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Rappel de lots d’Upfen® pour risque de surdosage

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Le 18 février 2019, le laboratoire UPSA a annoncé procéder au rappel de plusieurs lots du médicament Upfen® après qu’une erreur sur la notice de certaines boîtes a été détectée, exposant à un risque de surdosage.   

Prudence si vous possédez des boîtes de médicament Upfen® (ibuprofène). Le 18 février 2019, l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) a publié un communiqué expliquant que le laboratoire UPSA procédait au rappel de certains lots de cette spécialité à base d’ibuprofène vendue sans ordonnance, en raison d’un risque de surdosage.

Rappel de lots d’Upfen® : les patients sont invités à rapporter les boîtes en pharmacie

Les lots d’Upfen® 200 mg concernés par la mesure de rappel sont les T3829 (péremption 05/2020) et T9703 (péremption 05/2021). En effet, le communiqué signale qu’ « une erreur a été repérée dans la notice de [ces] boîtes, au niveau de la posologie pour la population pédiatrique (enfants pesant de 20 à 30kg) où la dose maximale indiquée en mg par jour (1200 mg) correspond au double de ce qui est normalement autorisé (600 mg). » Afin d’éviter tout risque d’accident, les patients ayant…

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Les médicaments qui augmentent les risques de maladie d’Alzheimer

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Anxiolytiques, antiépileptiques, somnifères, anti-acides… Plusieurs études démontrent une association entre la prise de ces médicaments et l’apparition d’une démence de type Alzheimer. Découvrez lesquels en particulier et pourquoi.

Attention aux anticholinergiques

Les anticholinergiques sont une classe de médicaments qui regroupe des antiépileptiques, des antihypertenseurs, des anxiolytiques, des antidépresseurs, des diurétiques ou encore des antihistaminiques. Leur principe d’action repose sur l’inhibition de l’activité de l’acétylcholine, un neurotransmetteur qui joue un rôle important au niveau de la mémoire et de la contraction musculaire notamment. Puisqu’ils agissent sur le cerveau et qu’ils comptent parmi leurs effets indésirables des troubles de la mémoire, la question d’une possible association avec le déclin cognitif s’est rapidement posée pour les chercheurs.

Et deux études présentent des résultats significatifs. La première, publiée en mars 2015 dans la revue JAMA Internal Medicine, a suivi pendant sept ans 3434 personnes âgées de 65 ans et plus – cette population étant plus exposée aux anticholinergiques – sans diagnostic de démence au début de l’étude. Les…

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Comment ne pas avoir peur de la mort ?

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La peur de la mort peut tous nous concerner à un moment ou un autre de notre vie. Que ce soit la peur de sa propre mortalité, ou de celle des autres, la surmonter nécessite de faire un travail sur soi, parfois avec l’aide d’un thérapeute.

Pourquoi a-t-on peur de la mort ?

La peur de la mort est une peur ancestrale qui nous renvoie à notre propre finalité et à celle des autres. Personne ne sait à l’avance à quel moment et de quelle façon il va mourir. C’est cette peur de l’inconnu et ce manque de maitrise de notre destin de mortel qui créer une angoisse parfois tellement envahissante qu’elle empêche de vivre.

Qu’est-ce que les « angoisses de mort » ?

Inhérente à la vie, la mort est notre destin inévitable à tous. Que ce soit par la mort d’un proche ou la maladie, la prise de conscience de la finalité de la vie apparait en général vers l’âge de 7 ans. Même si la peur de la mort nous concerne tous, elle nous envahie à des degrés différents.

Si certains d’entre nous parviennent à intégrer cette fatalité sans qu’elle ne les empêche de vivre pleinement, d’autres en revanche peuvent souffrir d’angoisses très profondes appelées des « angoisses de mort ». Elles se traduisent par une anxiété…

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Les benzodiazépines peuvent-elles provoquer la maladie d’Alzheimer ?

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Sur 18 études menées à ce sujet, 15 présentent des résultats similaires : il y aurait une association entre la prise de benzodiazépines sur le long terme et l’apparition de la maladie d’Alzheimer. Mais dans le corps médical, ce possible lien fait débat. Le docteur François Sellal, neurologue, et le professeur Bernard Bégaud, pharmacologue, nous aident à comprendre pourquoi.

