Santé

Home Santé
Liste d'articles sur la saté

Doit-on dormir plus en hiver ? La réponse surprenante du neurologue

0

Faut-il dormir davantage en hiver ? La réponse d’un neurologue

Avec la baisse de la luminosité pendant l’hiver, il est fréquent de ressentir une envie de ralentir et de dormir davantage. Selon le Dr Marc Rey, neurologue spécialiste du sommeil, il est bénéfique, si possible, d’adapter son rythme en hiver en augmentant son temps de sommeil et en réduisant ses activités. Son avis a été recueilli par Top Santé.

Pourquoi nos besoins en sommeil augmentent-ils en hiver ?

Deux phénomènes naturels expliquent cette augmentation des besoins en sommeil durant la saison froide. Le premier concerne la durée du jour : en hiver, les journées raccourcissent, et les nuits s’allongent. Comme l’explique le Dr Rey, « la diminution de la luminosité entraîne une sécrétion accrue de mélatonine, hormone produite par l’épiphyse lorsque la nuit tombe ».

La mélatonine facilite l’endormissement. Elle commence à être libérée dès que le soleil se couche, ce qui explique que l’on ait envie de dormir plus tôt qu’en été. Même si la journée n’a pas été très fatigante, il n’est pas surprenant de ressentir une fatigue à 18 heures.

Le second phénomène est lié au froid. « Quand il fait froid, toute la nature se met en repos, car toute activité demande plus d’énergie », précise le président de l’Institut national du sommeil et de la vigilance (INSV). Même dans un appartement chauffé, l’extérieur plus froid augmente nos dépenses énergétiques.

Il est donc conseillé, si vous ressentez le besoin de dormir plus en hiver et que vous le pouvez, de céder à cette envie sans culpabiliser. Cela peut aussi contribuer à lutter contre la dépression saisonnière. Le manque de sommeil en hiver peut aggraver la fatigue et l’humeur. Une étude publiée en avril 2025 dans Sleep Advances indique que le temps de sommeil s’allonge en moyenne d’une vingtaine de minutes durant cette saison.

Une activité accrue en hiver ?

Pour le Dr Rey, la société fonctionne à l’envers. La pause annuelle a lieu en été avec les vacances scolaires, mais paradoxalement, une augmentation de l’activité économique et du travail est souvent observée en hiver. « L’hiver n’est pas la période idéale pour fonctionner à plein régime », explique-t-il.

Historiquement, cette hausse de travail était associée à l’été, notamment lors des récoltes. « À l’époque, les négociations sur l’école portaient sur les congés d’été, pour permettre aux enfants d’aider à la moisson dans les champs », développe-t-il. Aujourd’hui, cette logique semble inversée, avec une surcharge d’activités en hiver, alors même que notre corps aurait besoin de plus de repos.

Ce décalage peut expliquer pourquoi, après quelques semaines de vacances en juillet, on se sent plus en forme. La saison estivale pourrait jouer un rôle dans cette sensation de regain d’énergie.

Comment réduire la fatigue hivernale ?

Pour lutter contre la fatigue et le sentiment de léthargie en hiver, il est conseillé d’adopter quelques gestes simples dès le matin. Par exemple, prendre son petit-déjeuner dans un lieu bien éclairé. « Il est recommandé d’utiliser une lampe à lumière froide, blanche, pour limiter la sécrétion de mélatonine », indique le neurologue. Contrairement à la luminothérapie, une simple lampe d’éclairage peut suffire.

Il est également utile de bouger rapidement après le réveil. « Même 10 minutes d’activité pour se réchauffer avant de sortir à l’extérieur peuvent faire une différence », ajoute-t-il.

Si vous en avez la possibilité, faire une sieste peut aussi contribuer à combler vos besoins en sommeil. « Une pause de 10 minutes peut restaurer la vigilance, même sans dormir profondément. Se détendre ou somnoler quelques instants est bénéfique pour le reste de la journée », recommande le spécialiste.

Cancer : 80 % des patients ressentent des signes avant le diagnostic

0

Une majorité de patients présentent des signes avant leur diagnostic

Contrairement à l’idée que le cancer surgit soudainement et sans avertissement, la plupart des patients ont déjà montré des signes avant de connaître leur maladie. Selon le Dr Anchal Aggarwal, oncologue indienne forte de 16 ans d’expérience, environ 80 % des personnes atteintes de cancer ont ressenti des symptômes avant la détection officielle.

Ces signaux, souvent considérés comme bénins ou liés au stress, pourraient pourtant sauver des vies s’ils étaient mieux reconnus. Fatigue persistante, douleurs inexpliquées, toux chronique… Autant de manifestations quotidiennes qui mériteraient une attention plus grande.

