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Combien de minutes de marche pour booster votre vitamine D naturellement

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Combien de temps faut-il marcher pour augmenter son taux de vitamine D ?

Il est bien connu que s’exposer au soleil favorise la production de vitamine D, essentielle pour renforcer notre système immunitaire. Mais combien de temps doit-on passer dehors pour bénéficier de ses bienfaits ?

La vitamine D est principalement synthétisée par la peau sous l’effet des rayons ultraviolets du soleil. Environ 70 % de cette vitamine provient de cette production naturelle, le reste venant de l’alimentation. Cependant, en automne et en hiver, la luminosité est plus faible et la durée d’exposition au soleil est souvent limitée. La diététicienne Florence Foucaut explique que durant ces saisons, la synthèse de vitamine D dans notre corps est moins efficace, car nous sommes généralement mieux couverts et moins exposés au soleil.

Selon des chercheurs espagnols, le temps d’exposition nécessaire varie selon la saison. En janvier, par exemple, il faut environ 2 heures d’exposition au soleil à midi pour atteindre la dose quotidienne recommandée, avec le visage, le cou, les mains et les avant-bras découverts. En juillet, cette durée descend à seulement 7 minutes, tandis qu’en octobre, il faut environ 31 minutes.

Pour éviter toute carence en vitamine D, les experts recommandent de profiter du soleil dès qu’il y en a. De plus, il est conseillé de consommer régulièrement des aliments riches en vitamine D tout au long de l’année. Parmi eux, on trouve les poissons gras comme le saumon, la sardine ou le maquereau, mais aussi les champignons, les œufs, le chocolat noir, le beurre, la margarine, les abats, l’huile de foie de morue, le fromage blanc ou les Petit-Suisse.

En cas de risque de carence, un médecin peut prescrire une supplémentation en vitamine D. Il est important de suivre ces recommandations pour préserver ses défenses immunitaires, surtout durant les saisons où l’exposition au soleil est limitée.

Séniors : Comment l’activité physique transforme votre santé et votre vitalité

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Les bienfaits de l’activité physique chez les séniors

Pratiquer une activité physique régulièrement est crucial pour la santé des personnes âgées. Cela permet d’améliorer la santé cardiovasculaire, de renforcer les muscles et les os, et de réduire le risque d’ostéoporose. L’activité favorise également la mobilité, la souplesse des articulations, et aide à prévenir certaines maladies chroniques comme le diabète de type 2. Elle stimule le système immunitaire, améliore l’équilibre pour réduire les risques de chutes, et contribue au bien-être mental en diminuant le stress et l’anxiété. Enfin, faire du sport permet de maintenir le lien social et de favoriser la convivialité.

Activités physiques recommandées pour les séniors

Il est important de choisir des activités adaptées à ses capacités et à ses préférences. Voici quelques idées accessibles et efficaces :

La marche à pied

La marche est l’une des activités les plus simples et bénéfiques. Elle améliore la santé cardiovasculaire, renforce les muscles des jambes, et stimule la circulation sanguine. Il est conseillé de marcher au moins 30 minutes par jour, à un rythme modéré. Pour varier les plaisirs, il est possible de marcher dans un parc, en ville ou dans un centre commercial lors des jours de mauvais temps.

  • Porter des chaussures confortables
  • Utiliser une canne si nécessaire
  • Privilégier des parcours avec des pentes douces pour renforcer davantage

Les exercices d’étirement et de souplesse

Pour conserver une bonne mobilité, il est essentiel de pratiquer des exercices d’étirement. Ceux-ci peuvent être faits quotidiennement ou plusieurs fois par semaine, en douceur, le matin ou avant de dormir. Ces exercices aident à prévenir la raideur musculaire et à augmenter l’amplitude des mouvements.

  • Étirements du cou, des épaules, du dos et des jambes
  • Pratique de yoga ou de tai-chi adaptés
  • Respirer profondément lors de chaque étirement

Les activités aquatiques

Les exercices en piscine sont particulièrement recommandés pour ceux souffrant d’arthrite ou de douleurs articulaires. La flottabilité de l’eau réduit l’impact sur les articulations tout en permettant un travail musculaire efficace. Parmi ces activités, on trouve :

  • Marche ou course dans l’eau
  • Cours d’aquagym ou d’aquabike
  • Nage ou nage libre

Il est conseillé de pratiquer ces activités sous la supervision d’un professionnel pour garantir la sécurité.

Le yoga et le tai-chi

Ces disciplines douces combinent exercices de respiration, étirements et mouvements lents. Elles améliorent l’équilibre, la respiration, et la concentration. Des cours adaptés aux séniors existent dans de nombreuses structures. La pratique régulière peut aider à réduire le stress, améliorer la posture et prévenir les chutes.

