Santé

Home Santé Page 863
Liste d'articles sur la saté

Vacances à la mer : attention aux piqûres de méduse et de vive

0

Si se protéger du soleil est devenu un réflexe lorsque l’on arrive sur la plage, il faut savoir qu’un séjour à la mer présente d’autres dangers liés à la faune marine. Comment prévenir notamment les piqûres de vive et soigner les piqûres de méduse ?

Piqûre de vive : les réflexes à avoir

Une vive est un poisson que l’on trouve notamment dans l’océan Atlantique et la mer Méditerranée et qui possède des épines venimeuses, sur la dorsale et les operculaires. Sa piqûre, qui est particulièrement douloureuse, peut par ailleurs favoriser la survenue d’une infection. Par conséquent, il est vivement recommandé d’enfiler des chaussures en plastique lorsque l’on décide d’aller se baigner, ce poisson se cachant surtout dans le sable des eaux peu profondes. Si l’on est victime d’une piqûre de vive, il est conseillé de laver la zone touchée à l’eau et au savon, de la désinfecter et de l’approcher d’une source de chaleur pour détruire les protéines du venin. Il est également recommandé de consulter un médecin, le cas échéant.


Méduse : les remèdes aux piqûres

Les méduses sont des animaux marins au corps mou et à la forme caractéristique, qui sont pour la plupart inoffensifs pour l’homme. Toutefois, leur caractère…

  Lire…

Piqûre de guêpe : que faire en cas d’allergie ?

0

Si la piqûre de guêpe n’entraîne pas de véritables désagréments chez la plupart des gens, les allergiques au venin d’hyménoptère risquent leur vie s’ils ne sont pas pris en charge rapidement. Alors, que faire en cas de piqûre de guêpe ?

Piqûre de guêpe : que faire ?

Une guêpe est un insecte hyménoptère dont il existe différentes espèces, au même titre que l’abeille et la fourmi. Lorsqu’une guêpe pique un être humain, on peut dire qu’il s’agit d’un mécanisme de défense, pour elle-même comme pour le nid. Contrairement à l’abeille, la guêpe possède un dard « fixe ». De ce fait, elle peut piquer l’homme plusieurs fois sans mourir. En cas de piqûre, on conseille généralement de laver la zone concernée à l’eau et au savon, puis de la désinfecter, au vinaigre blanc le cas échéant. On peut également acheter un Aspivenin en pharmacie ou approcher la piqûre d’une source de chaleur pour détruire le venin.


Piqûre de guêpe et allergie : quels réflexes adopter ?

Les piqûres de guêpes peuvent entraîner une réaction locale, toxique ou allergique. Lorsqu’une personne touchée se sait allergique au venin d’hyménoptère, il lui est vivement recommandé de se rendre aux urgences. De même,…

  Lire…

Zona interne : est-il contagieux ?

0

Dans la forme classique du zona, le dos, le ventre et le côté du torse se couvrent de vésicules : c’est le zona intercostal. Il existe aussi des cas très rares d’herpès sine zoster (zona sans éruption cutanée). Ce zona n’est pas contagieux. En pratique, aucun zona ne l’est d’ailleurs vraiment, même si certains d’entre eux peuvent effectivement transmettre un virus…

Pourquoi le zona interne n’est-il pas contagieux ?

Un zona interne provoque des douleurs semblables au zona classique. Généralement très vives, elles se répandent le long d’un nerf. Côtes, cou, fesses, dos : le zona peut entraîner des douleurs dans diverses zones du corps. Par contre, le zona interne ne provoque ni rougeurs cutanées ni formation de vésicules. Or, c’est par le biais des vésicules ou, dans une bien moindre mesure, des croûtes que peut se transmettre le virus… Être au contact d’une personne atteinte de zona interne ne présente donc pas de risque de contagion.


Il n’existe pas vraiment de zona contagieux…

Certes, dans un zona classique, les vésicules peuvent transmettre un virus. Pourtant, il serait faux de dire que le zona est contagieux. Pourquoi ? Tout simplement parce que le zona est une complication de la varicelle, due à la persistance et au réveil de ce virus dans l’organisme. C’est lui qui se trouve dans les vésicules du…

  Lire…

Bouche sèche : un signe d’infection ?

0

Une bouche sèche peut être le symptôme d’une infection (maladie de la bouche), mais elle peut avoir bien d’autres causes possibles. Même si beaucoup d’entre elles sont bénignes, il est recommandé de consulter en cas de bouche sèche chronique.

Bouche sèche : quelles infections possibles ?

