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Mort de Johnny Hallyday : retour en dates sur la santé fragile du rockeur

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Johnny Hallyday le monstre sacré du rock français est décédé  à 74 ans dans la nuit du 5 au 6 décembre a annoncé son épouse Laëtitia Hallyday dans un communiqué. Il se battait contre un cancer du poumon. La santé du rockeur a été au sources de toutes les inquiétudes depuis des années. Retour en dates sur ses combats contre la maladie.

« J’écris ces mots sans y croire. Et pourtant, c’est bien cela. Mon homme n’est plus », ce sont les mots de l’épouse de Johnny Hallyday dans un communiqué adressé à l’AFP. L’idole des jeunes, le monstre de la chanson française est décédé à l’âge de 74 ans dans la nuit du 5 au 6 décembre des suites d’un cancer du poumon qu’il avait annoncé au public depuis le 8 mars dernier. « On m’a dépisté il y a quelques mois des cellules cancéreuses pour lesquelles je suis actuellement traité avait-t-il partagé sur son compte Twitter. « Il nous quitte cette nuit comme il aura vécu tout au long de sa vie, avec courage et dignité. », ajoute Laetitia Hallyday dans son communiqué toujours selon l’AFP.

 

Depuis 2009, déjà la santé du rockeur était au centre de toute les inquiétudes où il avait frôlé la mort. Voici un retour en dates sur ses problèmes de santé  :

 

6 juin 1944 : A 1 an, Johnny se brûle la bouche avec des cristaux de soude caustique (…

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Comment se transmet le virus de l’herpès

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Le virus de l’herpès est très contagieux, il est dû au virus de l’herpès simplex (HSV). Il se manifeste par l’apparition de vésicules sur la peau et les muqueuses. On parle de bouton de fièvre quand il touche les lèvres et d’herpès génital quand il affecte les parties intimes. Il peut également toucher les yeux, on parle alors d’herpès ophtalmique.

Transmission du virus de l’herpès

L’herpès labial se transmet par contact direct avec une personne infectée lors d’un simple baiser. L’herpès génital se transmet lors de rapports sexuels, il s’agit d’une infection sexuellement transmissible. Une fois dans l’organisme, le virus peut rester longtemps inactif, il se loge dans les ganglions, puis s’active à l’occasion de différents facteurs comme la fatigue, le stress, un traumatisme, le froid, le soleil…

Transmission du virus de l’herpès chez le bébé

Le bébé peut être contaminé au cours de l’accouchement si la mère présente un herpès génital. Les manifestations apparaissent généralement 1 à 2 semaines après l’accouchement sous forme de cloques sur la peau, d’œil rouge et larmoyant, de fièvre persistante, de convulsions. Dans les formes sévères, le virus peut atteindre le système nerveux du bébé et provoquer des troubles neurologiques. Il est donc important de prévenir votre gynécologue si vous faites une poussée d’…  Lire…

Bouton de fièvre : d’où vient-il ?

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L’herpès labial, plus communément appelé bouton de fièvre, est provoqué par un virus contagieux présent dans l’organisme de bon nombre d’entre nous. D’où vient le bouton de fièvre ? Quel est son traitement ?

D’où vient le bouton de fièvre ?

Le bouton de fièvre est provoqué par l’Herpès Virus Simplex de type 1. C’est pendant la petite enfance que la contamination a souvent lieu et passe inaperçue. Elle se fait par contact direct avec une personne déjà infectée par le virus. Le virus « se cache » dans les ganglions, divers facteurs vont ensuite l’activer comme : une grande fatigue, le stress, un traumatisme, certains aliments (le chocolat, les noisettes, les cacahuètes…), les menstruations… Le tout premier signe d’apparition d’un bouton de fièvre est une sensation de picotement, de démangeaisons sur la lèvre, cette phase dure en moyenne 6 heures. Apparaît ensuite une boursoufflure sur la lèvre qui va se transformer au fil des jours en de multiples petites vésicules remplies de liquide. Les vésicules vont ensuite éclater et laisser place à une lésion douloureuse et purulente. Le risque de contamination est très élevé au stade où les vésicules éclatent, car le virus se trouve dans…  Lire…

Mononucléose infectieuse : les principaux symptômes chez l’adulte

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La mononucléose infectieuse est causée par le virus d’Epstein-Barr, virus appartenant à la famille des herpès virus. Autrefois appelée la maladie du baiser, elle touche essentiellement les adolescents et adultes jeunes. Quels sont les symptômes de la mononucléose ?