  • Suivre des cours encadrés par des professionnels
  • Commencer avec des séances courtes, puis augmenter progressivement
  • Utiliser des accessoires comme des chaises ou des blocs pour faciliter certains mouvements

Les activités de renforcement musculaire

Pour maintenir la masse musculaire, il est conseillé d’intégrer des exercices de musculation adaptés. Cela peut inclure :

  • Utilisation de petits poids ou bandes élastiques
  • Exercices avec le poids du corps, comme les squats ou les levées de jambes
  • Gymnastique douce ou Pilates pour seniors

Il est important de commencer avec des charges faibles, d’éviter la douleur, et de respecter ses limites. La supervision d’un professionnel peut assurer la sécurité lors de ces exercices.

Les activités sociales et collectives

Participer à des activités sportives en groupe favorise la motivation et le maintien du lien social. Il peut s’agir :

  • De clubs de marche ou de randonnée légère
  • De cours de danse, comme la danse de salon ou en ligne
  • De séances de gymnastique douce ou de fitness pour seniors

Ces activités combinent sport et convivialité, contribuant aussi au bien-être mental.

Conseils pour commencer une activité physique en toute sécurité

Il est essentiel d’aborder toute nouvelle activité avec prudence, surtout si l’on a des problèmes de santé ou peu d’expérience en exercice. Voici quelques recommandations :

  • Consulter un médecin avant de débuter, notamment en cas de maladies chroniques ou de problèmes cardiaques
  • Commencer doucement, avec des sessions courtes, puis augmenter progressivement
  • S’échauffer avant l’effort et se refroidir après
  • Porter des vêtements confortables et adaptés
  • Pratiquer dans un environnement sécurisé
  • Écouter son corps et arrêter en cas de douleur ou de malaise
  • Se faire accompagner par un professionnel pour les activités plus exigeantes

Fièvre chez l’enfant : comment repérer les signes d’alerte rapidement

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Les signes de fièvre et de malaise chez l’enfant

La fièvre est une réaction normale du corps face à une infection. Cependant, certains cas nécessitent une vigilance accrue, surtout si la température dépasse certains seuils ou si d’autres symptômes apparaissent.

Fièvre élevée

  • Température corporelle supérieure à 39°C, surtout si elle dure plus de 24 heures
  • Présence de convulsions fébriles
  • Fièvre chez un nourrisson de moins de 3 mois

Chez les très jeunes enfants, une fièvre élevée peut indiquer une infection grave comme une méningite ou une septicémie. En cas de fièvre persistante ou associée à une extrême somnolence, un refus de boire ou une grande irritabilité, il est important de consulter rapidement.

Malaise ou fatigue inhabituelle

  • Enfant très fatigué ou somnolent, peu réactif
  • Perte d’appétit prolongée
  • Perte de poids soudaine ou signes de déshydratation

Un état général dégradé peut signaler une infection sérieuse ou d’autres problèmes médicaux nécessitant une évaluation urgente.

Les symptômes respiratoires à surveiller

Les troubles respiratoires sont courants chez l’enfant, surtout lors d’infections virales. Toutefois, certains signes doivent alerter pour éviter une détresse respiratoire grave.

Respiration difficile ou rapide

  • Souffle court ou respiration saccadée
  • Retrait des muscles entre les côtes ou au niveau du cou lors de la respiration
  • Respiration supérieure à 60 cycles par minute chez un bébé ou un jeune enfant

Changements dans la voix ou la respiration

  • Voix rauque ou enrouée persistante
  • Changement de ton ou de son lors de la respiration
  • Coloration bleutée des lèvres ou de la peau, signe d’hypoxie

Ces symptômes nécessitent une consultation immédiate ou une prise en charge aux urgences, car la détresse respiratoire peut évoluer rapidement.

Les signes liés à la peau et au comportement

Éruptions cutanées et coloration anormale

  • Éruptions rouges ou violacées qui ne disparaissent pas à la pression (pétéchies ou purpura)
  • Coloration bleutée des extrémités ou des lèvres
  • Peau très pâle ou jaunisse (jaunissement de la peau et des yeux)

Changements de comportement

  • Convulsions ou crises d’épilepsie
  • Perte de conscience ou état semi-comateux
  • Agitation extrême ou, à l’inverse, léthargie profonde

Ces signes indiquent souvent une urgence médicale. Par exemple, une éruption pétéchiale peut être le signe d’une infection grave comme la méningococcémie.

Les symptômes liés à l’alimentation et à la déshydratation

Une déshydratation peut évoluer rapidement chez l’enfant. Il est important de rester vigilant face à certains signaux.

Refus de boire ou de manger

  • Enfant qui ne veut plus s’alimenter ou boire pendant plusieurs heures
  • Vomissements répétés empêchant l’enfant de s’hydrater

Signes de déshydratation

  • Bouche sèche ou lèvres gercées
  • Urines moins fréquentes ou de couleur foncée
  • Somnolence ou irritabilité importante
  • Yeux enfoncés ou fontanelle bombée chez les bébés

Une déshydratation sévère doit être prise en charge immédiatement, car elle peut entraîner un choc ou une défaillance d’organes.