Certaines maladies de la bouche, en particulier des mycoses sans gravité (candidoses buccales), peuvent donner une impression de bouche sèche. D’autres symptômes sont souvent présents : langue douloureuse, goût métallique, enduit blanc sur la langue et l’intérieur des joues. Plus rarement, une bouche sèche n’est pas liée à une infection de la bouche, mais à une infection plus généralisée et affaiblissant le système immunitaire, comme l’infection au VIH. Là encore, d’autres symptômes sont généralement présents : fièvre, fatigue, maux de gorge, sueurs nocturnes.


Bouche sèche : autres causes possibles

Bien souvent, la sensation de bouche sèche est seulement due au stress ou l’anxiété. Elle peut aussi être provoquée par de nombreux médicaments (hypotenseurs, antihistaminiques, antidépresseurs) ou encore des traitements du cancer du cou (chimiothérapie, radiothérapie). La présence de calculs salivaires, le…

  Lire…

Ménopause : le traitement hormonal substitutif contre les bouffées de chaleur ?

0

Compte tenu des causes des bouffées de chaleur, le traitement hormonal substitutif (THS) peut donner de très bons résultats. Cependant, il n’est pas dénué de risques. D’autres approches doivent être privilégiées pour les bouffées de chaleur modérées.

Bouffées de chaleur : pourquoi le THS fonctionne-t-il ?

La diminution du taux d’hormones sexuelles est la cause des bouffées de chaleur. Pour être plus précis, c’est le manque d’œstrogènes qui, en déréglant le système de régulation corporelle, entraîne les bouffées de chaleur. Les autres symptômes de la ménopause (sécheresse vaginale, troubles urinaires) sont également liés à la chute du taux d’hormones. Le traitement hormonal substitutif de la ménopause, alliant œstrogènes et progestatifs, permet de corriger ce déséquilibre, ce qui réduit les symptômes.


Bouffées de chaleur : à qui le THS est-il destiné ?

Suite à diverses études, la Haute Autorité de santé (HAS) préconise de réserver le THS aux femmes souffrant de bouffées de chaleur ou autres symptômes de ménopause très invalidants, ainsi qu’à celles ayant un fort risque d’ostéoporose. Afin de limiter les risques d’accidents vasculaires et de cancers ( cancer du sein) liés au THS, ce dernier…

  Lire…

Spasmophilie : quelles sont les personnes à risque ?

0

Palpitations, tachycardie, transpiration excessive, angoisse, nausées, sensation d’étouffement, spasmes… La spasmophilie est un ensemble de symptômes dont l’origine reste encore aujourd’hui en partie mystérieuse. Les crises de spasmophilie étaient autrefois attribuées à un manque de calcium ou de magnésium, mais cette hypothèse est désormais rejetée par un grand nombre de médecins. Quelles sont les personnes les plus exposées à ces troubles paniques ?

Le risque de spasmophilie est plus élevé chez les jeunes femmes angoissées

Selon les statistiques, les femmes ont entre 50 et 100 % de chances de plus que les hommes d’avoir un jour une crise de spasmophilie. Les crises surviennent en particulier chez les adolescentes et les jeunes femmes (15-20 ans) qui sont régulièrement angoissées ou viennent de vivre une expérience traumatisante, par exemple une rupture ou un deuil. Le traumatisme est un facteur de risque qui revient souvent. Les personnes qui ont été maltraitées ou victimes d’abus sexuels pendant leur enfance ont également plus de chances que les autres de présenter des symptômes de spasmophilie.


Comment traiter et prévenir la spasmophilie ?

La prise en charge est symptomatique. Il existe des médicaments utilisés contre l’anxiété, les anxiolytiques. Ils sont prescrits aux patients qui ne parviennent pas à contrôler leur angoisse. Des séances de psychothérapie sont parfois recommandées pour rechercher l’…

  Lire…

Sang dans les urines : l’examen de cytologie urinaire

0

La présence de sang dans les urines, ou hématurie, n’est pas toujours visible à l’œil nu. C’est la cytologie urinaire qui permet à l’urologue d’analyser la composition de l’urine et de repérer les cellules sanguines.

Pourquoi réaliser une cytologie urinaire ?

Infection urinaire, calcul rénal, maladie des reins, varices, thrombose veineuse, inflammation de la vessie (cystite) ou de la prostate (prostatite)… Les causes des hématuries sont nombreuses. Lorsque du sang est présent dans les urines ou en cas de troubles urinaires, une analyse des urines s’impose. Certains urologues se contentent de la bandelette urinaire, un moyen simple et rapide de détecter une anomalie. Dans certains cas, un examen plus poussé doit être réalisé : l’examen cytobactériologique des urines (ECBU). Les urines prélevées sont alors analysées au microscope.


Comment interpréter les résultats d’une cytologie urinaire ?