Les symptômes précoces souvent sous-estimés

Une fatigue qui ne disparaît pas

La fatigue chronique est fréquemment considérée comme un simple épuisement lié à une vie chargée. Pourtant, lorsqu’elle s’installe durablement et ne s’améliore pas avec le repos, elle peut indiquer un problème plus sérieux. Elle peut révéler, par exemple, un cancer du sang comme la leucémie ou le lymphome.

Ce symptôme, souvent banalisé, doit alerter. Ignorer une fatigue persistante, c’est passer à côté d’un signe vital qui pourrait sauver une vie.

Des douleurs inhabituelles sans cause apparente

Les douleurs qui s’intensifient sans cause claire ou traumatisme doivent attirer l’attention. Qu’elles soient osseuses, abdominales ou pelviennes, elles peuvent signaler un cancer localisé, notamment dans les os ou les ovaires.

Souvent, ces douleurs sont attribuées à l’âge ou à des troubles digestifs, mais leur persistance et leur intensité croissante doivent conduire à consulter un médecin. Seul un diagnostic précoce peut permettre de confirmer ou d’écarter une atteinte organique grave.

Les changements cutanés qui passent inaperçus

La peau étant un miroir de notre santé, certains signes doivent alerter. Un grain de beauté qui évolue, une lésion qui ne cicatrise pas, une pigmentation modifiée ou un saignement peuvent être les premiers indices d’un mélanome ou d’un carcinome cutané.

Souvent négligés car ils ne provoquent pas de douleur, ces changements nécessitent un suivi dermatologique régulier. Une détection précoce permet une prise en charge rapide et efficace.

Pourquoi ces signes sont-ils si souvent ignorés ?

La peur du diagnostic

Pour beaucoup, reconnaître un symptôme inquiétant revient à accepter l’idée d’une maladie grave. La peur pousse à minimiser ou à ignorer ces signaux. Certains préfèrent croire à une fatigue passagère ou à un simple rhume plutôt qu’à une pathologie lourde, ce qui peut avoir des conséquences dramatiques en retardant la prise en charge.

Un rythme de vie trop chargé

Le quotidien moderne laisse peu de place à l’écoute de soi. Entre obligations professionnelles, familiales et sociales, les symptômes sont souvent noyés dans le tumulte. La difficulté à prendre un rendez-vous médical ou l’automédication contribuent aussi à cette négligence. Pourtant, chaque jour compte dans la lutte contre le cancer.

La désinformation et la banalisation des symptômes

Les réseaux sociaux, Internet et les échanges informels diffusent parfois des informations erronées ou incomplètes sur les signes du cancer. Cela peut conduire à banaliser des symptômes qui devraient être pris au sérieux.

Le Dr Aggarwal recommande de se référer à des sources médicales fiables et de consulter un professionnel en cas de doute. Même de petits changements peuvent révéler une pathologie grave si l’on y prête attention à temps.

Ménopause : comment éviter la prise de poids et rester en forme

0

La ménopause est une étape naturelle dans la vie des femmes, marquée par la fin des règles et des changements hormonaux importants. Parmi ces changements, la prise de poids est une préoccupation fréquente. Beaucoup de femmes constatent un gain de masse graisseuse, notamment au niveau de l’abdomen, ce qui peut impacter la santé et la qualité de vie. Heureusement, il existe des stratégies simples pour limiter cette prise de poids et préserver son bien-être.

Comprendre le lien entre ménopause et prise de poids

Les changements hormonaux et leur impact

La ménopause se caractérise par une baisse importante de la production d’œstrogènes. Cette diminution influence plusieurs fonctions de l’organisme :

  • Le métabolisme de base ralentit, ce qui réduit la quantité de calories brûlées.
  • La répartition des graisses change, avec une accumulation plus importante au niveau abdominal.
  • La masse musculaire diminue, ce qui ralentit également le métabolisme.

Ces modifications expliquent en partie pourquoi la prise de poids devient plus courante après la ménopause. Toutefois, il est possible de maîtriser ces effets avec des bonnes pratiques.

Les facteurs liés au mode de vie

Outre les changements hormonaux, certains comportements peuvent aggraver cette tendance :

  • Une alimentation déséquilibrée, riche en sucres rapides et en graisses saturées.
  • Le manque d’activité physique ou la sédentarité.
  • Le stress chronique, qui peut augmenter la production de cortisol, une hormone liée à la prise de poids abdominale.
  • Un sommeil insuffisant, perturbant la régulation de l’appétit.

Adopter un mode de vie sain est donc essentiel pour limiter ces effets.

Les stratégies pour éviter la prise de poids durant la ménopause

Adopter une alimentation équilibrée adaptée à la ménopause

Une alimentation saine est fondamentale pour contrôler le poids. Voici quelques conseils :

  • Privilégier les aliments riches en fibres : légumes, fruits, céréales complètes, qui rassasient et facilitent la digestion.
  • Consommer des protéines maigres : volailles, poissons, œufs, légumineuses, pour préserver la masse musculaire.
  • Réduire la consommation de sucres rapides et de graisses saturées : éviter sodas, pâtisseries et fast-foods.
  • Intégrer des sources de calcium et de vitamine D : produits laitiers, sardines, légumes verts, pour renforcer les os fragilisés après la ménopause.