Les douleurs inhabituelles ou persistantes

Douleurs aiguës ou persistantes

  • Douleurs abdominales intenses ou durables
  • Douleurs à la tête ou au cou avec vomissements ou troubles visuels
  • Douleurs thoraciques ou dorsales

Signes associés à la douleur

  • Enfant se plaignant ou se couvrant de douleurs constantes
  • Changements de comportement, comme irritabilité ou léthargie

Ces douleurs peuvent indiquer une appendicite ou une infection grave, nécessitant une consultation rapide.

Les symptômes spécifiques chez les enfants de moins de 6 mois

Les nourrissons étant particulièrement vulnérables, certains signes doivent être pris très au sérieux, même s’ils semblent bénins.

Refus de téter ou d’allaiter

  • Enfant refusant la nourriture ou le lait sans raison apparente
  • Perte de poids rapide ou déshydratation visible

Changements dans le comportement

  • Somnolence excessive ou, à l’inverse, agitation
  • Signes de douleur ou inconfort, comme pleurs inconsolables

Signes de maladie grave chez le nourrisson

  • Fièvre chez un bébé de moins de 3 mois
  • Respiration rapide ou difficile
  • Coloration bleutée ou pâle

En cas de doute, il est toujours conseillé de consulter rapidement un professionnel de santé. La prise en charge précoce peut faire toute la différence.

Quand consulter un médecin ou se rendre aux urgences ?

Il n’est pas toujours évident de déterminer si un symptôme nécessite une consultation immédiate ou une simple surveillance. Voici quelques conseils :

  • Si l’enfant a une respiration rapide ou une coloration bleutée, notamment au niveau des lèvres ou des extrémités
  • En cas de convulsions, perte de conscience ou crises d’épilepsie
  • Lorsqu’un enfant ne répond plus ou est très somnolent
  • Si une éruption pétéchiale ou violacée apparaît, surtout si elle s’étend rapidement
  • Forte fièvre chez un bébé de moins de 3 mois ou fièvre qui ne baisse pas après traitement
  • Refus de boire ou d’alimenter associé à des signes de déshydratation
  • Douleurs abdominales ou thoraciques intenses ou persistantes

En cas de doute, il est toujours préférable de consulter un professionnel ou d’appeler les urgences. La rapidité d’intervention peut sauver la vie de l’enfant.

Articulations après 50 ans : découvrez la solution miracle pour soulager la douleur

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Un meilleur confort articulaire après 50 ans

Après 50 ans, il est courant de ressentir une certaine raideur ou des douleurs au niveau des articulations. Cependant, il n’y a pas de fatalité. En adoptant de bonnes habitudes et en soutenant la santé du cartilage, il est possible de préserver sa mobilité et son confort articulaire sur le long terme.

Les études récentes mettent en avant une solution efficace : une association de trois nutriments essentiels. La glucosamine, la chondroïtine et le collagène travaillent ensemble pour entretenir les tissus articulaires et réduire les gênes liées à l’usure naturelle.

Les effets d’une meilleure qualité de vie articulaire

Avec l’âge, le cartilage des articulations s’amincit. La production de collagène, protéine structurale essentielle, diminue également. La quantité d’acide hyaluronique, qui lubrifie les articulations, diminue aussi, ce qui peut causer davantage d’inconfort et d’inflammations chroniques. Cependant, ces troubles peuvent être atténués grâce à une combinaison de compléments. La prise de chondroïtine et de glucosamine en gélules permet de réduire les douleurs et de retrouver une meilleure mobilité.

Les bienfaits de la glucosamine

La glucosamine est une substance naturellement présente dans le cartilage. Elle participe à sa réparation et agit comme une huile pour les articulations, facilitant leur mobilité. Après 50 ans, la production naturelle de glucosamine baisse, ce qui augmente le risque d’arthrose. Les compléments alimentaires riches en glucosamine ont montré leur efficacité pour préserver la santé des articulations et retarder l’usure du cartilage. Ils sont particulièrement utiles pour prévenir ou limiter les douleurs liées à une arthrose modérée.

Le rôle de la chondroïtine

Comme la glucosamine, la chondroïtine est un composant naturel du cartilage. Elle aide à retenir l’eau dans le tissu articulaire, ce qui améliore sa résistance. Elle agit aussi en bloquant les enzymes qui dégradent le cartilage. Lorsqu’elle est associée à la glucosamine, la chondroïtine optimise la protection des articulations. Les personnes de plus de 50 ans qui prennent ces deux actifs en gélules constatent souvent une diminution des douleurs et une récupération de fluidité dans leurs mouvements.

Pourquoi intégrer du collagène dans la routine ?