Symptômes de la mononucléose

La transmission du virus se fait par la salive, c’est pour cela qu’on l’appelle aussi maladie du baiser. La maladie débute par de la fièvre autour de 39 °C, des céphalées, une grande fatigue et des maux de gorge. Des adénopathies (gonflement des ganglions) apparaissent au niveau de l’aine, des aisselles et des cervicales. La mononucléose passe souvent inaperçue chez l’enfant. En revanche, plus elle touche un sujet âgé, plus les symptômes sont prononcés. Chez l’adulte, la mononucléose peut être responsable de complications graves : rupture de la rate, hépatite et syndrome de Guillain-Barré.

Diagnostic et traitement de la mononucléose

Le diagnostic repose sur l’examen clinique et sur un examen sérologique (simple prise de sang qui confirme la présence du virus dans le sang). Il n’existe pas de traitement spécifique de la mononucléose. Elle évolue d’elle-même vers la guérison. La surveillance médicale est nécessaire pour prévenir les…  Lire…

Aspirine : la posologie contre la fièvre

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L’aspirine ou l’acide acétylsalicylique est un médicament bien connu du public. Il permet notamment de faire baisser la fièvre, mais possède également des propriétés anti-inflammatoires.

Indications, contre-indications et effets indésirables de l’aspirine

L’aspirine possède plusieurs propriétés : antalgique, antipyrétique et anti-inflammatoire. À forte dose elle est aussi un antiagrégant plaquettaire, c’est-à-dire qu’elle est capable de fluidifier le sang. Elle est contre-indiquée en cas d’allergie à l’acide acétylsalicylique, en cas d’ulcère de l’estomac, de risque hémorragique, pendant les règles et chez la femme enceinte à compter du sixième mois de grossesse. L’aspirine ne doit pas être associée avec des AINS, des anticoagulants, le lithium et le méthotrexate. Ses principaux effets secondaires sont des saignements des gencives et du nez, des hémorragies digestives et une réaction allergique.

Aspirine : posologie en cas de fièvre

L’aspirine est disponible en pharmacie sous plusieurs formes (comprimés ou comprimés dispersibles) et plusieurs dosages (500 mg ou 1000 mg). Elle est parfois associée à d’autres molécules comme la vitamine C, la…  Lire…

Les 7 choses qui se passent une fois le cercueil fermé

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Une fois l’enterrement passé, le corps repose dans un cercueil. Au fil des jours et des semaines, le cadavre se décompose. Le Dr Sapanet, médecin légiste, nous emmène découvrir ce qu’il advient une fois le cercueil fermé.

Des petits moucherons apparaissent

Certaines fois, il arrive qu’un corps soit exhumé, c’est-à-dire sorti de son caveau. Grâce à cela, les médecins légistes ont pu observer les modifications du corps. « L’exhumation peut être réclamée quelques jours après l’enterrement ou même quelques années. Certaines fois, un proche veut écarter une mort par empoisonnement. D’autres fois, l’autopsie permettra de définir précisément la cause de la mort » explique le Dr Michel Sapanet, médecin légiste et directeur de l’Institut médico-légal de la région Poitou-Charentes. Dans le cercueil, il est fréquent qu’une multitude de petites mouches se soit installées. Elles pénètrent par une minuscule ouverture et pondent dans le cercueil. « Il faut bien qu’elles se nourrissent de quelque chose, elles attaquent donc le cadavre » décrit le Dr Sapanet.


Des champignons se développent

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Que signifie un taux de protéine C réactive élevé ?

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Dans le cas d’une réaction inflammatoire, le médecin peut être amené à prescrire des bilans sanguins comme la protéine C réactive (ou CRP). Comment comprendre les résultats de ces analyses ?

Qu’est-ce que la protéine C-réactive ?

La protéine C-réactive, plus communément appelée CRP, est une glycoprotéine (protéine associée à un glucide) présente dans le sang. Elle active les défenses immunitaires de l’organisme. Cette analyse sanguine réalisée par simple prise de sang et souvent associée à la vitesse de sédimentation (VS). Le dosage de ces deux éléments ne renseigne pas sur la cause de l’inflammation (infectieuse, rhumatismale…), il s’agit seulement d’une aide pour établir un diagnostic. L’analyse de la protéine C-réactive permet également de faire un suivi thérapeutique des maladies inflammatoires. En association avec le dosage du cholestérol, la protéine C-réactive permet de déterminer les risques d’infarctus du myocarde et d’AVC. Après une intervention chirurgicale, la protéine C-réactive indique les éventuels signes d’infection.