Pratiquer une activité physique régulière

Le mouvement aide à contrôler le poids et à maintenir la tonicité musculaire :

  • Les activités d’endurance, comme la marche rapide, la natation ou le vélo, brûlent efficacement des calories.
  • Les exercices de renforcement musculaire, tels que la musculation ou le yoga, maintiennent ou augmentent la masse musculaire, ce qui accélère le métabolisme de repos.
  • Il est recommandé de pratiquer au moins 150 minutes d’activité modérée par semaine, réparties sur plusieurs séances.

Gérer le stress et favoriser un sommeil réparateur

Le stress chronique et le manque de sommeil peuvent perturber l’équilibre hormonal et favoriser la prise de poids, notamment au niveau abdominal. Pour y remédier :

  • Pratiquer des techniques de relaxation comme la méditation ou la respiration profonde.
  • Adopter une hygiène de sommeil rigoureuse : routines régulières, environnement calme, éviter les écrans avant de dormir.
  • Limiter la consommation de stimulants comme la caféine en fin de journée.

Considérer les compléments alimentaires et les traitements hormonaux

Dans certains cas, un professionnel de santé peut recommander des compléments ou traitements pour soutenir la santé :

  • Les phytoestrogènes, présents dans le soja ou le trèfle rouge, peuvent atténuer certains symptômes hormonaux.
  • Les compléments en vitamine D et calcium pour préserver la densité osseuse.
  • Les thérapies hormonales, sous surveillance médicale, pour équilibrer les hormones et limiter la prise de poids, mais qui ne conviennent pas à toutes.

Les erreurs à éviter pour ne pas prendre de poids à la ménopause

  • Se lancer dans des régimes restrictifs ou drastiques, qui peuvent entraîner des carences et une perte musculaire.
  • Sauter des repas, notamment le petit-déjeuner, ce qui peut augmenter la faim et conduire à une surconsommation plus tard.
  • Penser que la prise de poids est inévitable et se décourager face aux changements hormonaux.
  • Négliger l’écoute de son corps ou l’importance d’un suivi médical régulier.

Comment garder confiance et motivation face aux changements

Chaque femme vit la ménopause différemment. Il est possible d’adapter ses habitudes pour maintenir un poids stable et une bonne santé. Se faire accompagner, fixer des objectifs réalistes et célébrer chaque progrès sont essentiels pour rester motivée. La clé est la constance et le respect de son corps.

Anxiété : 20 % des adultes touchés, des causes encore mystérieuses

0

Plus de 20 % des adultes connaissent au moins une fois dans leur vie un trouble anxieux, selon l’Inserm. Les femmes sont deux fois plus touchées que les hommes. Ces troubles peuvent se présenter sous différentes formes, comme l’anxiété généralisée, l’anxiété sociale, l’agoraphobie ou le trouble panique. Les causes exactes de l’anxiété chez certains patients restent encore mal comprises.

Chez les personnes anxieuses, certaines zones du cerveau semblent être hyperactives. De plus, elles présentent souvent des niveaux de sérotonine plus faibles, ce qui influence la production de neurotransmetteurs. Des chercheurs de l’Université de Californie ont voulu analyser ces différences chimiques en réalisant une méta-analyse regroupant 25 études. Ils ont découvert que ces individus ont généralement moins de choline, un nutriment essentiel au fonctionnement du cerveau et des muscles. Leurs résultats ont été publiés dans la revue Molecular Psychiatry en septembre 2025.

Une baisse de 8 % de la choline

Les chercheurs ont mesuré les niveaux de plusieurs molécules importantes pour le cerveau, comme la choline, la créatine ou le GABA. Seule la choline variait significativement entre les personnes souffrant d’anxiété et celles sans trouble. En moyenne, le niveau de choline était inférieur de 8 % chez les personnes anxieuses. Selon le Dr Jason Smucny, ce serait la première méta-analyse à révéler un tel schéma chimique chez ces patients. Il ajoute que ces résultats laissent penser qu’une supplémentation en choline pourrait aider à rétablir l’équilibre chimique du cerveau et améliorer leur état.

Adapter son alimentation pour augmenter la choline

Selon l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation (Anses), la choline joue un rôle crucial dans la production de neurotransmetteurs, qui sont les messagers entre neurones et cellules. Parmi ces molécules, la dopamine et la sérotonine sont essentielles pour réguler l’humeur et le plaisir. Un déséquilibre de ces neurotransmetteurs peut entraîner des troubles psychiatriques. Pour maintenir des niveaux satisfaisants, l’organisme doit recevoir suffisamment de choline via l’alimentation.

