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Liste d'articles sur les maladies

Covid-19 : combien de temps êtes-vous contagieux ?

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Le Covid repart partout en France, masqué par ce que vous pensez être « un gros rhume ».  Avec un simple test, vous saurez si vous êtes positif au Covid et vous pourrez calculer votre durée de contagiosité.

Nouveau variant Covid JN.1

Santé publique France constate un rebond épidémique depuis fin novembre à travers les consultations de SOS médecins et les passages aux urgences pour Covid. Un nouveau sous-variant nommé JN.1 représente un peu plus de 30% des nouveaux cas. Il s’agit d’une estimation à partir des tests de dépistages réalisés en laboratoires.

Un sous variant contagieux

Le nouveau sous-variant fait partie de la famille des variants Omicron. «Les caractéristiques majeures d’Omicron et de ses sous-lignages par rapport aux variants antérieurs sont une transmissibilité élevée, un échappement immunitaire (la résistance du variant au vaccin, NDLR) et une moindre sévérité », rappelle Santé publique France

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Prendre des somnifères augmenterait le risque de démence de presque 80 %

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Une nouvelle étude scientifique montre une association entre une consommation régulière de somnifères et un risque plus élevé de démence, chez les personnes blanches. D’autres études sont nécessaires pour comprendre les mécanismes sous-jacents.

Les troubles du sommeil liés à l’âge poussent à la consommation de somnifères

Les chercheurs révèlent que la prise de somnifères augmente en effet le risque de démence chez les personnes âgées caucasiennes, qui sont 3 fois plus susceptibles d’utiliser des somnifères par rapport à d’autres ethnies.

Avec l’âge, le sommeil évolue et les nuits sont plus courtes, les réveils plus fréquents, le sommeil peut être fractionné sur la journée… et la prescription de somnifère est souvent la seule solution proposée, ce qui a un réel impact sur la cognition.

La moyenne d’âge des participants était de 74 ans, 42 % étaient noirs tandis que 58 % étaient caucasiens. Au cours de l’étude, 20 % de ces participants ont développé une démence.

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Comment réagir en cas de morsure de tique pour prévenir la Maladie de Lyme

@AdobeStock

Quand on se balade en forêt ou dans la nature, il n’est pas rare de ramener de tiques, petits acariens discrets, porteurs de maladies graves comme la maladie de Lyme. Cette dernière est provoquée par des bactéries de genre Borrelia. Mais cette dernière se soigne sans difficulté si on adopte les bons gestes rapidement.

Bien inspecter sa peau

Les tiques aiment se cachent dans des zones humides et protégées du corps. Par exemple, sous comme les aisselles, sur l’aine ou derrière les genoux, rappelle Santé.fr. Inspectez minutieusement votre corps après vos ballades, y compris le cuir chevelu. Les tiques injectent un anesthésiant en mordant, ce qui rend la morsure indolore. Une petite rougeur, avec une tache noire au centre, est probablement le signe qu’une tique y est logée.

Retirer la tique

Plus une tique infectée reste longuement fixée sur la peau, plus le risque de transmission de la bactérie augmente. Pour minimiser le risque, il faut retirer la tique rapidement, idéalement avec un tire-tique. Le crochet doit être placé sous la tique, près de la peau, puis, il faut tourner lentement dans le même sens jusqu’à ce qu’elle se détache. Sinon, vous pouvez vous servir d’une pince à épiler. Attrapez la tique à la base et tirez doucement vers le haut sans tourner.

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BEBE – Epidémie de bronchiolites

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L’hiver est propice aux bronchiolites qui touchent près d’un tiers des enfants de moins de deux ans, soit 460 000 bébés environ chaque année en France. Infection des petites bronches, la bronchiolite est la principale cause d’infections respiratoires chez les plus petits. Les signes qui doivent alerter les parents et déclencher une visite chez le pédiatre au-delà du nez qui coule et de la toux : perte d’appétit, vomissements répétés et sommeil perturbé.

Alzheimer : ce virus très répandu doublerait le risque de développer la maladie

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Alzheimer-Herpes-Cerveau

Et si un virus que vous portez peut-être déjà en vous jouait un rôle déterminant dans l’apparition de la maladie d’Alzheimer ? Une récente étude américaine met en lumière une connexion préoccupante entre le virus de l’herpès labial (HSV-1) et cette pathologie neurodégénérative. Une piste qui pourrait transformer la stratégie de prévention dans les années à venir.

Une maladie qui touche massivement les Français

En France, Alzheimer concerne près de 850 000 personnes, en majorité des femmes de plus de 65 ans. Après 80 ans, elle affecte environ 15 % de la population. Cette maladie provoque une détérioration progressive des fonctions cognitives, et son impact ne cesse de croître dans une population vieillissante.

Herpès labial : un facteur de risque méconnu

L’étude, publiée dans BMJ Open, repose sur l’analyse de plus de 344 000 dossiers médicaux. Les chercheurs ont découvert que les patients atteints d’Alzheimer étaient proportionnellement plus nombreux à avoir été infectés par le virus HSV-1, responsable de l’herpès labial. Le risque de développer la maladie serait accru de 80 % en cas d’antécédents d’infection.

Autre élément frappant : les personnes ayant reçu un traitement antiviral après leur infection semblaient moins exposées, avec une baisse estimée du risque autour de 17 %. Cela laisse entrevoir un potentiel préventif pour les médicaments antiviraux, déjà disponibles sur le marché.

Des données solides mais une prudence nécessaire

L’hypothèse virale dans le développement de la maladie d’Alzheimer gagne donc en crédibilité. Toutefois, il est essentiel de rappeler que l’infection par le HSV-1 est extrêmement fréquente, et que tous les porteurs ne développeront pas Alzheimer. Le virus pourrait agir comme un facteur aggravant, notamment en alimentant une inflammation cérébrale déjà présente avec l’âge.