Le collagène, notamment sous forme de complément alimentaire, compense la faiblesse des tissus après 50 ans. Produit en France, il soutient tendons, ligaments et cartilage. Sa consommation régulière aide à prévenir les micro-lésions, à réduire l’inflammation et à protéger contre les entorses ou tendinites. Elle permet aussi de reprendre une activité physique sans inconfort ni risque accru de blessures, un avantage précieux avec l’âge.

Comment optimiser cette synergie ?

Les effets de la combinaison de chondroïtine, glucosamine et collagène se font généralement sentir en deux à trois mois. Ces molécules ne régénèrent pas le cartilage, mais elles ralentissent sa dégradation. Pour une meilleure assimilation, il est conseillé de prendre ces compléments lors d’un repas. La vitamine C, essentielle à la synthèse du collagène, doit aussi être intégrée à l’alimentation, par exemple sous forme de fruits frais ou de supplémentation. Ces nouvelles habitudes sont simples à adopter et ne provoquent généralement pas d’effets secondaires ou de troubles digestifs.

Lutte contre le gaz cancérogène dans l’eau : la première en France

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Un recours pour mieux détecter le gaz cancérogène dans l’eau potable

Ce lundi 27 octobre, deux associations ont saisi le tribunal administratif de Nantes pour demander à l’État d’améliorer la détection du chlorure de vinyle monomère (CVM) dans l’eau qui circule dans les canalisations. Il s’agit d’une première en France sur ce sujet.

Les associations souhaitent que le tribunal enjoigne à l’État de renforcer ses contrôles sur le CVM, un gaz classé comme « cancérogène certain » depuis 1987. Selon leur avocate, cette démarche vise à faire réagir l’État qui, selon elles, ne répond pas depuis plusieurs mois.

Ce recours en injonction est une première en France sur le sujet du CVM et vise à forcer l’État, qui ne nous répond pas depuis des mois, à réagir

Le CVM, présent dans les canalisations en PVC installées dans les années 1970, est suspecté de provoquer notamment des cancers du foie. Sa présence dans l’eau potable est préoccupante, d’autant qu’il pourrait contaminer une partie importante du réseau français.

Une contamination potentielle importante

Selon le chercheur Gaspard Lemaire, le CVM pourrait être présent dans 15 % à 30 % du réseau d’eau potable en France. Il estime que 275.000 kilomètres de canalisations pourraient être contaminés, mais moins d’un quart de ces cas sont rendus publics.

Une action nationale face à l’inaction

Cette démarche intervient après plusieurs autres initiatives lancées par des habitants de différentes régions françaises, qui dénoncent la pollution au CVM et le manque de réaction de l’État. Les associations espèrent ainsi obtenir une meilleure application des réglementations en vigueur.

Les actions visent notamment à améliorer l’identification des tronçons contaminés, à renforcer les contrôles et à mieux informer les populations concernées. Selon l’avocate, « des fautes ont été commises » et il est important de faire reconnaître les responsabilités.

Hervé Conraux, membre du Comité citoyen de la Sarthe, déposé le recours avec l’antenne départementale de France Nature Environnement, souligne que face à l’absence de mesures suffisantes, il était urgent d’intervenir à l’échelle nationale pour faire respecter les règles et provoquer des réactions.

À 71 ans, le secret de Jane Ziegler Sojka pour rester en forme dévoilé

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À 71 ans, Jane Ziegler Sojka partage sa méthode pour rester en forme

Jane Ziegler Sojka, âgée de 71 ans, n’est pas une retraitée inactive. Elle enseigne toujours le marketing à l’Université de Cincinnati, aux États-Unis. Dans le magazine Parade, elle affirme se sentir « plus en forme que jamais ». Cette vitalité, elle la doit à une nouvelle routine quotidienne : des cours de fitness combinant musculation, cardio et pleine conscience, pour maximiser ses résultats.

Pour elle, l’important n’est pas de faire des efforts extrêmes, mais d’être régulière. « Cela permet de développer et renforcer des muscles que je ne connaissais pas », explique-t-elle. Ces séances sont devenues pour elle bien plus que de simples entraînements. Elles sont une façon de prendre soin de son corps et de son esprit. Grâce à cette pratique, elle a notamment réussi à réduire ses douleurs aux genoux et à retrouver sa mobilité.

Un de ses plus grands succès est d’avoir pu monter et descendre seule les escaliers raides d’un stade de football pour aller voir jouer son petit-fils. Elle souligne qu’il y a dix ans, elle aurait eu peur de faire cela.

Son programme hebdomadaire

Pour maintenir cette régularité, Jane suit un planning précis chaque semaine. Le lundi et le mercredi, elle participe à un cours appelé « signature » dans sa salle de sport. Ce cours mêle renforcement musculaire, équilibre, étirements et cardio. Elle réalise des squats, des fentes et de petits mouvements à la barre. « C’est juste ce qu’il faut pour me réveiller, me faire bouger et commencer la journée de bonne humeur », confie-t-elle avec le sourire.