Le corps en synthétise une quantité, mais pas assez. Il est donc important d’en consommer chaque jour. L’Anses recommande 400 mg de choline par jour pour les adultes. On en trouve principalement dans les œufs, le foie de bœuf, mais aussi dans des sources végétales comme le soja, le chou-fleur ou le brocoli. La choline est aussi présente dans les aliments riches en oméga-3, comme le saumon, qui favorisent également la santé mentale. Certaines études suggèrent que la supplémentation en oméga-3 pourrait aider à lutter contre la dépression. Cependant, le professeur Richard Maddock précise qu’il est encore trop tôt pour confirmer si augmenter la consommation de choline permettrait de réduire l’anxiété. Des recherches complémentaires sont nécessaires.

Ménopause : la cure miracle de 5 jours pour soulager et se ressourcer

0

Une mini-cure ménopause pour mieux vivre cette étape

En 2025, la ménopause devient un enjeu de santé important. Beaucoup de femmes cherchent des solutions pour atténuer les symptômes souvent difficiles à supporter, comme la prise de poids, la sécheresse vaginale ou les troubles du sommeil. Pour les accompagner, les thermes Valvital à Aix-les-Bains proposent une cure de 5 jours spécialement conçue pour les femmes ménopausées.

Une approche bien-être et ressourcement

Cette cure, lancée en 2024, rassemble un petit groupe de femmes autour d’ateliers nutritionnels, d’activités physiques douces et de soins thermaux. Le but est de libérer le corps et l’esprit du stress et des inconforts liés à la ménopause. Cela permet également d’ouvrir le dialogue et de briser le tabou qui entoure souvent cette étape de la vie.

Un moment privilégié pour soi

Relaxation et reconnexion

Les participantes profitent d’eau chaude, de séances de Pilates et de conseils d’expertes. Selon Aziza Bouaoune, responsable des Programmes Complémentaires, cette mini-cure offre un moment de détente loin de la vie quotidienne. Elle précise que cette formule courte attire celles qui ne souhaitent pas suivre un programme de trois semaines en cure thermale traditionnelle. La professionnelle souligne aussi l’importance de parler de la ménopause, un sujet de plus en plus abordé, notamment sur les réseaux sociaux.

Un programme holistique et personnalisé

Les organisateurs adoptent une approche globale du bien-être. Des groupes de huit femmes maximum sont formés pour favoriser la convivialité et le partage. Avant le début de la cure, un bilan est proposé pour mieux connaître les attentes et les besoins de chaque participante. Un autre bilan est réalisé en fin de semaine pour mesurer les progrès.

Une démarche complète

Chaque après-midi, un atelier est proposé. Parmi eux, celui sur l’alimentation, animé par une pharmacologue spécialisée en micronutrition, est très apprécié. Les participantes y trouvent des conseils pour mieux gérer leur poids et leur stress. D’autres ateliers abordent le renforcement musculaire, la méditation pour apaiser les émotions ou encore la respiration pour mieux se reconnecter à leur corps en changement. Ces activités visent à relâcher la pression et à favoriser une meilleure acceptation de soi.

Les ateliers de la mini-cure

  • Jour 1 : Bilan éducatif de début de séjour
  • Jour 2 : Auto-massage (Do In)
  • Jour 3 : Atelier alimentation + renforcement musculaire
  • Jour 4 : Méditation guidée
  • Jour 5 : Pilates + bilan final

Des soins et moments de bien-être

  • Massage drainant circulatoire de 30 minutes
  • Accès à l’espace Aqua-détente, avec 5 entrées offertes

Une formule adaptée et efficace

Malgré sa courte durée, cette semaine intense est perçue comme un bon compromis. Aziza Bouaoune explique que ces femmes, souvent très occupées, apprécient de pouvoir prendre du temps pour elles. Les retours sont positifs, car une semaine suffit pour faire une pause, se recentrer et prendre soin de soi.

Les prochaines sessions à venir

Les thermes d’Aix-les-Bains proposent trois sessions chaque année : en avril, mai et novembre. Pour 2026, les dates sont fixées du 6 au 10 avril, du 11 au 15 mai, et du 2 au 6 novembre. D’autres mini-cures sont aussi disponibles, traitant des problématiques comme le rhumatisme, la phlébologie ou encore la silhouette.

Plus d’informations et réservations sont disponibles sur le site des thermes : www.thermes-aixlesbains.com/cures/

Lavez-vous les mains assez souvent pour rester en bonne santé

0

Fréquence recommandée pour se laver les mains

Selon un article publié par une médecin généraliste, Julie Giorgetta, en novembre 2025, il est essentiel de maintenir une bonne hygiène des mains pour lutter contre la propagation des virus. La société de santé publique, Santé Publique France, rappelle que les gestes barrières ont été trop vite oubliés, ce qui favorise la diffusion des infections.

