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Restez actif pour mieux vieillir et préserver votre vitalité

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S’activer : maintenir une activité physique et mentale

Le premier principe essentiel pour mieux vieillir est de rester actif, tant sur le plan social que physique et mental. La gérontologue Susie DiGiovanna insiste sur l’importance de faire un effort conscient pour socialiser, pratiquer une activité physique et s’impliquer dans des activités qui favorisent le bien-être. Elle souligne que prendre soin de soi ne se fait pas par hasard, mais demande une démarche volontaire, notamment en ayant un entourage soutenant.

Des études montrent que l’isolement social augmente considérablement les risques de mortalité. Une recherche menée aux États-Unis sur plus de 13 600 adultes de plus de 50 ans a révélé que l’isolement social accroît de 29 % le risque de décès et de 40 % le risque de développer une démence. Les liens sociaux et l’activité physique permettent de stimuler le cerveau, favorisant la neuroplasticité — c’est-à-dire la capacité du cerveau à créer de nouvelles connexions, même avec l’âge.

Devenir adulte : assumer ses responsabilités

Le deuxième principe, que la spécialiste appelle le « devenir adulte », consiste à prendre en main son vieillissement avec maturité. Même si l’on est physiquement un adulte, il est crucial d’adopter une attitude responsable face à cette étape de la vie. Préparer sa vieillesse en rédigeant, par exemple, un testament ou en déclarant ses directives médicales, peut sembler difficile ou effrayant. Pourtant, cela procure une grande paix intérieure.

Susie DiGiovanna partage avoir elle-même testé cette démarche à 64 ans, en se préparant mentalement et matériellement pour l’avenir. Elle souligne que cette préparation permet d’être plus serein et d’éviter le stress lié à l’incertitude. Discuter de ses souhaits avec ses proches ou gérer ses finances font partie de cette responsabilité adulte qui facilite l’acceptation du vieillissement.

Accepter le temps qui passe

Le dernier principe consiste à accepter le vieillissement. Bien que cela ne soit pas toujours facile, il est important de ne pas résister à l’évidence du temps qui passe. La spécialiste explique que nier son âge ou tenter de le refouler peut être nuisible pour la santé.

Une revue de 32 études, réalisée en 2024, montre que percevoir positivement son âge améliore la qualité de vie, tandis qu’une vision négative peut la dégrader. Accepter son âge et adopter une attitude optimiste ont des effets bénéfiques sur le bien-être mental et physique, surtout après 60 ans. Susie DiGiovanna conclut que ceux qui acceptent leur statut de senior, avec curiosité et ouverture d’esprit, vivent plus sereinement.

Rester assis trop longtemps : un danger insoupçonné pour votre santé

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Une nouvelle étude scientifique met en lumière un danger insoupçonné dans notre routine quotidienne. Rester assis pendant de longues périodes pourrait augmenter le risque de développer plusieurs types de cancers.

Les risques liés à la sédentarité

Selon plusieurs recherches internationales, le fait de rester assis trop longtemps dans la journée est associé à un risque accru de certains cancers. Parmi eux, le cancer du colon, du poumon, de l’endomètre ou encore du sein. Les scientifiques expliquent que cette habitude nuit au métabolisme, favorise l’inflammation chronique et affaiblit les défenses naturelles du corps. Il est donc conseillé de bouger davantage chaque jour pour réduire ces risques.

Un rapport alarmant de l’OMS sur la consommation d’alcool

Un rapport récent de l’Agence internationale de recherche sur le cancer (CIRC), branche de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), confirme que l’alcool est hautement cancérigène. La consommation d’alcool, très ancrée dans la culture française, serait responsable de sept types de cancers, notamment ceux de la bouche, du foie, de l’œsophage et du sein. Selon l’étude, près de 4 % des nouveaux cas de cancer dans le monde chaque année sont liés à l’alcool.

Les localisations de cancers liées à l’alcool

Le rapport précise que l’alcool est « carcinogène pour l’homme » depuis 1998. Il établit un lien direct entre la consommation d’alcool et sept localisations : bouche, pharynx, larynx, œsophage, côlon-rectum, foie et sein. En France, cela représenterait environ 28 000 nouveaux cas par an. Les chercheurs expliquent que c’est l’éthanol et ses dérivés, notamment l’acétaldéhyde, qui endommagent l’ADN et favorisent les mutations responsables des cancers.

