Alcool, bûche, dinde, fromage… Les fêtes de fin d’année riment souvent avec excès. Et ces derniers ont un prix à payer. Ce n’est pas un hasard si certaines maladies ont tendance à faire plus de victimes à la période de Noël. En effet, qu’il s’agisse du diabète, de l’hypertension ou du cholestérol, ces pathologies ont tendance à s’aggraver une fois que le Père Noël est passé ! Explications avec plusieurs nutritionnistes.

Les effets des festivités de fin d’année sur la santé ne sont plus à prouver. Selon une étude parue en 2018 au sein du BMJ, les infarctus connaissent un pic de 37% le soir de Noël, aux alentours de 22 heures. De manière plus générale, le risque de crise cardiaque est en hausse de 15% pendant les fêtes de fin d’année.

Aussi effrayant que cela puisse paraître, l’infarctus n’est pas le seul à frapper les convives à Noël, semble-t-il. Les fêtes de fin d’année sont également propices au mauvais cholestérol, aux indigestions, à l’hypertension ainsi qu’aux troubles du sommeil, nous expliquait Véronique Liesse diététicienne-nutritionniste et auteure (Les erreurs qui vous empêchent de maigrir éd. Alpen, Hormones arrêtez de vous gâcher la vie, éd. Leduc.s), au cours d’une interview.

« En effet, qu’il s’agisse du diabète, de l’hypertension ou d’une dyslipidémie (élévation du cholestérol), ces pathologies ont…

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