En cette fin d’année 2025, les virus tels que la grippe, le Covid, la bronchiolite ou encore la gastro-entérite circulent activement. La campagne nationale insiste donc sur trois gestes clés : porter un masque dès l’apparition des premiers symptômes, aérer régulièrement les pièces et, surtout, se laver souvent et correctement les mains.

Les mains, le principal vecteur de contamination

Les mains sont responsables de 80 % des transmissions microbiennes. Elles peuvent transmettre des microbes par contact direct ou en touchant des surfaces contaminées. Ensuite, en portant la main aux yeux, au nez ou à la bouche, le virus peut pénétrer dans l’organisme.

Tout au long de la journée, nos mains entrent en contact avec de nombreux objets potentiellement infectés. La question se pose alors : à quelle fréquence faut-il se laver les mains pour éliminer les microbes ?

Les conseils pour un lavage efficace

Le Dr Sylvain Bouquet, médecin généraliste, explique qu’il s’agit surtout de faire preuve de bon sens. Il recommande de se laver les mains chaque fois que l’on a été en contact avec une personne ou un objet potentiellement contaminé. Cela inclut, par exemple, en arrivant au bureau, en rentrant chez soi, après avoir utilisé les transports en commun, touché des portes ou des boutons d’ascenseur, ou encore après s’être mouché ou avoir toussé.

Il insiste aussi sur l’importance de se laver les mains après être allé aux toilettes, même si cela peut sembler évident. Le lavage doit durer au moins 30 secondes, en frottant bien toutes les surfaces, y compris entre les doigts et sous les ongles.

Les bonnes pratiques pour un lavage optimal

Pour être efficace, il faut utiliser de l’eau et du savon. Il faut frotter les paumes, le dos des mains, l’espace entre les doigts et sous les ongles. Il est conseillé de retirer ses bagues, car le dessous peut être un nid à microbes, rappelle le médecin.

Une technique correcte est essentielle. Se laver les mains de manière régulière et minutieuse est un geste simple mais puissant pour réduire la transmission des maladies. Adopter cette habitude est d’autant plus crucial dans le contexte actuel, où la circulation des virus reste élevée.

Stress : découvrez ce qui le provoque et comment le gérer efficacement

0

Comprendre le stress : qu’est-ce que c’est ?

Le stress est une réaction physiologique et psychologique face à une situation perçue comme menaçante ou exigeante. Il mobilise notre organisme pour faire face à un défi, qu’il soit imminent ou simplement anticipé. Le stress peut être ponctuel, appelé « aigu », ou durer dans le temps, ce qui le rend « chronique ».

Définition du stress

Lorsque nous sommes confrontés à une situation stressante, notre cerveau active le système nerveux sympathique. Cela provoque la sécrétion d’hormones comme l’adrénaline et le cortisol. Ces hormones préparent notre corps à réagir rapidement, en augmentant la fréquence cardiaque, la pression artérielle et en libérant de l’énergie pour faire face à la menace.

Une réponse adaptée et temporaire est souvent bénéfique, car elle permet de réagir efficacement. Cependant, un stress prolongé ou mal géré peut avoir des effets négatifs sur la santé.

Les mécanismes physiologiques du stress

Face à une situation stressante, le cerveau active le système nerveux sympathique, entraînant la libération d’hormones telles que l’adrénaline et le cortisol. Ces substances préparent le corps à une réaction immédiate, en accélérant le rythme cardiaque, en augmentant la pression artérielle et en mobilisant de l’énergie.

Si cette réaction est adaptée, elle peut être utile. En revanche, un stress chronique peut avoir des effets délétères sur la santé.

Les effets du stress sur le corps humain

Impacts immédiats

  • Augmentation du rythme cardiaque et de la pression artérielle
  • Libération d’adrénaline et de cortisol
  • Diminution de la digestion et de la réponse immunitaire
  • Réaction de « combat ou fuite »

Conséquences à long terme

Lorsque le stress devient chronique, il peut engendrer plusieurs problèmes de santé :

  • Système cardiovasculaire : risque accru d’hypertension, d’athérosclérose, voire d’accidents comme l’infarctus ou l’AVC.
  • Système immunitaire : affaiblissement des défenses, plus grande vulnérabilité aux infections et maladies auto-immunes.
  • Système digestif : troubles digestifs, gastrites, syndromes du côlon irritable.
  • Système nerveux : troubles du sommeil, anxiété, dépression.
  • Santé mentale : fatigue mentale, perte de concentration, troubles de l’humeur.

Le stress peut-il provoquer des maladies ?

Les maladies directement liées au stress

Il est important de préciser que le stress n’est pas toujours la cause unique de certaines maladies. Cependant, il peut fortement contribuer à leur apparition ou à leur aggravation.

