se faire uniquement dans des établissements agréés ou chez les buralistes. La Fivape estime que cela entraînerait la disparition de la filière indépendante, composée de 3 500 boutiques et de 20 000 emplois. Elle pourrait également favoriser le développement du marché noir.

Impact sur la santé publique

Le syndicat affirme que ces mesures pénaliseraient la santé publique. Même si la cigarette électronique comporte certains risques à long terme, vapoter reste beaucoup moins nocif que fumer. La vape est souvent considérée comme un outil efficace pour aider à arrêter de fumer.

Rachida Dati rassure sur la sécurité du Louvre malgré le cambriolage

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Rachida Dati défend la sécurité du Louvre après le cambriolage

La ministre de la Culture, Rachida Dati, a réaffirmé ce mercredi 22 octobre que le système de sécurité du Louvre n’a pas été défaillant lors du cambriolage survenu dimanche. Elle précise que tous les dispositifs d’alarme ont été déclenchés à chaque étape de l’intrusion, de la fenêtre aux vitrines. Selon elle, aucun système n’a connu de panne.

Après avoir rapidement salué le travail des agents du musée, la ministre a tenu à dénoncer les fausses informations qui circulent depuis dimanche, mettant en cause la sécurité interne du Louvre. Elle estime que ces attaques ciblées sont injustes et instrumentalisent un événement grave.

Je regrette les fausses informations qui circulent depuis dimanche mettant en cause les dispositifs de sécurité internes du musée et donc les agents qui en ont la responsabilité

Rachida Dati insiste : « Les systèmes d’alarme ont été déclenchés à chaque effraction, et dès l’intrusion dans la salle, de la fenêtre aux vitrines. Aucun système n’a été défaillant. » Cependant, elle admet que des améliorations sont nécessaires et attend une liste de mesures urgentes de la part de l’Élysée.

Ce mercredi, Emmanuel Macron a demandé lors du Conseil des ministres que des mesures de sécurisation du Louvre soient accélérées. Il attend une proposition concrète pour la semaine prochaine.

Une sécurisation renforcée et des critiques envers la mairie de Paris

La ministre souligne que la galerie Apollon, située à proximité du Louvre, est déjà équipée de dispositifs de sécurité, de vidéosurveillance et d’alarmes adaptés. Elle insiste cependant sur le fait que l’urgence concerne surtout la sécurisation des abords du musée.

La faiblesse est extérieure à la galerie, et non intérieure, à ce stade

Pour renforcer la sécurité, Rachida Dati a demandé l’installation d’une antenne de police au sein du musée, une initiative qu’elle estime essentielle. Elle a aussi critiqué l’absence de contact avec la mairie de Paris, alors que le Louvre se trouve en plein cœur de la capitale.

Elle déplore que la maire de Paris, Anne Hidalgo, ne se soit pas encore mobilisée sur cette question. « Je n’ai pas eu de contact avec la mairie, ce qui est assez incompréhensible. Il s’agit du plus grand musée du monde, situé dans la ville dont elle est l’élue », a-t-elle déclaré.

Rachida Dati réitère aussi son appel à renforcer la vidéoprotection dans l’espace public, une responsabilité qui incombe selon elle à la maire de Paris, mais qui semble, selon ses propos, ne pas être une priorité actuellement.

Congélation d’ovocytes : une avancée mais des délais qui freinent

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Une prise de conscience tardive pour Laeticia

En France, toutes les femmes ont le droit de congeler leurs ovocytes, sans motif médical, et cette procédure est entièrement prise en charge par l’Assurance maladie depuis la loi de bioéthique de 2021. Si c’est une avancée importante pour la liberté reproductive des femmes, elle comporte aussi un revers : les délais pour obtenir un rendez-vous sont souvent très longs, parfois plusieurs mois voire plusieurs années. Cela crée une course contre la montre, surtout lorsque l’on approche de l’âge limite pour cette procédure.

C’est le cas de Laeticia, qui à 35 ans, découvre qu’il pourrait déjà être trop tard pour elle. Elle raconte comment tout a commencé lors d’une discussion avec ses amies dans un café. Elles évoquaient la nécessité de partir en Espagne pour faire congeler leurs ovocytes, car en France, il serait déjà trop tard pour elles. Laeticia apprend alors que l’âge limite pour la congélation en France est de 37 ans, avec un délai d’attente d’au moins un an. Elle se rend compte qu’à 35 ans, elle est déjà presque à la limite.

Les démarches et les délais d’attente

Le jour de son rendez-vous chez la gynécologue, Laeticia ressent une certaine appréhension. Elle craignait d’être jugée pour sa situation, étant encore célibataire à 35 ans. Mais la gynécologue l’a rassurée, lui expliquant que cette démarche est une forme de sécurité et qu’elle n’est pas jugée. Laeticia souligne que ce qui l’a aidée, c’est l’attitude bienveillante du corps médical.

Sa gynécologue lui a cependant été claire : « Elle m’a dit qu’au regard de mon âge et des délais, c’était « maintenant ou jamais ». » Laeticia insiste sur l’importance pour les femmes de ne pas attendre la dernière minute. Elle veut alerter : « Il ne faut pas attendre 37 ans pour congeler ses ovocytes, même si c’est l’âge légal en France. Le parcours est long, et à 35 ans, c’est déjà presque limite. »

La procédure n’est pas simple. La gynécologue lui fournit la liste des hôpitaux habilités à pratiquer la préservation de la fertilité. Mais les délais d’attente sont très longs : entre 10 et 12 mois pour obtenir un premier rendez-vous, puis jusqu’à 4 ans pour la ponction elle-même. Laeticia a finalement réussi à obtenir un rendez-vous dans un centre, où elle a été bien accueillie, sans avoir à justifier sa démarche.

Le protocole de la congélation

Le médecin lui explique que le protocole commence par une série d’examens. Ensuite, il y a une phase de stimulation ovarienne, qui consiste à s’injecter des piqûres pendant 10 jours. Laeticia devra ensuite se rendre disponible pour la ponction, qui nécessite une organisation rigoureuse. Elle ne pourra pas prévoir de vacances ou d’autres engagements pendant cette période.

Elle s’interroge aussi sur son avenir : le test de fertilité sera déterminant. Si ses ovocytes montrent qu’elle a la fertilité d’une femme de 25 ans, c’est une bonne nouvelle. Mais si le résultat indique une fertilité de femme de 45 ans, l’hôpital pourrait refuser de prélever ses ovocytes. C’est pourquoi, pour Laeticia, il est crucial de s’y prendre tôt.

Elle prévoit que la congélation aura lieu avant la fin de l’année 2025. Elle explique qu’elle sera fière d’avoir franchi cette étape, qui lui permettra d’avoir plus de liberté. Elle ne se sent plus sous pression pour rencontrer quelqu’un, car elle aura déjà sécurisé sa fertilité.

Un futur choix personnel

Plusieurs médecins lui ont confié que certaines patientes ont trouvé « le bon » peu de temps après leur protocole. Laeticia espère faire de même. Sinon, elle indique qu’elle pourrait envisager de devenir maman seule, laissant la porte ouverte à cette possibilité.

Les femmes peuvent utiliser leurs ovocytes jusqu’à leur 45e anniversaire. Elles ont aussi la possibilité de les conserver, de les utiliser pour une procréation médicalement assistée (PMA), de les donner à des personnes en attente d’un don ou à la recherche scientifique, ou encore de mettre fin à leur conservation. Laeticia a déjà réfléchi à son avenir : « Je donnerai mes œufs à la science quand j’aurai dépassé l’âge légal. Je redonnerai ce qu’on m’a donné. »

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