La cytologie urinaire permet de mesurer le taux de globules rouges (hématies) et de globules blancs (leucocytes) dans le sang. L’hématurie est confirmée si le nombre d’hématies est supérieur à 5 000/ml de sang. Concernant les leucocytes, la valeur de référence est de 10…

  Lire…

Bilan inflammatoire : qu’est-ce que la protéine C réactive ?

0

Le bilan inflammatoire permet de rechercher des signes biologiques en cas d’inflammation. La protéine C réactive ou CRP est un marqueur très utile car son taux augmente lorsqu’un processus inflammatoire se produit au sein de l’organisme.

Une simple prise de sang permet de connaître le taux de protéine C réactive

La protéine C réactive est une protéine fabriquée par le foie. Elle est intimement liée au processus inflammatoire : elle apparaît en cas d’inflammation et disparaît au bout de quelques heures, lorsque l’inflammation s’atténue. Il s’agit par conséquent d’un marqueur fiable qui permet aux médecins de confirmer la présence d’une inflammation. Le taux de protéine C réactive se mesure lors d’une prise de sang. Le prélèvement est effectué le matin, à jeun, généralement dans le pli du coude. Le taux de CRP est jugé normal lorsqu’il est inférieur à 6 mg par litre de sang.


Que peut cacher un taux élevé de protéine C réactive ?

Un taux de protéine C réactive supérieur à 6 mg/L peut avoir plusieurs origines. Il peut être provoqué par une infection virale ou bactérienne (hépatite, méningite), une maladie rhumatismale (arthrite, polyarthrite rhumatoïde, spondylarthrite ankylosante), une…

  Lire…

Gamma GT : la définition

0

Un bilan sanguin permet de mesurer la quantité de plusieurs substances dans le sang. Parmi les résultats, figure le taux de gamma-glutamyl-transpeptidase, une protéine plus connue sous le nom de gamma GT. Vos analyses vous révèlent que vous devez faire baisser les gamma GT ? Apprenez à bien connaître ces enzymes afin de mieux vous en débarrasser.

Les gamma GT sont étroitement liées au foie et à l’alcool

Les gamma GT sont présentes dans plusieurs organes comme le pancréas, les reins, les poumons et surtout le foie. Leur taux est normal s’il se situe entre 50 et 60 unités par litre (UI/L) de sang chez les hommes, et entre 30 et 40 UI/L chez les femmes. Il est plus élevé en cas de dysfonctionnement au niveau des organes qui en contiennent, en particulier au niveau du foie. Lorsque les médecins suspectent une maladie hépatique, ils regardent de près le taux de gamma GT. S’il est anormalement élevé, cela peut confirmer une anomalie et conduire à la réalisation d’examens plus poussés. Dans près de 80 % des cas, la présence en quantité importante de gamma GT est synonyme d’alcoolisme chronique. Cette enzyme constitue donc un excellent marqueur pour suivre l’évolution des patients pendant le sevrage alcoolique.


L’augmentation des gamma GT n’est pas toujours provoquée par l’alcool

Chez un patient sur cinq, l’alcool…

  Lire…

Boule de graisse sous la peau : comment l’enlever ?

0

Du kyste au cancer en passant par le fibrome, une boule sous la peau peut être le symptôme d’une pathologie, mais est souvent sans gravité. Le lipome est une boule de graisse qui se forme sous l’épiderme. Il n’est guère dangereux pour la santé mais peut être gênant sur le plan esthétique. Ces quelques astuces vous aideront à vous en débarrasser.

Miel et farine, deux alliés contre les boules de graisse sous la peau

Antibactérienne, anti-inflammatoire, antioxydante, adoucissante… Les propriétés du miel sont nombreuses, si nombreuses que l’apithérapie est souvent proposée comme traitement alternatif pour soigner plusieurs maux. Associé à la farine, le miel agit efficacement contre les lipomes. Mélangez le miel et la farine (à parts égales) pour former un cataplasme que vous appliquerez ensuite directement sur la boule de graisse. Recouvrez le cataplasme d’un bandage et laissez agir pendant 36 heures. Répétez cette opération plusieurs fois pendant environ une semaine jusqu’à ce que le lipome ait disparu.


Le jaune d’œuf, autre traitement efficace contre les boules de graisse

Du jaune d’œuf et du sel… Cette combinaison est a priori surprenante, mais livre parfois des résultats étonnants. Versez dans un bol un jaune d’œuf et deux cuillères à soupe de sel, puis mélangez. Appliquez le mélange obtenu sur le lipome…

  Lire…

Popular Posts

My Favorites

Saignement des gencives : quand devez-vous vous inquiéter ?

0

Si vos gencives saignent, cela veut déjà dire qu’elles sont en mauvaise santé. Certains gestes quotidiens ...