Une tendance en augmentation mondiale

Malgré les avertissements, la consommation d’alcool continue de croître dans plusieurs régions du monde, comme en Afrique subsaharienne, en Asie du Sud-Est ou encore dans les Amériques. En Europe, la consommation reste la plus élevée, même si moins de la moitié de la population connaît le lien avec le cancer. En 2020, l’OMS estime que 741 000 nouveaux cas de cancer ont été liés à l’alcool dans le monde, principalement chez les hommes. L’organisation considère cela comme un « problème majeur de santé publique ».

La consommation d’alcool, même modérée, dangereuse

Contrairement à certaines idées, il n’existe pas de seuil de consommation sans danger. Selon le CIRC, même un verre par jour peut augmenter le risque de cancer. Des niveaux plus élevés, comme deux à six verres par jour ou plus, aggravent la situation. En 2020, cette consommation a causé plus de 100 000 nouveaux cas de cancer. Le Dr Harriet Rumgay rappelle qu’« aucune consommation d’alcool n’est totalement dénuée de risque » et encourage à réduire sa consommation.

Les coûts économiques et sociaux

Les décès liés au cancer attribuable à l’alcool représentent aussi un coût économique important. Selon Femina, ils engendrent environ 4,6 milliards d’euros de pertes de productivité chaque année dans l’Union européenne. L’OMS recommande des politiques strictes : augmenter les taxes, limiter les heures et lieux de vente, interdire la publicité. Une étude montre que doubler les taxes sur l’alcool pourrait prévenir 6 % des nouveaux cas de cancer en Europe en 2019.

Une situation inquiétante en France

En France, l’alcool reste le deuxième facteur de risque évitable de cancer, après le tabac. L’Institut national du cancer estime à 16 000 le nombre de décès annuels dus aux cancers liés à l’alcool. Bien que la consommation ait diminué depuis les années 1960, elle reste parmi les plus élevées d’Europe. Selon l’Institut de Cancérologie de Lorraine, tous les types d’alcool, du vin à la bière, sont concernés. Le risque apparaît dès le premier verre, ce qui souligne qu’une consommation minimale ou l’abstinence est la seule façon de préserver sa santé.

10 000 pas par jour : la vérité surprenante derrière ce mythe

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Origine du mythe des 10 000 pas par jour

Contrairement à ce que l’on pourrait penser, le chiffre de 10 000 pas par jour n’a aucune base scientifique. Il trouve son origine dans une campagne marketing japonaise lancée en 1965, lors de la commercialisation du premier podomètre dans le pays. Cet appareil s’appelait le « manpo-kei », ce qui signifie littéralement « compteur de 10 000 pas ». Ce slogan simple et accrocheur a été repris dans le monde entier, devenant peu à peu une norme de santé universelle.

Ce que dit la science aujourd’hui

Les études récentes remettent en question cette idée. Elles montrent que les bénéfices de la marche n’ont pas besoin d’atteindre ce seuil pour être significatifs. En réalité, au-delà de 8 000 pas, les effets positifs tendent à plafonner. Une étude menée par l’université Harvard, publiée dans le British Journal of Sports Medicine, indique qu’il suffit de marcher au moins 4 000 pas par jour, sur un ou deux jours par semaine, pour réduire la mortalité de 26 % et le risque de maladies cardiovasculaires de 27 % chez les femmes âgées.

Les recommandations selon Harvard et d’autres études

Selon cette étude, marcher trois jours par semaine permettrait de diminuer le risque de mortalité de 40 %. Cependant, les bénéfices cardiovasculaires semblent stagner à environ 4 000 ou 5 000 pas par jour. Les chercheurs insistent sur l’importance du nombre de pas quotidien, plutôt que de la fréquence hebdomadaire. Ils recommandent aux femmes âgées de viser au moins 4 000 pas par jour, sur une ou deux journées par semaine, pour réduire les risques.

