Home Blog Page 878

Ménopause : le traitement hormonal substitutif contre les bouffées de chaleur ?

0

Compte tenu des causes des bouffées de chaleur, le traitement hormonal substitutif (THS) peut donner de très bons résultats. Cependant, il n’est pas dénué de risques. D’autres approches doivent être privilégiées pour les bouffées de chaleur modérées.

Bouffées de chaleur : pourquoi le THS fonctionne-t-il ?

La diminution du taux d’hormones sexuelles est la cause des bouffées de chaleur. Pour être plus précis, c’est le manque d’œstrogènes qui, en déréglant le système de régulation corporelle, entraîne les bouffées de chaleur. Les autres symptômes de la ménopause (sécheresse vaginale, troubles urinaires) sont également liés à la chute du taux d’hormones. Le traitement hormonal substitutif de la ménopause, alliant œstrogènes et progestatifs, permet de corriger ce déséquilibre, ce qui réduit les symptômes.


Bouffées de chaleur : à qui le THS est-il destiné ?

Suite à diverses études, la Haute Autorité de santé (HAS) préconise de réserver le THS aux femmes souffrant de bouffées de chaleur ou autres symptômes de ménopause très invalidants, ainsi qu’à celles ayant un fort risque d’ostéoporose. Afin de limiter les risques d’accidents vasculaires et de cancers ( cancer du sein) liés au THS, ce dernier…

  Lire…

Spasmophilie : quelles sont les personnes à risque ?

0

Palpitations, tachycardie, transpiration excessive, angoisse, nausées, sensation d’étouffement, spasmes… La spasmophilie est un ensemble de symptômes dont l’origine reste encore aujourd’hui en partie mystérieuse. Les crises de spasmophilie étaient autrefois attribuées à un manque de calcium ou de magnésium, mais cette hypothèse est désormais rejetée par un grand nombre de médecins. Quelles sont les personnes les plus exposées à ces troubles paniques ?

Le risque de spasmophilie est plus élevé chez les jeunes femmes angoissées

Selon les statistiques, les femmes ont entre 50 et 100 % de chances de plus que les hommes d’avoir un jour une crise de spasmophilie. Les crises surviennent en particulier chez les adolescentes et les jeunes femmes (15-20 ans) qui sont régulièrement angoissées ou viennent de vivre une expérience traumatisante, par exemple une rupture ou un deuil. Le traumatisme est un facteur de risque qui revient souvent. Les personnes qui ont été maltraitées ou victimes d’abus sexuels pendant leur enfance ont également plus de chances que les autres de présenter des symptômes de spasmophilie.


Comment traiter et prévenir la spasmophilie ?

La prise en charge est symptomatique. Il existe des médicaments utilisés contre l’anxiété, les anxiolytiques. Ils sont prescrits aux patients qui ne parviennent pas à contrôler leur angoisse. Des séances de psychothérapie sont parfois recommandées pour rechercher l’…

  Lire…

Sang dans les urines : l’examen de cytologie urinaire

0

La présence de sang dans les urines, ou hématurie, n’est pas toujours visible à l’œil nu. C’est la cytologie urinaire qui permet à l’urologue d’analyser la composition de l’urine et de repérer les cellules sanguines.

Pourquoi réaliser une cytologie urinaire ?

Infection urinaire, calcul rénal, maladie des reins, varices, thrombose veineuse, inflammation de la vessie (cystite) ou de la prostate (prostatite)… Les causes des hématuries sont nombreuses. Lorsque du sang est présent dans les urines ou en cas de troubles urinaires, une analyse des urines s’impose. Certains urologues se contentent de la bandelette urinaire, un moyen simple et rapide de détecter une anomalie. Dans certains cas, un examen plus poussé doit être réalisé : l’examen cytobactériologique des urines (ECBU). Les urines prélevées sont alors analysées au microscope.


Comment interpréter les résultats d’une cytologie urinaire ?