Un virus très répandu à l’échelle mondiale

Le HSV-1 infecte plus de 3,7 milliards de personnes de moins de 50 ans dans le monde, soit près de 67 % de la population mondiale. En France, environ 10 millions de personnes en sont porteuses. Ce virus incurable se transmet par contact buccal ou muqueux. Les traitements comme l’aciclovir ne l’éliminent pas mais réduisent la fréquence des poussées.

Vers une nouvelle approche de la prévention ?

Cette étude suggère que les infections chroniques pourraient jouer un rôle dans la dégénérescence cérébrale. Si ces résultats sont confirmés par de futurs essais cliniques, ils pourraient ouvrir la voie à de nouvelles stratégies de prévention, notamment chez les patients présentant des infections récurrentes au HSV-1.

Source : La Santé au quotidien

Embolie pulmonaire : les premiers signes à reconnaître qui doivent vous inquiéter

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x-ray, cancer check, doctor with a picture of the lungs and chest in a medical clinic evaluates the patient's health
x-ray, cancer check, doctor with a picture of the lungs and chest in a medical clinic evaluates the patient's health

L’embolie pulmonaire se produit quand un caillot de sang bloque un des vaisseaux sanguins des poumons. Ce dernier se développe d’abord dans une autre partie du corps, le plus souvent dans les jambes. Puis, il se déplace, via l’abdomen et le cœur, pour finalement arriver aux poumons. Quand le caillot fait l’épaisseur de l’artère, il bloque l’arrivée du sang vers les poumons, ce qui peut avoir de très graves conséquences. Voilà les signes à ne pas négliger.

L’essoufflement

Quand le caillot atteint les poumons, l’un des premiers symptômes est l’essoufflement. La respiration se fait difficile, on a le souffle court et rapide. Cela survient d’un seul coup. « La difficulté à respirer peut survenir progressivement », selon l’Assurance Maladie.

Des évanouissements

17 % des patients qui vivent des évanouissements auraient un caillot de sang dans les poumons, selon une étude citée par Reader’s Digest. Cela se traduit par des malaises, ou une perte de connaissance, revient l’Assurance Maladie.

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Allergie aux anti-inflammatoires non stéroïdiens ! Quels sont les signes annonciateurs à reconnaître ?

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Les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) tels que l’ibuprofène, l’aspirine, et le naproxène, sont très utilisés pour traiter les douleurs articulaires, la fièvre, les douleurs dentaires, les courbatures et les règles douloureuses. Les allergies aux AINS sont relativement fréquentes et peuvent varier d’une réaction légère à une insuffisance rénale.

Il est essentiel d’avoir une idée sur les signes annonciateurs d’une réaction allergique aux AINS afin de prendre des mesures appropriées et d’éviter tout danger potentiel.

Éruption cutanée

Une éruption cutanée peut inclure des rougeurs, des bosses, des bulles, de l’urticaire, ou des démangeaisons qui peuvent survenir en cas d’allergie aux AINS.

Ces réactions allergiques peuvent être localisées ou se propager sur tout le corps. La plupart des éruptions cutanées d’origine médicamenteuse disparaissent à l’arrêt du médicament

Difficultés respiratoires

Des difficultés respiratoires telles qu’une respiration sifflante, une oppression thoracique ou un essoufflement après une prise d’anti-inflammatoire, peuvent indiquer une réaction allergique sévère. Dans certains cas graves, cela peut évoluer vers une réaction anaphylactique.

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Habiter près d’un aéroport multiplie le risque d’hypertension

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Ils habitent près des aéroports de Paris-Charles de Gaulle, Toulouse-Blagnac et Lyon-Saint-Exupéry. Pendant 4 ans, 1 200 volontaires se sont prêtés à une expérimentation qui a mesuré à la fois le niveau sonore nocturne et leur tension. Les résultats sont sans appel : pour chaque augmentation de 10 décibels la nuit, le risque d’hypertension augmente de 34% chez les hommes. Un risque non anodin : l’hypertension est l’un des facteurs des maladies cardiovasculaires, AVC et infarctus.

Vrai ou Faux : La «maladie X» déclencherait une future pandémie

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A l’occasion du forum de Davos, plusieurs internautes ont relayé une probable «maladie X» en discussion entre les « grands » de ce monde. Cette maladie existe-t-elle vraiment ? Ne serait-ce pas une fake news ?

Table ronde sur la «maladie X» à Davos

Le 17 janvier une table-ronde était prévue à Davos au sujet de la «maladie X». Ceux qui y participaient étaient, entre autres, le patron de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), le ministre de la Santé du Brésil et le laboratoire AstraZeneca.

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Cas de tuberculose en Gironde : comment est-ce possible ?

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Un professeur d’une école maternelle à Libourne (Gironde) a contracté la tuberculose. Cette infection pulmonaire est très contagieuse et n’a pas disparu en France.

Plus de 4000 cas de tuberculose en France

La tuberculose continue de circuler en France. Santé publique France a recensé 4 306 cas en 2021. Les mêmes chiffres ont été constatés l’année dernière. «Seuls 4.500 à 5.000 cas ont été enregistrés dans l’Hexagone en 2023», relaie 20 minutes. Dans le monde, cette maladie très contagieuse représente encore dix millions de cas par an.

Comment se transmet la tuberculose ?

La tuberculose est une maladie due au bacille de Koch, qui atteint le plus souvent les poumons. La maladie se transmet par voie aérienne, «par dispersion de gouttelettes de sécrétions bronchiques, particulièrement lorsque le malade tousse» rappelle Santé publique France.

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