Les autres travaux scientifiques

Des études britanniques confirment ces résultats. Le professeur Thomas E. Yates souligne que l’essentiel n’est pas seulement la quantité de pas, mais aussi la vitesse de marche. Selon lui, une marche rapide de 10 minutes par jour peut augmenter d’une année l’espérance de vie chez les personnes de plus de 60 ans.

Une étude sur plus de 13 000 femmes sur 11 ans

Entre 2011 et 2015, 13 547 femmes d’environ 72 ans ont participé à une étude. Elles portaient un accéléromètre pendant 7 jours et étaient en bonne santé au début. Leur suivi s’est poursuivi jusqu’en 2024. Les résultats montrent que celles qui atteignaient 4 000 pas sur un ou deux jours par semaine voyaient leur risque de mortalité diminuer de 26 %. Pour les maladies cardiovasculaires, la réduction était de 27 %. Sur trois jours ou plus, la baisse atteignait 40 %, avec des bénéfices cardiovascuaires constants à 27 %.

Les conclusions des chercheurs

Les chercheurs expliquent que plus le nombre de pas augmente, meilleurs sont les résultats pour la santé. Ils précisent cependant qu’il n’existe pas de schéma idéal ou parfait. Chacun peut adapter son activité selon ses capacités et son rythme.

Comment adopter une activité physique sans pression

Ces nouvelles données changent la façon d’envisager la marche. Il n’est plus nécessaire de viser 10 000 pas tous les jours. Se fixer un objectif de 4 000 pas, une ou deux fois par semaine, est déjà bénéfique. L’essentiel est de rester actif, même de façon irrégulière. Cela facilite la pratique pour les personnes âgées, sédentaires ou à mobilité réduite.

Les chercheurs insistent : pas besoin d’être parfait pour bénéficier d’une meilleure santé. Marcher, même peu, peut constituer « l’élixir de vie » selon le professeur Yates.

Seuils de pas et bénéfices associés

Seuil de pas/jour Jours par semaine Réduction de la mortalité Réduction des maladies cardiovasculaires
≥ 4 000 1–2 26 % 27 %
≥ 5 000 1–2 33 % 22 %
≥ 6 000 1–2 38 % 19 %
≥ 7 000 ≥ 3 32 % 16 %
≥ 8 000 quotidien 50 % ≈ 27 % (plateau)

Pourquoi certains ont du mal à s’excuser selon la psychologie

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Que signifie le fait d’avoir du mal à s’excuser, selon la psychologie ?

Les excuses jouent un rôle essentiel dans nos relations. Que ce soit au travail, en couple, avec nos parents ou amis, s’excuser permet de rétablir l’harmonie après une erreur, une maladresse ou une souffrance infligée à autrui. Dire « pardon » ou présenter des excuses sincères favorise la réconciliation, maintient de bonnes relations et réduit le ressentiment chez la personne blessée. Pourtant, beaucoup de personnes ont du mal à s’excuser.

Selon la psychologue clinicienne Aline Nativel Id Hammou, cette difficulté est souvent liée à une faible empathie et à une incapacité à reconnaître ses torts. Cela rend difficile la détection du malaise de l’autre. Certains obstacle proviennent aussi de l’égocentrisme ou de la sensation que s’excuser serait injuste, surtout lorsqu’on pense avoir agi correctement au départ.

Une idée reçue largement répandue associe « excuses » à faiblesse. Pour beaucoup, s’excuser est perçu comme un signe d’abaissement ou de vulnérabilité. Cette perception est fausse, car en réalité, se montrer capable de s’excuser témoigne souvent d’une force intérieure et d’honnêteté intellectuelle. La peur du regard de l’autre et l’incapacité à tolérer l’imperfection alimentent cette réticence. Reconnaître une erreur est alors considéré comme un échec insupportable, alors qu’il s’agit en fait d’une preuve de courage.

L’influence de l’éducation et de l’estime de soi

Notre capacité à s’excuser dépend aussi de la façon dont nous avons été élevés. Avoir grandi avec des parents qui savaient s’excuser, même envers leurs enfants, facilite l’apprentissage de cet acte de réparation. En revanche, si un adulte a du mal à s’excuser, cela peut refléter une exigence trop forte envers lui-même. Il voit ses erreurs comme des échecs et doit d’abord apprendre à être plus indulgent et à accepter ses imperfections.

