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Polyarthrite rhumatoïde : le tofacitinib lié à un risque accru d’embolie pulmonaire

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Dans un communiqué publié le 25 février 2019, la Food and Drug Administration aux Etats-Unis alerte sur le tofacitinib, médicament utilisé dans le traitement de la polyarthride rhumatoïde : lorsque la dose prescrite est doublée, les risques d’embolie pulmonaire et de décès sont augmentés.

Attention si vous prenez du tofacitinib (Xeljanz®) dans le cadre d’un traitement pour la polyarthrite rhumatoïde. Dans un communiqué publié le 25 février 2019, la Food and Drug Administration (équivalent américain de l’Agence nationale de sécurité du médicament) alerte les médecins sur les risques d’embolie pulmonaire et de décès liés à la prescription de ce médicament lorsque la dose est doublée.

Une dose inadaptée et dangereuse

En effet, tandis qu’en France le tofacitinib est prescrit uniquement dans le cadre du traitement de la polyarthrite rhumatoïde et que sa dose est limitée à 5 mg deux fois par jour, ce médicament est également autorisé dans le traitement de la colite ulcéreuse aux Etats-Unis. La dose recommandée est, dans ce cas, de 10 mg deux fois par jour. Or, c’est cette dose qui est parfois prescrite chez les patients atteints de la polyarthrite rhumatoïde. Une posologie inadaptée et dangereuse, puisqu’une étude a démontré qu’elle…

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Goutte : le risque de mortalité est accru sous fébuxostat

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Les résultats d’une analyse de la Food and Drug Administration aux Etats-Unis ont conclu que le fébuxostat, médicament antigoutteux, était associé à une hausse du risque de décès toutes causes confondues, par rapport à un autre traitement. L’organisme appelle donc à plus de précautions lors de sa prescription.

On estime qu’un Français sur cent serait touché par la goutte, une maladie inflammatoire des articulations causée par un taux d’acide urique élevé dans le sang. Autant de personnes susceptibles d’être concernées par cette information : dans un communiqué publié le 21 février 2019, la Food and Drug Administration (équivalent américain de l’Agence nationale du sécurité du médicament) alerte sur les risques de mortalité accrus sous fébuxostat (Uloric®, Adenuric®, etc.) par rapport à d’autres médicaments antigoutteux, et appelle ainsi à la prudence lors de sa prescription.

Fébuxostat : il expose à plus de risques comparé à l’allopurinol

En 2018, une étude américaine avait en effet conclu à un risque de décès par accident cardiovasculaire et de décès toutes causes confondues augmenté avec ce médicament. L’objectif était de comparer les risques entre le traitement par fébuxostat et celui par allopurinol, ces…

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Tramadol et oxycodone : attention au risque de dépendance

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Dans un communiqué publié le 20 février 2019, l’Agence nationale de sécurité et du médicament (ANSM) alerte sur la hausse de la consommation et le mésusage des antalgiques opioïdes en France, liés à une explosion du nombre d’hospitalisations et de décès.

Efficaces et largement utilisés dans le traitement des douleurs chroniques notamment, les antalgiques opioïdes (codéine, morphine, etc.), prescrits sur ordonnance, sont connus pour leurs risques de dépendance, mais les dangers auxquels ils exposent semblent être largement sous-estimés par la population. Dans un communiqué publié le 20 février 2019, l’Agence nationale du sécurité et du médicament (ANSM) explique en effet que les intoxications, les hospitalisations et les décès liés à l’usage de ces médicaments ont explosé dans l’Hexagone ces dernières années.

Mésusage des opioïdes : le nombre de décès a explosé de 146%

Deux opioïdes en particulier sont concernés par ces risques : le tramadol (Contramal®, Topalgic®…), un opioïde dit « faible », dont la consommation a augmenté de 68% entre 2006 et 2017, et l’oxycodone (OxyContin®, OxyNorm®), un opioïde fort qui enregistre lui une hausse de 738% au cours de la même période….

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Lave-Vaisselle : 3 pastilles naturelles qui lavent vraiment

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Les pastilles lave-vaisselle sont néfastes pour l’environnement. Il est facile de les remplacer par des pastilles faites à la maison. Nos recettes.

Du bicarbonate de soudre pour dégraisser

Si vous employez les bons ingrédients, les tablettes lave-vaisselle sont écologiques et efficaces. Ce qu’il faut employer ? Du bicarbonate de soude pour nettoyer, dégraisser, désodoriser, des cristaux de soude pour dégraisser, de l’acide citrique pour détartrer, du gros sel pour détacher et désodoriser. Vous avez ainsi l’équivalent des tablettes vendues dans le commerce. « Il faut cependant faire attention à ne pas mettre trop de poudre lave-vaisselle maison dans le lave-vaisselle car cela laisse des résidus » informe Céline Touati, naturopathe à Courbevoie. Certaines personnes ne mettent ainsi qu’une demi pastille ou un quart de pastille dans leur lave-vaisselle.