En 2011, la publication des résultats d’une étude française dans la presse avait fait l’effet d’une bombe : chez les personnes âgées de 65 ans et plus, l’usage prolongé des benzodiazépines (Valium®, Lexomil®, Stilnox®, etc.), utilisées dans le traitement de l’anxiété et des troubles du sommeil, serait associé à un risque accru de développer une démence de type Alzheimer.

L’étude en question, menée par le professeur Bernard Bégaud, pharmacologue, et publiée dans le très sérieux British Medical Journal, a suivi pendant 15 ans des personnes âgées de 78 ans en moyenne, sans symptômes de démence. Sur les 1063 participants, 95 avaient commencé à prendre des benzodiazépines à partir de la cinquième année de suivi. Au final, l’incidence de la démence chez les personnes exposées à ces médicaments était de 4,8 personnes sur 100 par an, contre 3,2 personnes sur 100 par an chez celles non exposées. Soit un risque accru de 50%. Quelques années plus tard, une…

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Impuretés dans les médicaments sartans : les premières estimations des risques

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Dans un communiqué publié le 1er février 2019, l’Agence européenne des médicaments (EMA) a révélé les premières estimations des risques liés à la prise quotidienne de sartans dans lesquels des impuretés potentiellement cancérigènes avaient été détectées en juin 2018, concluant à une hausse des cas de cancer chez les patients.

Depuis la mise en évidence d’impuretés potentiellement cancérigènes dans plusieurs sartans, médicaments utilisés dans le traitement de l’hypertension artérielle, les vagues de rappels ne s’arrêtent plus, sans que l’on connaisse vraiment les risques encourus par les patients. C’est désormais chose faite : dans un communiqué du 1er février 2019, l’Agence européenne des médicaments (EMA) a dévoilé les premières estimations, concluant à une hausse des cas de cancer chez les personnes traitées pendant au moins 4 ans.

Sartans contaminés : chez 100 000 patients, 22 cas supplémentaires de cancer sur la vie entière

L’EMA explique que ces estimations découlent d’une analyse « du risque de cancer maximal », puisque les substances en question – la nitrosodiméthylamine (NDMA) et la N-nitrosodiéthylamine (NDEA) – n’avaient, pour la grande majorité des sartans, « pas été retrouvées ou à des niveaux très faibles ». Au final, les chercheurs ont conclu…

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Françoise Hardy : guérie de son deuxième cancer, elle souffre d’effets secondaires

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Interviewé par le journal Le Parisien, Jacques Dutronc s’est confié sur l’état de santé de Françoise Hardy qui aurait réussi à combattre son second cancer. 

« C’est une résistante Françoise ». Françoise Hardy serait-elle miraculée pour la deuxième fois ? Dans une interview pour Le Parisien, à l’occasion de la sortie de son album, « Fume !… C’est du Best », Jacques Dutronc son mari dont elle est séparée, mais avec qui elle reste très proche, s’est confié sur l’état de santé de la chanteuse. « On s’envoie des messages tous les jours. Son second cancer est guéri, mais elle souffre des effets secondaires. Mais comme ils disent dans les films, ça va aller », ajoute-t-il, philosophe.

« Il ne s’agit que d’une petite tumeur au pharynx »

Bonne nouvelle donc pour l’égérie des années yé-yé, qui, à l’âge de 74 ans, était atteinte d’un second cancer. Là encore c’est Jacques Dutronc qui avait annoncé lors d’une entretien pour Ici Paris, le 19 novembre 2018, qu’elle souffrait d’un carcinome épidermoïde, une forme rare d’un cancer de la peau. Un détail démenti ensuite par des membres de son entourage qui auraient confié au magazine Gala,…

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Toux : le Pneumorel® suspendu à cause d’un risque pour le coeur

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L’ANSM annonce la suspension du Pneumorel, médicament contre la toux, sur le marché suite à la confirmation d’un risque de trouble du rythme cardiaque.

Rhume, bronchite, trachéite… Les troubles ORL n’en finissent plus depuis le début de l’hiver et attention aux médicaments qui peuplent votre pharmacie. L’ANSM annonce la suspension d’autorisation de mise sur le marché du médicament Pneumorel® sous forme de comprimé comme de sirop. Le fenspiride, principe actif de ce traitement uniquement donné sur ordonnance et sans remboursement prescrit contre la toux dans le cadre d’affection pulmonaire, aurait été lié à un risque de troubles du rythme cardiaque. « Dans ce contexte les lots présents dans les officines, les établissements de santé et chez les grossistes répartiteurs font l’objet d’un rappel le 8 février, » expliquent l’ANSM.

