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Mise en garde sur 6 médicaments contenant des nanoparticules cancérigènes

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Le magazine 60 millions de consommateurs révèle la présence de nanoparticules potentiellement cancérigènes dans 6 médicaments utilisés couramment, comme le Doliprane®, l’Efferalgan® ou encore le Nurofen®.

Les nanoparticules sont considérées comme potentiellement dangereuses pour la santé. Après avoir détecté la présence de cette substance susceptible d’être cancérigène dans des confiseries ou des gâteaux, 60 millions de consommateurs a décidé de mener l’enquête parmi des spécialités pharmaceutiques suspectant la présence de dioxyde de titane sous forme de nanoparticule. Sur les six médicaments évalués, tous en contiendraient.

Les nanoparticules de dioxyde de titane sont-elles nocives ?

Parmi les médicaments analysé, des traitements contre la douleur et la fièvre chez l’adulte, contre l’allergie ou encore contre l’insomnie. Les résultats ont justement montré la présence de dioxyde de titane sous forme de nanoparticules dans les six médicaments et dans une dimension de l’ordre du milliardième de mètre, selon les informations du magazine. Les spécialités concernées sont :

– Efferalgan® 1g – 8 comprimés pelliculés du laboratoire Upsa : « 20% des…

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Anti-inflammatoires : ces médicaments antidouleurs seraient à l’origine de maladies cardiaques

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Des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) sont une nouvelle fois pointés du doigt en raison de leur lien avec la survenue d’une arythmie cardiaque, la fibrillation auriculaire. Explications.

Ils étaient déjà accusés d’augmenter le risque de crise cardiaque. Les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) font aujourd’hui l’objet d’une nouvelle étude qui les implique dans la survenue de fibrillation auriculaire, un trouble du rythme cardiaque ou arythmie. Cette recherche, conduite par des scientifiques de l’Institut de Recherche de Santé National de Miaoli, Taiwan, est publiée dans le journal British Pharmacological Society le 20 mars 2018.

Un risque de fibrillation auriculaire élevé de 18%

Les chercheurs se sont appuyés sur les données de santé récoltées entre 2001 et 2013 de 57 058 participants dont la moitié souffrait de fibrillation auriculaire et l’autre moitié ne présentait pas de maladie du cœur. Ils ont comparé leur condition cardiaque à leur prise de médicaments antidouleur. Résultat : les participants ayant pris des AINS présentaient un risque de fibrillation auriculaire de 18% plus élevé que ceux n’en ayant pas pris. Plus précisément…

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Douleur au pied : les premiers symptômes de l’hallux valgus

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L’hallux valgus, aussi appelé « oignon », est une déformation du gros orteil. Il est fréquent chez la femme et est favorisé par le port de talons hauts. Le gros orteil devient douloureux lorsque la déformation devient trop importante.

Hallux valgus : les symptômes

L’hallus valgus se caractérise par une déviation du gros orteil vers l’extérieur, c’est-à-dire vers le deuxième orteil. L’articulation du gros orteil (articulation métatarso-phalangienne) se déplace à l’opposé formant une grosse bosse (oignon) sur le bord du pied. Cette déformation engendre des difficultés pour se chausser et provoque des douleurs du gros orteil à la marche. La douleur est due au frottement des chaussures sur l’oignon. Celui-ci est souvent rouge et chaud. La déformation du gros orteil peut atteindre un angle allant jusqu’à 40°, il passe alors en dessus ou en dessous du deuxième orteil.

Traitement chirurgical de l’hallux valgus

Celui-ci est proposé si les douleurs ne sont pas calmées par des traitements orthopédiques (orthèse) et médicamenteux. Le principe de la chirurgie consiste à réaligner le gros orteil et faire disparaître la bosse sur le bord du pied. Cette intervention se réalise en ambulatoire sous anesthésie…  Lire…

Douleur à la jambe et au dos : la lombosciatique

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La lombosciatique associe une douleur du bas du dos et des jambes. Elle peut concerner la jambe gauche, la jambe droite ou les deux. Mais, comment expliquer les douleurs de la lombosciatique et quels sont les traitements possibles ?