Voici quelques exemples de maladies dont le lien avec le stress est bien connu :

  • Maladies cardiovasculaires : Le stress chronique augmente le risque d’hypertension, d’athérosclérose, et peut favoriser les infarctus ou AVC.
  • Troubles psychologiques : Le stress prolongé peut conduire à la dépression, à l’anxiété ou à des troubles du sommeil.
  • Maladies auto-immunes : Certaines études suggèrent que le stress peut favoriser des maladies comme la sclérose en plaques ou la maladie de Crohn.

Les maladies où le stress agit en facteur aggravant

Au-delà des causes directes, le stress peut aggraver d’autres pathologies :

  • Diabète : Il peut augmenter la glycémie en libérant des hormones anti-insuline.
  • Asthme : Le stress peut déclencher ou intensifier des crises.
  • Maladies dermatologiques : Eczéma ou psoriasis peuvent s’aggraver en période de stress.

Comment le stress influence-t-il l’apparition des maladies ?

Les mécanismes biologiques

Le stress chronique entraîne une production prolongée de cortisol, une hormone qui, en excès, peut perturber le fonctionnement de plusieurs organes. Par exemple, un taux élevé de cortisol favorise l’accumulation de graisse abdominale, augmentant le risque cardiovasculaire.

De plus, le cortisol affaiblit la réponse immunitaire, rendant l’organisme plus vulnérable aux infections et ralentissant la réparation des tissus.

Les comportements liés au stress

Le stress influence aussi nos habitudes, qui peuvent avoir un impact sur la santé :

  • Manger de façon excessive ou, au contraire, perdre l’appétit
  • Consommer davantage d’alcool ou de tabac
  • Adopter une vie sédentaire ou réduire l’activité physique
  • Alterner entre insomnies et hypersomnie

Ces comportements peuvent augmenter le risque de maladies ou compliquer leur traitement.

Comment gérer efficacement le stress pour préserver sa santé ?

Adopter des stratégies de gestion du stress

  • Pratiquer la relaxation : techniques de respiration, méditation, yoga ou sophrologie.
  • Faire de l’exercice régulièrement : une activité modérée aide à libérer des endorphines et à réduire le cortisol.
  • Maintenir une vie sociale active : partager ses préoccupations avec ses proches ou un professionnel peut soulager.
  • Organiser son temps : planifier, déléguer et prioriser pour éviter la surcharge.

Consulter un professionnel si nécessaire

En cas de stress chronique ou de troubles liés, il est conseillé de consulter un médecin ou un psychologue. Un accompagnement adapté peut prévenir l’apparition de maladies ou améliorer la gestion du stress.

Douleurs Au dos : comment soulager 95 % des Français en souffrance

0

Près de 95 % des adultes en France souffrent de douleurs dorsales, selon une étude de l’Anses. Ces douleurs, souvent très inconfortables, touchent principalement la région lombaire, située en bas du dos. La façon dont on s’assoit, marche ou gère son stress influence directement cette zone.

Selon la Mayo Clinic, les douleurs dorsales sont la première cause d’invalidité dans le monde. Les traitements efficaces restent limités, mais certaines mesures peuvent aider à prévenir ou soulager les crises, notamment chez les moins de 60 ans.

Le neurochirurgien spécialiste de la colonne vertébrale, le Dr Baxter, partage ses conseils pour éviter ces douleurs au quotidien. À 45 ans, il applique lui-même ces recommandations.

Boire 3 à 4 litres d’eau par jour

Le Dr Baxter insiste sur l’importance de l’hydratation. « Bien s’hydrater est essentiel pour la santé de la colonne vertébrale. Cela maintient la souplesse des disques et limite leur usure », explique-t-il. Une étude dans le Journal of Medical Sciences montre que le noyau des disques intervertébraux contient en moyenne 73,5 % d’eau. Avec l’âge ou la dégénérescence, cette quantité diminue, fragilisant les disques. Boire suffisamment d’eau permet de garder ces disques souples et capables d’absorber les chocs. Le Dr Baxter recommande de boire entre 3 et 4 litres par jour.

Faire le plein de vitamine D

À l’approche de l’hiver, on reste plus souvent à l’intérieur. Pourtant, le Dr Baxter rappelle que la lumière du soleil est cruciale pour la production de vitamine D. Celle-ci est indispensable à la santé des os. En période sombre, il conseille la prise d’un complément alimentaire. La vitamine D favorise le mouvement, lubrifie les articulations, et libère des endorphines, ce qui réduit la douleur et améliore l’humeur.