Interprétation des résultats de la protéine C-réactive

La protéine C-réactive s’exprime en milligrammes par litre de…  Lire…

Sifflement ou bourdonnement d’oreilles : d’où viennent les acouphènes ?

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Les acouphènes désignent ces bourdonnements et sifflements dans les oreilles que vous percevez peut-être, mais que les autres personnes n’entendent pas. D’où viennent-ils ? Comment les faire disparaître ?

Les acouphènes, des causes diverses

La perte auditive associée au vieillissement est parfois accompagnée d’acouphènes. Cependant, parmi les 10 à 20 % de Français qui perçoivent des sifflements dans les oreilles, beaucoup d’entre eux sont relativement jeunes. Les acouphènes peuvent survenir à la suite d’un trouble de l’oreille interne, d’une otite, d’une hypertension ou de vertiges. Une exposition prolongée au bruit est parfois la cause responsable, en particulier chez les musiciens et les personnes qui élèvent trop souvent le volume de leur baladeur ou de leurs écouteurs. Une atteinte du nerf auditif ou un corps étranger (bouchon de cérumen) peut aussi être à l’origine des troubles. Certaines substances (boissons alcoolisées, caféine) et certains médicaments (anti-inflammatoires, aspirine) augmenteraient le risque d’acouphènes.

Traitement des acouphènes

Si vous êtes victime d’acouphènes, consultez un ORL. Une audiométrie sera réalisée pour confirmer une perte…  Lire…

DHEA : les principales indications de cette hormone anti-âge

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Particulièrement mentionnée ces dernières années pour son effet anti-âge, la déhydroépiandrostérone (DHEA) est une hormone naturellement présente dans l’organisme, dont l’action s’étend au-delà de la lutte contre le vieillissement. En raison de ses possibles effets indésirables, la DHEA est vendue en pharmacie uniquement sur ordonnance.

La DHEA et le lupus érythémateux

Le lupus érythémateux disséminé est une maladie inflammatoire auto-immune, qui se manifeste surtout par des boutons et des plaques rouges sur le visage et d’autres parties du corps. La prise en charge médicale classique de cette maladie repose sur les anti-inflammatoires non stéroïdiens, les immunosuppresseurs, les antipaludéens de synthèse et les corticoïdes. Plusieurs études ont démontré que l’administration d’environ 200 mg de DHEA par jour permettait de réduire les doses de cortisone.

La DHEA contre le vieillissement et les troubles de l’érection

Une étude de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) a révélé que la DHEA avait une propriété anti-âge car elle contribuait à augmenter la densité osseuse et le désir sexuel chez les femmes de plus de 70 ans. Elle aurait également un effet positif chez les hommes hypertendus atteints de problèmes d’érection.

Les limites de la DHEA

La…  Lire…

Sueurs nocturnes à la ménopause : les traitements

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Avec les bouffées de chaleur et les insomnies, les sueurs nocturnes figurent parmi les principaux symptômes de la ménopause. Du traitement hormonal à la phytothérapie, découvrez comment combattre les sueurs nocturnes et retrouver un sommeil de qualité.

Les THM pour lutter contre les sueurs nocturnes liées à la ménopause

La ménopause, étape cruciale marquant la fin de la période de fécondité de la femme, correspond à la première année qui suit l’interruption des règles. Lors de cette transition, une révolution hormonale se produit chez la femme, se traduisant par une sécrétion moins importante d’œstrogènes et de progestérone. Ce phénomène est responsable des sueurs nocturnes et des autres symptômes observés pendant la ménopause. Pour les apaiser, il existe des traitements hormonaux substitutifs (THM). Ceux-ci sont proposés par le gynécologue (parfois par le médecin traitant) aux femmes qui voient leur vie privée, sociale et professionnelle très affectée par la ménopause. Ils soulagent les symptômes, tout en réduisant le risque de perte osseuse et d’ostéoporose.

Combattre les sueurs nocturnes par les plantes

La phytothérapie est une alternative intéressante à l’hormonothérapie pour traiter les sueurs nocturnes…  Lire…