La cytologie urinaire permet de mesurer le taux de globules rouges (hématies) et de globules blancs (leucocytes) dans le sang. L’hématurie est confirmée si le nombre d’hématies est supérieur à 5 000/ml de sang. Concernant les leucocytes, la valeur de référence est de 10…

  Lire…

Bilan inflammatoire : qu’est-ce que la protéine C réactive ?

0

Le bilan inflammatoire permet de rechercher des signes biologiques en cas d’inflammation. La protéine C réactive ou CRP est un marqueur très utile car son taux augmente lorsqu’un processus inflammatoire se produit au sein de l’organisme.

Une simple prise de sang permet de connaître le taux de protéine C réactive

La protéine C réactive est une protéine fabriquée par le foie. Elle est intimement liée au processus inflammatoire : elle apparaît en cas d’inflammation et disparaît au bout de quelques heures, lorsque l’inflammation s’atténue. Il s’agit par conséquent d’un marqueur fiable qui permet aux médecins de confirmer la présence d’une inflammation. Le taux de protéine C réactive se mesure lors d’une prise de sang. Le prélèvement est effectué le matin, à jeun, généralement dans le pli du coude. Le taux de CRP est jugé normal lorsqu’il est inférieur à 6 mg par litre de sang.


Que peut cacher un taux élevé de protéine C réactive ?

Un taux de protéine C réactive supérieur à 6 mg/L peut avoir plusieurs origines. Il peut être provoqué par une infection virale ou bactérienne (hépatite, méningite), une maladie rhumatismale (arthrite, polyarthrite rhumatoïde, spondylarthrite ankylosante), une…

  Lire…

Gamma GT : la définition

0

Un bilan sanguin permet de mesurer la quantité de plusieurs substances dans le sang. Parmi les résultats, figure le taux de gamma-glutamyl-transpeptidase, une protéine plus connue sous le nom de gamma GT. Vos analyses vous révèlent que vous devez faire baisser les gamma GT ? Apprenez à bien connaître ces enzymes afin de mieux vous en débarrasser.

Les gamma GT sont étroitement liées au foie et à l’alcool

Les gamma GT sont présentes dans plusieurs organes comme le pancréas, les reins, les poumons et surtout le foie. Leur taux est normal s’il se situe entre 50 et 60 unités par litre (UI/L) de sang chez les hommes, et entre 30 et 40 UI/L chez les femmes. Il est plus élevé en cas de dysfonctionnement au niveau des organes qui en contiennent, en particulier au niveau du foie. Lorsque les médecins suspectent une maladie hépatique, ils regardent de près le taux de gamma GT. S’il est anormalement élevé, cela peut confirmer une anomalie et conduire à la réalisation d’examens plus poussés. Dans près de 80 % des cas, la présence en quantité importante de gamma GT est synonyme d’alcoolisme chronique. Cette enzyme constitue donc un excellent marqueur pour suivre l’évolution des patients pendant le sevrage alcoolique.


L’augmentation des gamma GT n’est pas toujours provoquée par l’alcool

Chez un patient sur cinq, l’alcool…

  Lire…

Boule de graisse sous la peau : comment l’enlever ?

0

Du kyste au cancer en passant par le fibrome, une boule sous la peau peut être le symptôme d’une pathologie, mais est souvent sans gravité. Le lipome est une boule de graisse qui se forme sous l’épiderme. Il n’est guère dangereux pour la santé mais peut être gênant sur le plan esthétique. Ces quelques astuces vous aideront à vous en débarrasser.

Miel et farine, deux alliés contre les boules de graisse sous la peau

Antibactérienne, anti-inflammatoire, antioxydante, adoucissante… Les propriétés du miel sont nombreuses, si nombreuses que l’apithérapie est souvent proposée comme traitement alternatif pour soigner plusieurs maux. Associé à la farine, le miel agit efficacement contre les lipomes. Mélangez le miel et la farine (à parts égales) pour former un cataplasme que vous appliquerez ensuite directement sur la boule de graisse. Recouvrez le cataplasme d’un bandage et laissez agir pendant 36 heures. Répétez cette opération plusieurs fois pendant environ une semaine jusqu’à ce que le lipome ait disparu.