Les mardi et jeudi, place à la musculation. « À mon âge, se muscler est essentiel », affirme-t-elle. Elle utilise des haltères, des bandes de résistance, fait des pompes et des soulevés de terre. Elle apprécie que ces séances soient rythmées par de la musique et des routines amusantes, rendant l’entraînement plus agréable.

Le vendredi, elle privilégie un entraînement cardio de 45 minutes pour prendre soin de son cœur. Le samedi, elle opte pour une version plus douce du cours « signature », avec plus d’étirements. « J’en ressors revigorée », dit-elle. Lorsqu’elle se sent fatiguée, elle remplace ses exercices en salle par un cours d’aquagym, ce qui lui permet de retrouver son énergie pour repartir le lendemain.

Une source d’inspiration et d’encouragement

Jane veille aussi à sa vitalité en promenant ses trois chiens, une habitude qu’elle partage avec son mari. « Quand il fait froid, qu’il pleut, que je suis fatiguée ou que je n’ai pas envie, je regarde mes chiens. Leur motivation me pousse à enfiler mes chaussures de marche », explique-t-elle.

Professeure active, elle a choisi de porter des baskets pour ménager ses articulations lors de ses déplacements. « Certains pourraient critiquer ma tenue, un tailleur avec des baskets, mais je pense qu’en agissant ainsi, j’encourage aussi mes élèves à bouger », affirme-t-elle. Son style vestimentaire symbolise sa philosophie : vieillir ne doit pas empêcher de rester forte et joyeuse, ni de continuer à bouger chaque jour.

Ma routine beauté à 40 ans : secrets pour une peau éclatante et adaptée

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Alors que je m’approche de la quarantaine, je constate que ma peau change. Les hormones sont souvent en désordre, mais j’ai aussi appris à mieux la connaître et à en prendre soin. Pendant ma jeunesse, je testais des produits vantés par la publicité, mais je n’obtenais que des déceptions. Après plusieurs années d’expériences, j’ai compris que ma routine doit évoluer en fonction de mon cycle hormonal, de la météo et de mon état d’esprit.

Routine matinale : nettoyage et protection

Le matin, entre les responsabilités familiales et la course contre la montre, je me contente de me brosser les dents et de me laver le visage à l’eau pour avoir l’air présentable. Après une séance de sport et une douche rapide, je fais le point sur l’état de ma peau.

Si ma peau semble normale, j’applique mes soins hydratants habituels. En revanche, si elle a besoin d’un décrassage, notamment après une soirée entre amis ou durant la phase lutéale de mon cycle, j’utilise une huile démaquillante appelée Get Unblocked. Bien que recommandée pour le soir, cette huile dissout aussi le sébum et les impuretés le matin, sans agresser la barrière lipidique de la peau.

Je l’applique à sec, en massant longuement pour stimuler la circulation et réduire les gonflements. J’apprécie son parfum doux et son effet matifiant. Ensuite, je protège ma peau avec une crème solaire Supergoop Unseen SPF 30+, qui sert aussi de base pour le maquillage. Sa texture légère et sans parfum offre une sensation veloutée agréable à l’application.

Soins ciblés pour le regard et la croissance des sourcils

Pour mes yeux, qui présentent des poches de plus en plus marquées avec l’âge, j’utilise un sérum raffermissant à base de peptides. Son applicateur large facilite le massage et permet de défatiguer le regard. Ce sérum est doux, sans parfum, et contribue aussi à renforcer la tenue de l’anticernes.

Récemment, j’ai remarqué une perte de densité au niveau de mes sourcils, qui s’éclaircissent avec l’âge. Pour stimuler leur pousse, j’applique un sérum pour sourcils de Mavala. En quelques semaines, j’ai déjà constaté des résultats visibles.

Priorité à l’hydratation

En 2022, après avoir soufflé mes 38 bougies, j’ai discuté avec mon esthéticienne de mes rides naissantes. Elle m’a expliqué que ma peau manquait d’hydratation, ce qui accentuait ces rides. Depuis, l’hydratation est devenue ma priorité.

Je me tourne vers l’huile régénérante MiYé, adaptée aux peaux matures. Elle aide à préserver l’équilibre du microbiome cutané, lutte contre le stress oxydatif, et stimule la régénération cellulaire. Elle apaise aussi les rougeurs et irritations, un avantage avec l’âge. Son fini léger et sec la rend agréable à utiliser.

Choix de la crème de jour selon la période du cycle

Pour ma crème de jour, j’hésite entre deux options : Hyaluronic Acid + Peptides Ceramide d’Elizabeth Arden ou la crème raffermissante Mimétique. La première hydrate en profondeur, protège et apaise, sans laisser de sensation grasse. La seconde est légère, hydratante, et repulpante.

En début et en fin de cycle, j’utilise la crème Mimétique, qui donne un coup d’éclat à ma peau, particulièrement en hiver lorsque celle-ci est sèche. Pendant la phase pré-ovulatoire, je préfère la crème Elizabeth Arden, riche en céramides, pour renforcer l’élasticité et l’hydratation.