Il est également important de noter que trop s’excuser peut aussi poser problème. Un excès d’excuses peut être lié à des troubles comme l’anxiété sociale, la dépression ou le TOC. Dans ces cas, les excuses découlent d’une fausse culpabilité ou d’un besoin excessif d’approbation. Au cœur de ces difficultés se trouvent l’estime de soi et la perception du jugement des autres. La capacité à s’excuser ou à en être incapable est souvent liée à cette perception de soi et à la peur du regard extérieur.

Conseils pour faciliter les excuses

Pour aider ceux qui ont du mal à s’excuser, l’entourage doit leur laisser le temps de réfléchir et de prendre conscience de l’impact de leur erreur. Il est crucial que la personne blessée exprime clairement et simplement ce qu’elle ressent. L’objectif n’est pas d’obtenir des excuses forcées, mais des excuses sincères.

Les excuses ne se limitent pas toujours à des mots. Elles peuvent aussi se manifester par des gestes réparateurs, comme un cadeau, ou par une manifestation émotionnelle, comme des pleurs. Enfin, la personne qui a du mal à s’excuser peut poser des questions pour mieux comprendre le ressenti de l’autre, ce qui peut l’aider à activer son empathie.

Dormez 8h même en étant débordé avec ces astuces d’experte

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Fini les nuits courtes : une experte en sommeil partage ses astuces pour dormir 8 heures même lorsqu’on est débordé

Dans une société qui valorise la productivité, le sommeil est souvent mis de côté. Pourtant, il est essentiel pour rester en forme et performant. Véronique Bellemare Brière, somnopédagogue et somnothérapeute intégrative, insiste sur le fait que sacrifier ses heures de sommeil peut avoir des conséquences graves : cela peut conduire à une insomnie chronique, une baisse de la productivité, voire raccourcir la durée de vie.

Alors, comment faire pour dormir suffisamment, même avec un emploi du temps chargé ? La clé ne consiste pas à dormir moins, mais à adopter de bonnes habitudes pour améliorer la qualité de son sommeil. La première étape est de respecter ses besoins personnels en sommeil. Certaines personnes ont besoin de 6 heures, d’autres de 8 ou 9 heures. Si malgré une nuit normale, vous vous sentez toujours fatigué, cela peut indiquer un trouble du sommeil, comme l’apnée du sommeil.

Pour dormir suffisamment, même en étant très occupé, il faut créer un contraste fort entre le jour et la nuit. Pendant la journée, il est conseillé de s’exposer à la lumière du soleil dès le réveil, de rester actif physiquement et de gérer le stress. Il est également recommandé d’intégrer à ses repas des aliments favorisant le sommeil. Ces aliments, riches en sérotonine (lentilles, pois chiches, bananes, amandes, céréales complètes), aident à produire de la mélatonine, l’hormone qui facilite l’endormissement.

Il est important de considérer le sommeil comme une priorité. Le bloquer dans son agenda, comme un rendez-vous incontournable, augmente ses chances d’obtenir un repos réparateur. Se coucher et se lever à heure régulière, dans un environnement calme, sombre, frais et confortable, contribue aussi à un sommeil plus efficace.

Rétention d’eau faciale : l’aliment insoupçonné responsable derrière votre gonflement

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Il vous est peut-être déjà arrivé de vous lever le matin en constatant que votre visage est gonflé. Vos paupières sont lourdes, vous avez des poches sous les yeux, vos joues semblent plus rebondies, et vos traits sont brouillés. Ce phénomène, appelé rétention d’eau faciale, est plus fréquent qu’on ne le pense. Si le manque de sommeil, l’alcool ou les allergies peuvent en être la cause, il existe aussi un aliment très populaire qui peut en être responsable.

Une cause insoupçonnée : certains aliments favorisent la rétention d’eau

La sensation de gonflement au réveil indique que votre corps retient trop de liquide. Cette rétention d’eau se manifeste surtout au niveau du visage, car la peau y est fine et sensible aux variations hydriques. Mais d’où provient cette accumulation soudaine ? La réponse réside souvent dans ce que vous avez mangé la veille.