Le jaune d’œuf, autre traitement efficace contre les boules de graisse

Du jaune d’œuf et du sel… Cette combinaison est a priori surprenante, mais livre parfois des résultats étonnants. Versez dans un bol un jaune d’œuf et deux cuillères à soupe de sel, puis mélangez. Appliquez le mélange obtenu sur le lipome…

  Lire…

Mononucléose : elle touche aussi les adultes

0

La mononucléose de l’adulte jeune est assez fréquente. Cette mononucléose infectieuse, bénigne dans la grande majorité des cas, entraîne souvent une fatigue tenace.

Mononucléose de l’adulte

La mononucléose est une maladie généralement sans gravité. Elle ne touche pas que les jeunes enfants et les adolescents. En effet, la mononucléose de l’adulte est monnaie courante, notamment chez les personnes jusqu’à 25 ans. Il s’agit d’une maladie virale très contagieuse qui se transmet par la salive. On l’appelle mononucléose infectieuse, mononucléose virale ou encore maladie du baiser du fait de son mode de transmission. Le virus responsable de la mononucléose infectieuse est le plus souvent le virus d’Epstein-Barr ou EBV. Sa présence entraîne une augmentation de certaines cellules immunitaires, les monocytes, dont le rôle est d’assurer la protection de l’organisme contre des agents pathogènes. La période d’incubation, c’est-à-dire le laps de temps qui s’écoule entre l’intrusion de l’EBV dans l’organisme et le premier symptôme, dure environ soixante jours.


Mononucléose infectieuse : les symptômes

La mononucléose a pour…

  Lire…

Corne aux pieds : les erreurs à ne plus faire si vous voulez vous en débarrasser

0

Couche cornée, peau sèche, callosités… comment en finir avec la corne aux pieds ? Voici les erreurs à éviter et les bons gestes à adopter pour retrouver une peau toute douce, avec les conseils de Daniel Benjamin, pédicure-podologue.

La corne aux pieds, c’est quoi ?

La…

  Lire…

Araignées : 6 astuces pour vous en débarrasser à la maison

0

Qu’on ait peur ou non, il est toujours désagréable de voir une ou plusieurs araignées se balader chez soi. Voici 6 astuces qui vont vous permettre de les éloigner, les faire fuir et vous assurez qu’elles ne reviennent plus envahir votre maison.   Lire…

Bouton dans la bouche : qu’est-ce que le kyste labial

0

Un bouton dans la bouche peut être un kyste mucoïde. Il ne doit pas être confondu avec l’aphte, petit bouton blanc dans la bouche assez douloureux.

Kyste mucoïde : les glandes salivaires en cause

Le kyste mucoïde, appelé aussi kyste mucocèle, peut évoquer un petit bouton dans la bouche. Il siège plus fréquemment au niveau de la lèvre inférieure mais peut aussi apparaître sur la partie interne d’une joue ou au niveau du plancher buccal. D’apparition subite lorsque le sujet se mord en mangeant par exemple, ce kyste résulte du traumatisme d’une glande salivaire ou du canal extracteur. Il présente un aspect caractéristique à savoir une tuméfaction molle, translucide légèrement bleutée. Il est bénin, peu ou pas douloureux, et disparaît spontanément. De quelques millimètres de diamètre, le kyste mucoïde peut parfois être plus important au point de gêner la déglutition. Dans ce cas, il peut faire l’objet d’une petite intervention chirurgicale. En cas de récidive, un examen complémentaire peut être souhaité afin de rechercher d’éventuelles lésions au niveau bronchopulmonaire ou digestif, voire un carcinome.


L’aphte…  Lire…

Popular Posts

My Favorites

Sous-variant BA.2 : une fois et demie plus contagieux

0

BA.2, aussi appelé le «sous-variant» d’Omicron, est le variant le plus contagieux depuis le début de la ...