Détecter la perte de l’odorat permettrait de dépister précocement la maladie de Parkinson, assure Johannes A. Frasnelli, chercheur québécois. Les patients souffrant de Parkinson perdent en partie ou en totalité leur odorat plusieurs années avant le diagnostic des troubles moteurs de la maladie. Reste à différencier les pertes d’odorat bégnines et celles prédictives. Une piste que suit également une équipe de chercheurs sud-coréens mais pour la maladie d’Alzheimer.