Administrés pour traiter l’asthme, les rhinites ou encore les otites, les anti-inflammatoires à base de prednisolone sont prescrits à des millions de patients. Hélas, une nouvelle étude vient de révéler que ces médicaments augmenteraient significativement les risques de diabète, et ce, dès la première semaine de traitement.
Un anti-inflammatoire couramment prescrit peut augmenter le risque de diabète après seulement une semaine de traitement, révèlent les nouvelles découvertes présentées lors de la conférence annuelle de la Society for Endocrinology qui se déroule du 11 au 13 novembre au Royaume-Uni. Sur le banc des accusés ? La prednisolone, un glucocorticoïde largement prescrit pour son action anti-inflammatoire. Ce traitement est indiqué pour soulager les patients victimes d’asthme, rhinite ou otite.