Un risque de dysfonctionnement électrique du coeur

« Par mesure de précaution, il est demandé à tous les patients qui détiendraient des boîtes de Pneumorel 80 mg, comprimé enrobé et/ou des flacons de Pneumorel 0,2 pour cent, sirop, de ne plus utiliser ces médicaments et de les rapporter en…

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Lutéran® et Lutényl® : 2 nouveaux médicaments susceptibles d’entraîner des méningiomes

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L’ANSM met en garde contre l’acétate de chlormadinone (Lutéran©) et l’acétate de nomégestrol (Lutényl©), deux nouveaux médicaments qui pourraient augmenter le risque de développer des méningiomes (tumeurs des méninges). 6 mois après que les mêmes risques aient été confirmé pour le traitement Androcur®.

Les personnes soumises à un traitement par Acétate de chlormadinone (Lutéran©) et acétate de nomégestrol (Lutényl©) seraient plus à risque de développer une tumeur. C’est un signal d’alarme tiré par l’ANSM dans un communiqué publié le 7 février 2019. « Des cas de méningiomes ont été observés lors de l’utilisation de ces médicaments à des doses thérapeutiques », expliquent les auteurs. En conséquences ils annoncent le lancement d’une étude dans les mois à venir « par les épidémiologistes experts du Groupement d’intérêt scientifique Epi-Phare ». Les résultats devraient permettre de déterminer. de confirmer ou non un risque de cause à effet lié à ces deux traitements, dérivés de progestérone. Ils sont généralement prescrits en cas de ménopause, troubles menstruels ou endométriose.

Stopper le traitement si un méningiome est diagnostiqué

Le méningiome est une tumeur des méninges, les membranes qui enveloppent le cerveau et la moëlle épinière. Dans la plupart des cas,…

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Deuil blanc : qu’est-ce que c’est ?

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Plus de souvenirs, plus de mémoire, plus de sentiments affectif envers ses proches… S’occuper d’une personne malade touchée par la maladie d’Alzheimer ou d’une maladie apparentée peut être extrêment douloureux pour l’accompagnant. Faire ses adieux à une personne décédée psychologiquement mais pas physiquement est ce qu’on appelle faire un « deuil blanc ». Définition avec notre psychologue, Dr Pascal Anger et Lynne Pion, spécialiste en gestion de deuil. 

Une présence physique mais plus affective

Le deuil blanc n’est pas le même qu’un deuil classique lorsqu’une personne décède. C’est un deuil qui intervient lorsqu’une personne est encore présente physiquement mais perd petit à petit toutes ses capacités affectives, émotionnelles et mémorielles au point de ne plus ressembler à la personne qu’elle était auparavant. C’est au moment où l’on voit une personne perdre la mémoire, changer de personnalité des suites d’une maladie, la plus courante concernée étant la maladie d’Alzheimer. Des changements majeurs vont bousculer la relation de départ entre l’aidant et le malade et ils peuvent rendre difficile la situation. Les proches qui en sont témoins sont en très grande souffrance, celle de voir un être cher lentement se détériorer. C’est là que le deuil blanc commence. Ils doivent apprendre à envisager une nouvelle vie aux côtés de leur proche même si ce dernier est encore présent physiquement. « …

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Rappel d’autocuiseurs pour risque de projections

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Le 8 février 2019, la marque Tower procède au rappel d’autocuiseurs non conformes aux normes européennes et présentant un défaut de fabrication potentiellement dangereux.

Attention si vous possédez un autocuiseur. Le 8 février 2019, la marque Tower procède au rappel de ses appareils qui présentent un défaut de fabrication pouvant entraîner des risques de projection.

Risque de projection de liquide chaud

Il s’agit précisément du modèle T90103, type DSS 22-6, portant le code-barres 5055195872791. Selon la comission Européenne le couvercle de l’autocuiseur présenterait un risque d’ouverture brusque qui pourrait entraîne le rejet du joint d’étanchéité. L’utilisateur serait donc à risque d’une brûlure grave. 

L’appareil n’étant pas conforme à la norme européenne EN 12778 qui régule les autocuiseurs à usage domestique, les consommateurs l’ayant acheté sont invités à ne pas l’utiliser et à le rapport au point de vente. Pour toute question, joindre le serveur vocal Alertes au 01 69 32 79 36.

Des fours Whirlpool également dans le viseur

En janvier 2019, le magazine 60…

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