Un petit-déjeuner équilibré et un déjeuner anti-inflammatoire

Le lien entre alimentation et douleurs dorsales est direct, selon le médecin. « La santé de l’intestin et celle de la colonne vertébrale communiquent », rappelle-t-il. Une bonne santé intestinale protège la colonne. Il recommande un petit-déjeuner avec des baies, des noix, deux cuillères de kéfir et un peu de cacao. Pour le déjeuner, privilégiez un repas anti-inflammatoire, comme dans le régime méditerranéen, riche en céréales complètes, légumes et poisson. Ce type d’alimentation réduit l’inflammation chronique et préserve la masse musculaire. En collation, il suggère des œufs durs pour les protéines et du kimchi pour la santé intestinale.

Faire de la musculation de résistance

Pratiquer régulièrement des exercices de musculation de résistance est également conseillé. Le Dr Baxter recommande des mouvements comme les squats, les fentes, le gainage ou le soulevé de terre léger. Ces exercices renforcent les muscles du dos et du tronc, ce qui aide à soutenir la colonne vertébrale. Il pratique lui-même cette routine cinq fois par semaine et constate une amélioration de ses douleurs dorsales.

« Correctement exécutée, la musculation renforce les muscles profonds, protège la colonne, et améliore la posture. Il n’est jamais trop tard pour commencer », affirme-t-il. Cependant, il met en garde contre le surmenage ou le port de charges trop lourdes, qui peuvent aggraver les douleurs, notamment chez les jeunes femmes.

Saunas et massages pour se détendre

Le stress peut aggraver les douleurs dorsales en perturbant la réparation cellulaire et le sommeil. Le Dr Baxter recommande de se détendre avec un sauna ou un bain froid quelques fois par semaine. Il pratique aussi un massage mensuel pour favoriser la relaxation. Ces thérapies manuelles peuvent soulager temporairement les raideurs dorsales.

Prendre une douche froide avant le coucher

Une douche froide avant de dormir aide à réduire l’inflammation et à mieux dormir. L’eau froide provoque une vasoconstriction, ce qui diminue les micro-inflammations dans les muscles et tissus autour de la colonne. Elle détend aussi le corps, moins tendu, ce qui réduit la pression sur les disques intervertébraux. Le Dr Baxter recommande de prendre une douche fraîche 20 minutes avant de se coucher pour favoriser l’endormissement.

Bien dormir

Le sommeil est crucial pour la réparation du corps. « Un bon sommeil aide à réguler la douleur chronique », souligne le médecin. Il conseille d’investir dans un matelas adapté et d’expérimenter différentes positions de sommeil. Selon lui, un matelas très ferme sans oreiller lui-même évite les douleurs cervicales. Une bonne qualité de sommeil est essentielle pour la santé de la colonne vertébrale.

Les signes précoces du vieillissement cutané à ne pas ignorer

0

Les premiers signes du vieillissement cutané

Les rides commencent souvent à apparaître discrètement, notamment aux coins des yeux ou sur le front. Avec le temps, elles deviennent plus visibles. Leur apparition peut débuter dès l’âge de 25 ans, en raison du ralentissement naturel de la production de collagène, d’élastine et d’acide hyaluronique. À cela s’ajoutent des agressions quotidiennes comme le froid, l’air sec, les douches chaudes, le stress ou l’exposition aux UV. Ces facteurs endommagent la barrière cutanée et accélèrent le dessèchement de la peau. En conséquence, le teint devient terne, la peau perd en souplesse, et les ridules se marquent davantage.

Un soin de nuit pour stimuler le renouvellement cellulaire

Pour lutter contre ces signes de l’âge, certains soins privilégient le traitement durant la nuit, lorsque la peau se régénère naturellement. La crème Nivea Q10 s’appuie sur un ingrédient connu des spécialistes, mais souvent sous-estimé par le grand public : le Q10, ou coenzyme Q10. Présent naturellement dans l’organisme, sa production diminue dès la trentaine, ce qui fragilise la structure de la peau. Ce composé est reconnu pour favoriser la production d’énergie dans les cellules de la peau et stimuler le processus naturel de renouvellement cutané.

En association avec de la vitamine C et un extrait végétal énergisant, cette crème promet de redonner de l’éclat aux peaux fatiguées dès le réveil. Elle vise à hydrater en profondeur, uniformiser le teint et stimuler la production de collagène. La marque indique que la peau terne et fatiguée retrouve un aspect reposé, avec un teint plus lumineux au matin. Nivea, connue pour sa fameuse crème bleue en pot métallique, continue d’étoffer ses gammes avec des formules plus techniques, tout en restant accessibles.

Des résultats rapides selon les utilisatrices

Testée auprès de 107 femmes, cette crème de nuit anti-âge montre des résultats rapides. En seulement 24 heures, 90 % des participantes constatent une amélioration de l’hydratation. Selon leur auto-évaluation, ce soin offre une hydratation intense. Après deux semaines d’utilisation, les effets se renforcent. Près de 89 % remarquent une peau plus lisse et plus douce.