Certains aliments, riches en sel et en additifs, favorisent cette rétention. Parmi eux, un plat tendance, apprécié pour sa variété et sa convivialité, peut être particulièrement traître. Il se compose notamment de riz vinaigré, de poisson cru, et est souvent accompagné d’une généreuse dose de sauce soja. Or, cette sauce est l’un des principaux coupables : sa teneur en sel est si élevée qu’elle peut bouleverser l’équilibre hydrique du corps en une seule soirée.

Une diététicienne américaine explique que bien que tout le monde puisse ressentir un visage gonflé après avoir consommé des aliments riches en sodium, certaines personnes sont plus à risque. Par exemple, celles qui souffrent du syndrome prémenstruel ou de la ménopause peuvent être plus susceptibles de ressentir cet effet.

Le sushi, un exemple à surveiller

Le sushi, souvent perçu comme un aliment sain, cache en réalité un excès de sodium. Cela peut expliquer pourquoi votre visage peut paraître bouffi le lendemain. Il n’est pas nécessaire de bannir ce plat japonais, mais il est conseillé de limiter la consommation de sauce soja, de s’hydrater correctement, et d’opter pour des versions allégées en sel.

Pesticide dangereux dans du riz Taureau Ailé

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Le riz basmati complet de Taureau Ailé est rappelé depuis le 23 janvier. Il contient un pesticide interdit, connu pour provoquer un retard mental chez les enfants.

Quel est le riz basmati concerné ?

Le site Rappel Conso alerte les consommateurs qui ont acheté du riz basmati complet de la marque Taureau Ailé. Il s’agit des paquets de 500g dont les dates de consommation vont du 07/02/2022 au 01/01/2025, lot L 2021F.

Riz commercialisé dans la France entière

Ce produit a été commercialisé dans la France entière dans les supermarchés Carrefour, Auchan, Galec, Cora, Intermarché et Casino. «Il est

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Froid : avez-vous plus de risque de faire un infarctus ?

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Saviez-vous que le froid accélérait la fréquence cardiaque ?  Si vous êtes un adepte de course à pied même par temps froid, vous êtes exposé au risque d’infarctus surtout si vous êtes stressé et fumeur.

Un sur-risque d’accident cardiaque

Les cardiologues connaissent bien ce phénomène et parlent de sur-risque d’accident cardio-vasculaire. Des températures proches de zéro ou négatives augmentent aussi le risque d’infarctus. Le grand froid entraîne un sur-risque d’événements cardiovasculaires et d’infarctus du myocarde.

Avec le froid, les artères rétrécissent

Le froid entraîne naturellement un

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Inflation : les pharmacies augmentent leurs prix

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Les pharmacies font face à l’inflation. Elles augmentent le prix de certains produits face à la hausse des tarifs fixés par leurs fournisseurs. Trois produits sont particulièrement concernés par cette hausse des prix.

Cosmétiques et huiles essentielles plus chères

Un groupement de pharmacies toulousaines alertent sur la hausse des prix dans un communiqué diffusé le 26 janvier. Trois secteurs sont particulièrement touchés :

  • les produits d’aromathérapie (huiles essentielles) + 10 %,
  • les cosmétiques + 7 %,
  • les compléments alimentaires + 6%.

Dans le communiqué, le groupement pointe du doigt les

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Covid : fin de l’épidémie en 2023 ?

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Peut-on espérer la fin du Covid en 2023 alors que de nouveaux variants sont très actifs en Angleterre ou aux Etats-Unis ? Le nombre de nouveaux cas a-t-il vraiment baissé en France ? On fait le point.

Une année plus sereine ?

Le nombre de nouveaux cas quotidiens stagne autour de 5.000 cas. A titre de comparaison, Santé publique France recensait plus de 60.000 nouveaux cas début décembre. La raison de cette baisse inédite est l’immunité acquise ou naturelle des Français. «Le virus rencontre désormais un niveau de résistance tellement fort au sein des populations qu’il ne peut plus progresser»,

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