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Clusters en Creuse : le variant brésilien ou sud-africain en cause

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Deux clusters dans des Ehpad de la Creuse ont été identifiés. Deux résidents, très âgés, pourtant vaccinés, ont été contaminés par le variant brésilien ou sud-africain. Le département de la Creuse, peu peuplé,  est actuellement le plus touché par l’épidémie. Explications.

L’exception des variants minoritaires

Dans la Creuse, le taux d’incidence de patients contaminés pour 100.000 habitants est en hausse de +141,7% sur une semaine, selon l’ARS Nouvelle-Aquitaine. La faute aux deux variants brésilien et sud-africain particulièrement virulents. En effet, ils représentent 33,1%

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Clusters en Creuse : le variant brésilien ou sud-africain en cause

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Deux clusters dans des Ehpad de la Creuse ont été identifiés. Deux résidents, très âgés, pourtant vaccinés, ont été contaminés par le variant brésilien ou sud-africain. Le département de la Creuse, peu peuplé,  est actuellement le plus touché par l’épidémie. Explications.

L’exception des variants minoritaires

Dans la Creuse, le taux d’incidence de patients contaminés pour 100.000 habitants est en hausse de +141,7% sur une semaine, selon l’ARS Nouvelle-Aquitaine. La faute aux deux variants brésilien et sud-africain particulièrement virulents. En effet, ils représentent 33,1%

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Clusters en Creuse : le variant brésilien ou sud-africain en cause

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Deux clusters dans des Ehpad de la Creuse ont été identifiés. Deux résidents, très âgés, pourtant vaccinés, ont été contaminés par le variant brésilien ou sud-africain. Le département de la Creuse, peu peuplé,  est actuellement le plus touché par l’épidémie. Explications.

L’exception des variants minoritaires

Dans la Creuse, le taux d’incidence de patients contaminés pour 100.000 habitants est en hausse de +141,7% sur une semaine, selon l’ARS Nouvelle-Aquitaine. La faute aux deux variants brésilien et sud-africain particulièrement virulents. En effet, ils représentent 33,1%

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Vaccin de Johnson & Johnson : premières injections samedi

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Le vaccin Jansen de Johnson & Johnson sera administré dès samedi 24 avril en France, a confirmé Gabriel Attal, porte-parole du gouvernement, mercredi 21 avril. Qui peut recevoir ce vaccin ? Où sera-t-il administré ? On fait le point.

1.Réservés aux plus de 55 ans

Le vaccin Jansen de Johnson & Johnson est seulement administré aux personnes de plus de 55 ans. C’est une mesure de précaution car les huit cas de thrombose rapportés aux États-Unis au début de la vaccination ont été observés chez des femmes de moins de 50 ans. Chez le médecin traitant ou le pharmacien

2.Où le vaccin

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Sommeil : les “petits dormeurs” de 50 ans ont plus de risque de démence

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Selon une récente étude publiée mardi 20 avril,les petits dormeurs de plus de 50 ans ont le risque de développer une démence 20 à 40 % plus élevé que le reste de la population. Qu’entend-on par “petit dormeur” ? Quelles sont les maladies regroupées sous le terme de démence ?

Quel type de  démence ?

Les chercheurs de l’Inserm et d’Université de Paris ont analysé les données de 8 000 britanniques suivis pendant 25 ans. Un travail mené en collaboration avec University College London. Leurs résultats viennent d’être

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«L’épidémie recule deux fois moins vite qu’à l’automne», déclare Gabriel Attal

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Mercredi 21 avril, à l’issue du Conseil des ministres, le porte-parole du gouvernement a apporté des éclairages sur la situation épidémique en France. Il a aussi évoqué le prochain déconfinement.  Ce jeudi 22 avril, le gouvernement tiendra une conférence de presse pour confirmer le calendrier national ou territorial.

