La maladie cœliaque est une maladie auto-immune chronique qui touche aussi bien les enfants que les adultes et se caractérise par une allergie au gluten. Certaines personnes intolérantes au gluten peuvent ne pas avoir de symptômes du tout !

Mais quels sont les premiers signes de la maladie cœliaque qui doivent vous alerter ?

1. Qu’est-ce que la maladie cœliaque ?

La maladie cœliaque, appelée aussi l’intolérance au gluten est une inflammation intestinale auto-immune liée à la mauvaise digestion de gluten.

Il ne s’agit pas d’allergie alimentaire mais plutôt une maladie d’origine immunitaire qui se développe chez les personnes génétiquement prédisposées. Ces personnes ne doivent pas consommer la gliadine, une protéine contenue dans le gluten (le blé, l’orge, l’avoine et le seigle).

Sans traitements, la maladie cœliaque pourrait causer des dommages à l’intestin grêle qui peuvent entraîner des complications à long-terme et même développer certains cancers.

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Saviez-vous que vos organes ne vieillissaient pas au même rythme ? Des chercheurs américains ont réussi à déterminer l’âge des organes avec un simple test sanguin. Voici ce qu’ils constatent.

Connaître l’âge de ses organes

Une équipe de chercheurs de l’université de médecine de Stanford, aux États-Unis, a mené une étude sur 2 678 personnes de plus de 50 ans. Grâce à une simple prise de sang et à un programme d’Intelligence artificielle (IA), les scientifiques ont pu mesurer les niveaux de protéines spécifiques à chaque organe et déterminer leur âge.

Vieillissement accéléré des organes

Onze organes, systèmes organiques ou tissus clés étaient étudiés : cœur, graisse, poumon, système immunitaire, rein, foie, muscle, pancréas, cerveau, système vasculaire et intestin. Un niveau élevé de protéines étaient synonymes de vieillissement accéléré de l’organe ou du tissu et, indirectement, un risque de maladie.

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Le cancer du sein est le cancer le plus fréquemment observé en France, mais aussi dans le monde entier. Il peut être guéri s’il est détecté et pris en charge rapidement. L’autopalpation mammaire constitue le premier maillon du dépistage de ce cancer. En cas de doute, il est recommandé de consulter votre médecin de famille, gynécologue ou sage-femme.

1. Comment faire une autopalpation des seins ?

Afin de réaliser un autodépistage du cancer du sein, vous devez passer par deux étapes :

• L’inspection (examen visuel) : placez-vous devant votre miroir afin de prendre le temps nécessaire pour inspecter vos seins. Vérifiez bien s’il y a une rougeur anormale, une masse, une modification de la taille ou de la couleur du mamelon… Soyez attentive à toute modification anormale.
• La palpation : explorez l’intégralité de vos deux seins et de vos creux axillaires chaque mois après la période de menstruations. Réalisez une autopalpation mammaire : comment ? Levez votre bras gauche et palpez votre sein gauche délicatement, avec votre main droite.

Afin d’examiner toutes les zones concernées, utilisez ces 3 méthodes :

• La méthode circulaire : débutez par le haut de votre aisselle, ensuite palpez la partie externe de votre sein jusqu’au mamelon, de façon à en faire le tour complet.
• La méthode radiale : palpez vos seins en faisant des mouvements en ligne droite depuis votre mamelon vers l’extérieur de votre sein. Répétez ces gestes de façon à faire tout le tour de la zone.
• La méthode verticale : commencez par palper le haut de vos aisselles, puis palpez votre sein de haut en bas en suivant des lignes verticales très serrées.

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En cas de rhume, nombreux sont les Français qui se tournent vers les médicaments anti-rhume, disponibles sans ordonnance. Or ces médicaments peuvent entraîner des complications graves dans deux cas.

Pourquoi ces médicaments sont déconseillés ?

Actifed, Humex Rhume, Nurofen: ces médicaments contiennent de la pseudoéphédrine. Ils «ne doivent pas être utilisés chez les patients souffrant d’hypertension artérielle sévère ou non contrôlée (non traitée ou résistante au traitement), ou d’insuffisance rénale aiguë (soudaine) ou chronique (à long terme) sévère», alerte l’agence européenne du médicament (EMA).

Réduction de l’apport sanguin au cerveau

La prise de pseudoéphédrine provoque des effets secondaires rares chez ces personnes : une réduction de l’apport sanguin au cerveau.  Cela « peut provoquer des complications graves et potentiellement mortelles un syndrome d’encéphalopathie réversible postérieure (PRES) ou un syndrome de vasoconstriction cérébrale réversible (RCVS», explique l’EMA.

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Vous connaissez cette sensation, ce mal persistant derrière la tête qui semble parfois s’inviter sans crier gare ? Ces douleurs, souvent négligées ou banalisées, peuvent pourtant détenir des réponses à divers maux que nous subissons trop régulièrement. Dans cet univers où la sédentarité et le stress sont rois, les maux de tête ont malheureusement tendance à devenir des compagnons indésirables de notre quotidien.

Mais que se cache-t-il vraiment derrière ces symptômes qui perturbent notre quiétude ?

Quels sont les sources de la douleur derrière la tête ?

Comprendre la nature de la douleur est le premier pas vers un traitement efficace pour ne plus souffrir de maux de tête à l’arrière du crâne. La céphalée occipitale, qui se manifeste derrière la tête, peut prendre différentes formes et être indicatrice de plusieurs problèmes de santé. Celle-ci peut se manifester sous forme de tension au niveau de la nuque, de picotements le long du cuir chevelu, ou encore de douleurs irradiant vers les yeux ou les oreilles.

Les céphalées de tension

Les céphalées de tension sont les plus répandues et se caractérisent souvent par une pression ou une sensation de serrement autour de la tête, particulièrement à l’arrière. Les causes sont multiples : stress, fatigue, mauvaise posture, ou tension musculaire au niveau du cou.

La névralgie d’Arnold

La névralgie d’Arnold, qui est une névralgie occipitale, est quant à elle une affection spécifique du nerf Arnold, qui peut être comprimé ou irrité, entrainant une douleur aiguë derrière l’occiput. Les symptômes incluent des douleurs lancinantes, parfois accompagnées de nausées ou de vomissements.

Coup du lapin

Les douleurs à l’arrière du crâne peuvent aussi se faire ressentir en cas d’accident lié au coup du lapin. Lorsque l’impact a lieu à l’arrière du crâne ou au niveau du cou, les muscles, les ligaments et les tendons du cou sont choqués immédiatement. Ce choc provoque généralement des lésions qui entrainent alors une douleur au niveau du cou ou différé plus largement à l’arrière du crâne.

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