Soins du soir : nettoyage et apaisement

Après une journée bien remplie, je prends le temps de nettoyer mon visage avec la brosse Lauvée. Elle élimine impuretés et favorise la régénération nocturne, tout en étant douce et adaptée aux peaux sensibles.

Selon mon cycle, je choisis aussi mon soin du soir. En début et fin de règle, j’applique l’onguent Estime & Sens, qui hydrate et apaise ma peau. En milieu de cycle, je privilégie la crème de nuit et le sérum de Typology, pour une régénération en profondeur.

Pour moi, cette routine n’est plus une contrainte. C’est un moment de plaisir, une façon d’apprendre à mieux me connaître et de prendre soin de moi chaque jour.

Raffermissez vos bras après 50 ans avec cet accessoire gratuit et simple

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Un accessoire gratuit pour raffermir les bras après 50 ans

Un simple geste peut aider à tonifier les bras des plus de 50 ans, sans besoin de salle de sport ni d’équipement coûteux. Beaucoup affirment que cette méthode retend la peau et renforce la musculature.

Avec l’arrivée des beaux jours et le port de manches courtes, la question du relâchement des bras revient souvent. La perte musculaire et la peau qui s’affaisse deviennent des préoccupations. Une astuce maison, validée par des coachs pour seniors, fait aujourd’hui le buzz en proposant une solution simple et gratuite.

Pourquoi les bras changent-ils après 50 ans ?

Après 50 ans, le corps perd du muscle plus vite qu’il n’en construit. Les triceps, situés à l’arrière du bras, s’affaiblissent, tout comme la peau qui s’étire. Résultat : l’effet « ailes de chauve-souris » apparaît, surtout si l’on reste peu actif ou si l’on limite sa consommation de protéines.

Le duo triceps-peau, un équilibre fragile

Les triceps jouent un rôle clé : ils stabilisent l’épaule, facilitent la poussée et aident à maintenir une bonne posture. Lorsqu’ils faiblissent, les gestes quotidiens deviennent plus difficiles. La peau au-dessus du bras perd de sa tension, ce qui provoque un affaissement et des plis.

Agir vite évite d’agir fort. Quelques minutes régulières freinent la fonte musculaire et retendent l’arrière du bras.

L’accessoire à avoir chez soi

Pas besoin d’haltères ou d’équipements coûteux. Des bouteilles d’eau, faciles à trouver, peuvent suffire. Elles tiennent bien en main et leur poids peut être ajusté selon la quantité d’eau qu’on y met.

Quelle taille choisir ?

Commencez avec des bouteilles de 50 cl, qui pèsent environ 0,5 kg. Cette charge légère facilite l’apprentissage des mouvements sans risque pour les épaules. Une fois la technique maîtrisée, vous pouvez remplir les bouteilles à 60 cl ou passer à 1 litre par étapes. La régularité est plus importante que la charge.

Des bouteilles de 50 cl suffisent pour réveiller les triceps et lisser le haut du bras en quelques semaines.

Volume Poids approximatif par main Niveau recommandé Objectif
50 cl ≈ 0,5 kg Débutant Apprendre la technique, activer les triceps
75 cl ≈ 0,75 kg Intermédiaire Augmenter la tension, gagner en tonicité
1 L ≈ 1 kg Confirmé Renforcer et stabiliser durablement

Routine simple pour lutter contre le relâchement des bras

Il est conseillé de réaliser trois séances par semaine, chacune d’environ 15 à 20 minutes. Il vaut mieux espacer les séances de deux jours au début. Il faut respirer profondément, travailler lentement et éviter les mouvements brusques.

Exemple de séance express

  • Rowing biceps penché : Debout de profil, genoux fléchis, dos droit, buste incliné. Les bouteilles aux cuisses, tirez les mains vers les épaules, coudes proches du corps. Faites 2 séries de 10 à 12 répétitions.
  • Extensions triceps arrière : Même posture. Coudes tirés vers l’arrière, tendez les bras derrière vous puis revenez. Expirez en tendant, inspirez en revenant. 3 séries de 10 répétitions.
  • Élévations latérales : Debout, jambes écartées à la largeur du bassin. Bras le long du corps, levez jusqu’à l’épaule, redescendez lentement. 2 séries de 10 répétitions.
  • Coups de poing contrôlés : Pied d’appui devant, mains au niveau du menton. Pointez alternativement devant, bras tendus, sans verrouiller le coude. Faites 3 séries de 20 secondes, avec 20 secondes de pause entre chaque.
Reposez une minute entre chaque série. Si un mouvement provoque une douleur à l’épaule, réduisez l’amplitude ou le poids.

Gardez les coudes près du corps et le ventre engagé pour un geste de meilleure qualité. La nuque doit rester détendue.