L’épidémie pas encore maîtrisée

La déclaration de Gabriel Attal, mercredi après-midi fut mi-figue, mi-raisin. D’un côté, Les premiers effets des restrictions «sont perceptibles, le nombre de nouveaux cas détectés diminue». Le nombre de patients hospitalisés sur une semaine

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Gynécologie : y-a-t-il un âge où ça ne sert plus à rien de consulter ?

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Avec la fin de la fertilité, certaines femmes estiment ne plus avoir besoin de consulter un gynécologue. À tort, car de nombreux examens préventifs doivent se poursuivre, en particulier parce que les risques de développer un cancer augmentent après la ménopause.

Avec l’âge, les problèmes gynécologiques changent, mais restent réels. Après la ménopause les risques de cancers du sein, du col de l’utérus, de l’ovaire et de l’endomètre augmentent, impliquant des consultations gynécologiques et des examens préventifs régulièrement. À cela s’ajoutent les risques de développer d’autres pathologies plus ou moins aiguës, mais parfois incommodantes.

Ne pas relâcher le rythme des examens gynécologiques

« Il est recommandé de continuer à faire un bilan chez le gynécologue tous les deux à trois ans, et même après 65 ans », insiste la Dr Elizabeth Paganelli, gynécologue médicale. Celui-ci permet entre autres d’effectuer un prélèvement cervico-vaginal pour le dépistage du cancer du col de l’utérus, de réaliser une échographie de contrôle pour vérifier l’état de l’endomètre, visualiser les organes et faire une palpation des seins.

« Une mammographie doit également…

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Sommeil : combien d’heures devez-vous dormir pour éviter la démence ?

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Une étude britannique publiée ce mardi 20 avril révèle que les personnes dormant six heures ou moins par nuit avaient un risque de démence accru de 20 à 40% à l’âge de 50 ou 60 ans.

Dormir suffisamment est essentiel à votre santé. Une étude britannique publiée ce mardi 20 avril vient une nouvelle fois le confirmer. Les chercheurs de l’Inserm et de l’Université de Paris, en collaboration avec l’University College London, révèlent que dormir six heures ou moins par nuit est associé à un risque accru de démence chez les personnes entre 50 et 70 ans. Les près de 8 000 personnes ayant été suivis pendant plus de 25 ans pour cette étude ont permis de découvrir que le risque de démence est plus élevé de 20 à 40% chez les personnes dont la durée du sommeil est inférieure ou égale à six heures par nuit à l’âge de 50 ou 60 ans, par rapport à ceux qui aveient des nuits dites « normales » d’environ 7 heures. Il a également été observé un risque accru de démence de 30% chez les personnes âgées de 50 à 70 ans présentant systématiquement une durée de sommeil courte, indépendamment de leurs éventuels problèmes de santé…

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Recherche sur les antibiotiques : où est l’innovation ?

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L’OMS s’inquiète d’une recherche qui stagne dans les nouveaux traitements antibiotiques. Une recherche qui manque clairement d’innovation pour affronter la résistance accrue des bactéries qui s’adaptent et rendent les antibiotiques moins efficaces.

82% de dérivés de traitements déjà existants

43 antibiotiques en cours de développement. Aucun «ne résout suffisamment le problème de la résistance aux médicaments chez les bactéries les plus dangereuses du monde», s’inquiète l’Organisation mondiale de la santé (OMS) dans un rapport annuel publié le 15 avril. De plus, les traitements en

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Vaccination : pourquoi les enseignants et pas les commerçants ?

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Lors de son interview au journal le Télégramme, Olivier Véran a fait un point sur la campagne de vaccination en cours. Il a expliqué pourquoi les enseignants et les forces de sécurité de plus de 55 ans sont prioritaires à la vaccination alors que les commerçants et les chauffeurs de taxi ne le sont pas.

Avec quel public travaillez-vous ?

Depuis dimanche 18 avril, les enseignants de plus de 55 ans sans comorbidité peuvent se faire vacciner. Idem pour les forces de l’ordre. D’autres professions exposées au public ne comprennent pas pourquoi leur profil ne serait pas prioritaire. Olivier

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