Une journaliste ayant interrompu son rituel habituel a également testé la crème pendant 7 nuits consécutives. Elle a observé une peau plus douce au réveil, un teint moins terne, et une meilleure tenue du maquillage durant la journée. Si les rides profondes ne disparaissent pas, la texture de la peau semble globalement améliorée. Cependant, elle précise que la crème offre surtout un bon équilibre entre hydratation et éclat, sans provoquer de transformation spectaculaire.

Composition et prix de ce soin anti-rides

Vendue à un prix abordable d’environ 15,99 €, cette crème de nuit contient des ingrédients couramment utilisés dans les produits haut de gamme : Q10 pur, vitamine C, vitamine E, glycérine, beurres végétaux et huiles nourrissantes. Son objectif est double : stimuler la régénération de la peau pendant le sommeil et renforcer la barrière d’hydratation naturelle.

Selon la marque, ce soin favorise le renouvellement cellulaire et stimule la production de collagène, contribuant ainsi à réduire l’apparence des rides et ridules. Adaptée à la plupart des types de peaux, il est toutefois conseillé de faire un test en cas de peau très sensible ou sujette aux imperfections. Sa texture légère, non grasse et non collante le rend agréable à utiliser, même pour dormir.

Attention aux bonbons acidulés : un brossage immédiat peut nuire à vos dents

0

Les dentistes mettent en garde contre le brossage après avoir mangé des bonbons acidulés

Après Halloween, de nombreux enfants ont rapporté leurs bonbons, ce qui peut être source de problèmes pour la santé dentaire. Si tous les types de sucreries peuvent endommager les dents, certaines sont particulièrement dangereuses. Les spécialistes sont formels : les bonbons acidulés, qui piquent, pétillent ou laissent une sensation “aigre-douce”, sont à éviter.

Selon la chirurgienne-dentiste Catherine Mojaïski, sur BFMTV, « ce qui détruit l’émail des dents, c’est l’acide, que ce soit directement quand on consomme des aliments acides, ou le sucre qui, sous l’effet des bactéries, se transforme en acide ».

Un cocktail dévastateur pour l’émail

Les bonbons acidulés contiennent souvent des acides citrique, malique ou tartrique. Leur consommation provoque une chute rapide du pH dans la bouche. La salive devient alors plus acide, et la bouche commence à puiser dans les minéraux des dents, comme le calcium et le potassium, pour tenter de rétablir l’équilibre. Ce phénomène, appelé déminéralisation, fragilise l’émail et favorise le développement des caries.

La professeure Nadine Tassabehji, de la Tufts University School of Dental Medicine, s’inquiète particulièrement des confiseries collantes. Ces bonbons adhèrent aux dents plus longtemps, prolongeant l’exposition aux acides. Elle souligne qu’« ce mélange collant, acide et sucré est une véritable recette pour les problèmes dentaires ».

Le geste à éviter face aux attaques acides

Face à ces effets, certains pensent qu’il faut se brosser immédiatement après avoir mangé des bonbons. Pourtant, c’est l’un des pires réflexes à adopter, préviennent les dentistes.

La dentiste et créatrice de contenu @tadentistepreferee, sur Instagram, explique que « si on brosse tout de suite, on risque de répandre ces acides et d’endommager encore plus l’émail ». En effet, l’acide ramolli la surface de la dent, et le brossage peut alors agir comme un abrasif, aggravant l’érosion.

Le bon conseil ? Rincer la bouche avec de l’eau pour éliminer un maximum d’acidité ou de sucre, puis attendre au moins 30 minutes avant de se brosser les dents. Cela permet à la salive de neutraliser l’acidité et à l’émail de se renforcer à nouveau.

Pendant ce temps, il est conseillé de mâcher un chewing-gum sans sucre pour stimuler la production de salive, ou de boire un peu de lait, qui aide à neutraliser les acides grâce à son calcium, précise la professeure Tassabehji.

Quelques règles pour préserver ses dents

Il n’est pas nécessaire d’abandonner totalement les bonbons. L’essentiel est de limiter leur consommation et de respecter quelques règles simples. Par exemple, manger des bonbons à la fin du repas, plutôt qu’entre les repas, car la salive y est plus abondante et protège mieux les dents.

Il est aussi recommandé d’éviter les bonbons acides et collants, et d’utiliser un dentifrice fluoré. Le fluor contribue à reminéraliser l’émail et à le rendre plus résistant.

Enfin, il faut rappeler que malgré leur goût plaisant et leurs bulles piquantes, les bonbons acidulés ne sont pas sans risques. La professeure Tassabehji souligne que « les aliments fermentés sont bons pour notre microbiote intestinal, mais pas les bonbons acidulés. Ce ne sont que du sucre et de l’eau, et le goût acide provient d’additifs ou d’arômes ».

Popular Posts

My Favorites

Durant votre sommeil, votre matelas libère des substances cancérigènes

D’après une étude, dormir sur son matelas peut s’avérer dangereux. Les substances toxiques inhalées ...