Les erreurs à éviter

  • Prendre des poids trop lourds : mieux vaut augmenter le nombre de répétitions que de forcer l’articulation.
  • Balancez le dos : fixez les omoplates, penchez-vous à partir des hanches, avec les genoux légèrement fléchis.
  • Oublier de respirer : inspirez en abaissant, soufflez en levant.
  • Ne pas progresser : augmentez la charge ou le nombre de répétitions progressivement, un paramètre à la fois.

Progression sur quatre semaines

Semaine Charge Répétitions Séries Fréquence
1 50 cl 8-10 2 3 fois par semaine
2 50-60 cl 10-12 2-3 3 fois par semaine
3 75 cl 10-12 3 3 fois par semaine
4 75 cl à 1 L 12 3 3 fois par semaine

Signaux à surveiller

En cas de douleur vive à l’épaule, de fourmillements dans la main ou d’essoufflement inhabituel, il faut arrêter l’exercice. Il est conseillé de boire, de réduire l’intensité et de reprendre plus doucement. Pour ceux ayant des antécédents à l’épaule, il vaut mieux éviter l’inclinaison du buste et limiter l’amplitude au-dessus de l’épaule.

Pour aller plus loin

  • Isométrie triceps : mains posées sur le bord d’une table, bras tendus, poussez sans bouger pendant 20 secondes. Répétez trois fois.
  • Pompes au mur : mains contre le mur, corps gainé, fléchissez les bras puis repoussez. Faites 3 séries de 8 répétitions.
  • Exercices avec un élastique : une vieille chambre à air propre peut remplacer une bande de résistance. Tirez doucement, contrôlez le retour.

Alimentation et hydratation, clés de la progression

Il est recommandé de consommer 20 à 30 grammes de protéines à chaque repas, sauf avis contraire du médecin. Les œufs, le yaourt grec, les légumineuses ou le poisson apportent les nutriments nécessaires à la réparation musculaire. Après chaque séance, buvez un grand verre d’eau. La muscle se contracte mieux lorsqu’il est bien hydraté.

Un litre d’eau pèse un kilogramme : ajustez votre consommation en conséquence, sans matériel coûteux ni dépenses excessives.

Comment suivre ses progrès

  • Faire un test avec un t-shirt serré le jour 1, puis le refaire à la fin des 4 semaines pour comparer bras levés.
  • Mesurer le tour de bras au milieu, toujours au même endroit, bras détendu.
  • Noter la facilité à effectuer certaines actions du quotidien, comme ouvrir une fenêtre ou pousser une porte lourde.

Idées pour aller plus loin

Intégrez une marche active de 20 minutes les jours où vous ne faites pas d’exercices pour améliorer la circulation et favoriser la récupération. Vous pouvez aussi faire une séance dos et posture en utilisant un balai posé dans le dos pour aligner la nuque et les épaules, ce qui aide à réduire les tensions cervicales et à corriger la posture.

Pour suivre la progression du poids, remplissez vos bouteilles avec de l’eau salée (pour éviter les bactéries si vous les gardez longtemps). Notez le niveau avec un marqueur. Augmentez la quantité d’eau tous les 7 à 10 jours si l’exercice devient facile, ou maintenez-le si vous ressentez une fatigue ou un tremblement.

Restez actif pour mieux vieillir et préserver votre vitalité

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S’activer : maintenir une activité physique et mentale

Le premier principe essentiel pour mieux vieillir est de rester actif, tant sur le plan social que physique et mental. La gérontologue Susie DiGiovanna insiste sur l’importance de faire un effort conscient pour socialiser, pratiquer une activité physique et s’impliquer dans des activités qui favorisent le bien-être. Elle souligne que prendre soin de soi ne se fait pas par hasard, mais demande une démarche volontaire, notamment en ayant un entourage soutenant.

Des études montrent que l’isolement social augmente considérablement les risques de mortalité. Une recherche menée aux États-Unis sur plus de 13 600 adultes de plus de 50 ans a révélé que l’isolement social accroît de 29 % le risque de décès et de 40 % le risque de développer une démence. Les liens sociaux et l’activité physique permettent de stimuler le cerveau, favorisant la neuroplasticité — c’est-à-dire la capacité du cerveau à créer de nouvelles connexions, même avec l’âge.

Devenir adulte : assumer ses responsabilités

Le deuxième principe, que la spécialiste appelle le « devenir adulte », consiste à prendre en main son vieillissement avec maturité. Même si l’on est physiquement un adulte, il est crucial d’adopter une attitude responsable face à cette étape de la vie. Préparer sa vieillesse en rédigeant, par exemple, un testament ou en déclarant ses directives médicales, peut sembler difficile ou effrayant. Pourtant, cela procure une grande paix intérieure.