Lombosciatique : mécanisme de la douleur

La lombosciatique touche particulièrement certains professionnels qui manipulent des charges lourdes comme les déménageurs, les infirmières, les carreleurs… La compression du nerf sciatique (par une hernie discale, de l’arthrose lombaire, une tumeur osseuse ou une infection…) provoque une vive douleur dans le bas du dos irradiant dans une ou les deux jambes, parfois jusqu’aux orteils.

Lombosciatique : le traitement

Le diagnostic de lombosciatique repose sur l’interrogatoire et l’examen clinique du patient. La recherche du signe de Lasègue permet même de confirmer la présence d’une hernie discale. En position allongée, le patient lève une jambe après l’autre, si la douleur est reproduite, alors le diagnostic est confirmé. Le traitement est principalement basé sur le repos, les antalgiques, les anti-inflammatoires et les décontractants musculaires. Des séances de kinésithérapie sont parfois nécessaires si le traitement…  Lire…

Mal de dos : les premiers symptômes du lumbago

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Plus connu sous le nom de tour de rein, le lumbago fait suite à un faux mouvement et se manifeste par une douleur dans le bas du dos. Mais quels sont les causes et les premiers symptômes du lumbago ?

Les causes du lumbago

Le lumbago est considéré comme une entorse des articulations intervertébrales. Il est la conséquence d’un traumatisme des lombaires. Ce dernier peut être provoqué par un effort violent (port de charge lourde) ou lors de la pratique d’un sport par manque d’échauffement.

Les signes du lumbago

La douleur est d’apparition brutale suite à un faux mouvement, elle se situe dans le bas du dos, dans la région des lombaires. La personne ressent comme un craquement et se retrouve bloquée au niveau du dos. La marche est difficile et le blocage entraîne une posture incorrecte pendant plusieurs jours, on parle de position antalgique. La position allongée soulage les douleurs. Un examen clinique permet de confirmer le diagnostic, il n’est pas nécessaire d’effectuer des examens complémentaires. En revanche, si les douleurs s’accompagnent d’une baisse de sensibilité dans les jambes, d’une incontinence ou d’une impossibilité d’uriner, il est impératif de…  Lire…

Douleur au talon : la rupture du tendon d’Achille

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Il n’est pas rare d’être victime d’une douleur au talon consécutive à une rupture du tendon d’Achille (ou tendon calcanéen). En effet, ce tendon relie le muscle du mollet au talon (os calcanéum), et est donc très puissant. Il gère des forces et des pressions importantes qui peuvent entraîner des douleurs aux pieds, et même sa rupture.

Douleurs au tendon d’Achille

La rupture du tendon d‘Achille est une blessure courante qui désigne la déchirure totale du tendon reliant le muscle triceps (mollet) au calcanéum (talon). C’est souvent la partie médiane du tendon qui cède, notamment lorsque la charge qu’il supporte est trop importante (effort brutal sans échauffement) ou en cas de choc direct. La rupture se traduit par une impossibilité à mobiliser correctement le pied, une perte de force, un gonflement au niveau de la cheville ou à l’arrière de la jambe et une douleur. Toutefois, les douleurs ne sont pas systématiques en cas de rupture du tendon d’Achille, et certains patients restent capables de marcher en posant le pied.

Que faire en cas de douleur au tendon d’Achille ?

Si la zone du tendon d’Achille est douloureuse, il peut s’agir d’une rupture. En attendant de consulter un médecin qui posera le diagnostic, il faut cesser l’activité ou le sport, car la lésion peut s’aggraver. Il faut également…  Lire…

Brosses à dents à poils durs ou médium : évitez-les !

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Dans un communiqué, l’Union Française pour la Santé Bucco-Dentaire (UFSBD) rappelle l’importance de privilégier les brosses à dents à poils souples. 

Une bonne santé bucco-dentaire pour une bonne santé générale. L’Union Française pour la Santé Bucco-Dentaire (UFSBD) en partenariat avec les laboratoires Pierre Fabre Oral Care ont lancé une enquête en ligne pour la deuxième édition de leur campagne de sensibilisation et d’éducation « Le printemps du sourire ». L’occasion de sensibiliser sur les bons réflexes d’hygiène bucco-dentaire au quotidien, comme remplacer les brosses à dents à poils durs ou médium par des poils souples.