Susie DiGiovanna partage avoir elle-même testé cette démarche à 64 ans, en se préparant mentalement et matériellement pour l’avenir. Elle souligne que cette préparation permet d’être plus serein et d’éviter le stress lié à l’incertitude. Discuter de ses souhaits avec ses proches ou gérer ses finances font partie de cette responsabilité adulte qui facilite l’acceptation du vieillissement.

Accepter le temps qui passe

Le dernier principe consiste à accepter le vieillissement. Bien que cela ne soit pas toujours facile, il est important de ne pas résister à l’évidence du temps qui passe. La spécialiste explique que nier son âge ou tenter de le refouler peut être nuisible pour la santé.

Une revue de 32 études, réalisée en 2024, montre que percevoir positivement son âge améliore la qualité de vie, tandis qu’une vision négative peut la dégrader. Accepter son âge et adopter une attitude optimiste ont des effets bénéfiques sur le bien-être mental et physique, surtout après 60 ans. Susie DiGiovanna conclut que ceux qui acceptent leur statut de senior, avec curiosité et ouverture d’esprit, vivent plus sereinement.

Rester assis trop longtemps : un danger insoupçonné pour votre santé

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Une nouvelle étude scientifique met en lumière un danger insoupçonné dans notre routine quotidienne. Rester assis pendant de longues périodes pourrait augmenter le risque de développer plusieurs types de cancers.

Les risques liés à la sédentarité

Selon plusieurs recherches internationales, le fait de rester assis trop longtemps dans la journée est associé à un risque accru de certains cancers. Parmi eux, le cancer du colon, du poumon, de l’endomètre ou encore du sein. Les scientifiques expliquent que cette habitude nuit au métabolisme, favorise l’inflammation chronique et affaiblit les défenses naturelles du corps. Il est donc conseillé de bouger davantage chaque jour pour réduire ces risques.

Un rapport alarmant de l’OMS sur la consommation d’alcool

Un rapport récent de l’Agence internationale de recherche sur le cancer (CIRC), branche de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), confirme que l’alcool est hautement cancérigène. La consommation d’alcool, très ancrée dans la culture française, serait responsable de sept types de cancers, notamment ceux de la bouche, du foie, de l’œsophage et du sein. Selon l’étude, près de 4 % des nouveaux cas de cancer dans le monde chaque année sont liés à l’alcool.

Les localisations de cancers liées à l’alcool

Le rapport précise que l’alcool est « carcinogène pour l’homme » depuis 1998. Il établit un lien direct entre la consommation d’alcool et sept localisations : bouche, pharynx, larynx, œsophage, côlon-rectum, foie et sein. En France, cela représenterait environ 28 000 nouveaux cas par an. Les chercheurs expliquent que c’est l’éthanol et ses dérivés, notamment l’acétaldéhyde, qui endommagent l’ADN et favorisent les mutations responsables des cancers.

Une tendance en augmentation mondiale

Malgré les avertissements, la consommation d’alcool continue de croître dans plusieurs régions du monde, comme en Afrique subsaharienne, en Asie du Sud-Est ou encore dans les Amériques. En Europe, la consommation reste la plus élevée, même si moins de la moitié de la population connaît le lien avec le cancer. En 2020, l’OMS estime que 741 000 nouveaux cas de cancer ont été liés à l’alcool dans le monde, principalement chez les hommes. L’organisation considère cela comme un « problème majeur de santé publique ».

La consommation d’alcool, même modérée, dangereuse

Contrairement à certaines idées, il n’existe pas de seuil de consommation sans danger. Selon le CIRC, même un verre par jour peut augmenter le risque de cancer. Des niveaux plus élevés, comme deux à six verres par jour ou plus, aggravent la situation. En 2020, cette consommation a causé plus de 100 000 nouveaux cas de cancer. Le Dr Harriet Rumgay rappelle qu’« aucune consommation d’alcool n’est totalement dénuée de risque » et encourage à réduire sa consommation.

Les coûts économiques et sociaux

Les décès liés au cancer attribuable à l’alcool représentent aussi un coût économique important. Selon Femina, ils engendrent environ 4,6 milliards d’euros de pertes de productivité chaque année dans l’Union européenne. L’OMS recommande des politiques strictes : augmenter les taxes, limiter les heures et lieux de vente, interdire la publicité. Une étude montre que doubler les taxes sur l’alcool pourrait prévenir 6 % des nouveaux cas de cancer en Europe en 2019.

Une situation inquiétante en France

En France, l’alcool reste le deuxième facteur de risque évitable de cancer, après le tabac. L’Institut national du cancer estime à 16 000 le nombre de décès annuels dus aux cancers liés à l’alcool. Bien que la consommation ait diminué depuis les années 1960, elle reste parmi les plus élevées d’Europe. Selon l’Institut de Cancérologie de Lorraine, tous les types d’alcool, du vin à la bière, sont concernés. Le risque apparaît dès le premier verre, ce qui souligne qu’une consommation minimale ou l’abstinence est la seule façon de préserver sa santé.

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