Se brosser les dents deux fois par jour avec des poils souples

Cette enquête fut menée auprès de 32 421 Français du 8 décembre 2017 au 20 janvier 2018 sur les réseaux sociaux Facebook, Twitter et sur internet. L’UFSBD explique que 38% des répondants utilisent encore un type de brosse à dents à poils medium ou à poils durs, usage complètement déconseillé par les professionnels de santé bucco-dentaire. Les moins de 30 ans seraient 41% plus nombreux à utiliser une brosse à dents à poils…

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Pour la première fois, David Hallyday s’exprime sur la mort de son père : “Il me manque terriblement”

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David Hallyday interviewé par Le Parisien est sorti de son silence médiatique et se confie sur la façon dont il a vécu et affronte encore le décès de son père, Johnny Hallyday.

Si depuis le décès de Johnny Hallyday, le 5 décembre dernier, sa fille Laura Smet, ses anciennes compagnes Nathalie Baye et Sylvie Vartan se sont exprimées, son fils David est résté très discret. Dans une interview accordée au Parisien, publiée le 17 mars, David Hallyday met fin à son silence médiatique. Actuellement en tournée pour son dernier album « Le temps d’une vie », le chanteur de 51 ans, qui interprète pendant son concertt « Sang pour sang » et « J’ai oublié de vivre » en hommage à son défunt père avoue que c’est difficile. « Déjà de son vivant, il prenait une place énorme, plaisante-t-il, avant d’ajouter, et là il est avec nous, je le sens et le public aussi. c’est un moment magique, triste et en même temps nostalgique. »

« Il avait vaincu tellement de fois la maladie, je pensais qu’il allait encore réussir cette fois »

Interrogé sur l’hommage à Johnny Hallyday que rend également Sylvie Vartan, David Hallyday espère qu’elle a tenu le coup. « Dans la famille, on a des gènes…

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Douleur lombaire : les indications des infiltrations

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L’infiltration lombaire correspond à une injection locale de médicament anti-inflammatoire pour soulager la douleur lors d’une lombalgie ou d’une hernie discale. Ses indications et ses contre-indications sont précises et elle ne doit pas être renouvelée plus de 3 fois.

Quand proposer une infiltration lombaire ?

L’infiltration lombaire est proposée face à une lombalgie persistante, une sciatique ou cruralgie par hernie discale, après que les traitements médicamenteux classiques ont été correctement utilisés. L’infiltration est indiquée lorsque les anti-inflammatoires habituels et les antalgiques ne sont pas efficaces et que l’on n’a pas d’indication à la chirurgie. Elle consiste à injecter des corticoïdes directement dans l’articulation pour soulager l’inflammation au niveau de l’articulation intervertébrale.

Comment se passe une infiltration lombaire ?

Lors d’une infiltration lombaire, le médecin prescrit le produit à injecter qu’il faut apporter le jour où le geste est prévu. L’infiltration ne doit pas avoir lieu si une infection, même en cours de traitement, est présente ou si le patient est sous anticoagulants. Une légère anesthésie locale est pratiquée, puis le produit est injecté directement dans l’articulation, la plupart…  Lire…

Hernie discale lombaire : le traitement médicamenteux

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La hernie discale lombaire correspond à une saillie du disque intervertébral. Le disque peut alors entraîner une compression nerveuse et être à l’origine de douleurs tenaces et persistantes. Des traitements médicamenteux existent pour soulager ces douleurs.

Quels médicaments prendre en cas de hernie discale lombaire ?

Pour soulager la douleur provoquée par la hernie discale lombaire, on propose dans un premier temps des antalgiques simples de type paracétamol. Lorsque ceux-ci sont insuffisants, on y associe de l’ibuprofène ou des anti-inflammatoires non stéroïdiens, qui permettent de diminuer l’inflammation provoquée par la saillie discale. Parfois, ces médicaments ne soulagent que partiellement, et on propose alors des antalgiques de paliers plus élevés, pouvant aller jusqu’à des dérivés morphiniques.

Quelles sont les alternatives aux traitements médicamenteux ?

Les traitements médicamenteux peuvent ne pas suffire à eux seuls à soulager la douleur du dos. On conseille d’y associer des soins de kinésithérapie et de rééducation lombaire. On peut également proposer une infiltration avec des corticoïdes, qui permet un soulagement durable. Lorsque la hernie discale est volumineuse et résistante au traitement…  Lire…

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