Son autre conseil : remplacer le liquide de rinçage par du vinaigre blanc.

Une recette avec du savon de Marseille

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Ces produits toxiques pour l’air de votre maison

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Au travers d’une étude, des chercheurs américains pointent du doigt la pollution intérieure engendrée par les tâches ménagères quotidiennes comme la cuisine et le ménage, et invitent à une plus grande considération des risques qui y sont liés.

La pollution est souvent associée à l’air extérieur. Mais qu’en est-il de l’air de notre maison ? Au travers d’une étude publiée le 17 février 2019, des chercheurs de l’université du Colorado aux Etats-Unis révèlent que les tâches ménagères et les produits ou appareils utilisés pour les réaliser contribuent grandement à la pollution de l’air intérieur.

Dans la maison, des taux de particules équivalents à ceux « des grandes villes polluées »

Pour arriver à ce constat, les chercheurs se sont attelés à contrôler la qualité de l’air d’une maison d’environ 110m² en y posant des capteurs et des caméras. Durant un mois de l’année 2018, ils y ont réalisé des tâches ménagères, comme la cuisine, le nettoyage, etc. Résultats : des taux importants de particules chimiques ont été relâchées, équivalents à ceux « des grandes villes polluées », expliquent les auteurs de l’étude. Ils précisent : « Le simple fait de griller une tartine ou de faire…

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Zyrtec® : un risque de dépendance mis en évidence

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Des milliers d’Américains expérimentent un syndrome de sevrage lié à l’antihistaminique Zyrtec®, souffrant de démangeaisons intenses. Des risques qui ne sont pourtant pas précisés sur les boîtes du médicament, vendu sans ordonnance outre-Atlantique.

« Un enfer ». C’est ce que des milliers de patients américains sous Zyrtec®, un antihistaminique indiqué dans le traitement des symptômes de l’allergie, vivent au moment de l’arrêt du médicament. Vendu sans ordonnance aux Etats-Unis, il provoquerait un syndrome de sevrage qui se manifesterait, entre autres, par des démangeasions à la limite du supportable.

Impossible d’arrêter le Zyrtec® à cause de démangeaisons « insupportables »

Un paradoxe, quand on sait que le Zyrtec® est censé soulager le prurit lié à l’allergie. En 2016, plusieurs cas de démangeaisons intenses ont été récensés également aux Pays-Bas. « Ces patients prenaient ces antihistaminiques de manière continue pendant des mois voire des années, expliquent les pharmacologues. Ils ont essayé plusieurs fois de les arrêter, mais s’en sentaient incapables à cause de ces démangeaisons insupportables et exaspérantes » qui apparaissaient au bout de quelques jours seulement après l’arrêt du…

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Rappel de lots d’Upfen® pour risque de surdosage

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Le 18 février 2019, le laboratoire UPSA a annoncé procéder au rappel de plusieurs lots du médicament Upfen® après qu’une erreur sur la notice de certaines boîtes a été détectée, exposant à un risque de surdosage.   

Prudence si vous possédez des boîtes de médicament Upfen® (ibuprofène). Le 18 février 2019, l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) a publié un communiqué expliquant que le laboratoire UPSA procédait au rappel de certains lots de cette spécialité à base d’ibuprofène vendue sans ordonnance, en raison d’un risque de surdosage.

Rappel de lots d’Upfen® : les patients sont invités à rapporter les boîtes en pharmacie

Les lots d’Upfen® 200 mg concernés par la mesure de rappel sont les T3829 (péremption 05/2020) et T9703 (péremption 05/2021). En effet, le communiqué signale qu’ « une erreur a été repérée dans la notice de [ces] boîtes, au niveau de la posologie pour la population pédiatrique (enfants pesant de 20 à 30kg) où la dose maximale indiquée en mg par jour (1200 mg) correspond au double de ce qui est normalement autorisé (600 mg). » Afin d’éviter tout risque d’accident, les patients ayant…

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Les médicaments qui augmentent les risques de maladie d’Alzheimer

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Anxiolytiques, antiépileptiques, somnifères, anti-acides… Plusieurs études démontrent une association entre la prise de ces médicaments et l’apparition d’une démence de type Alzheimer. Découvrez lesquels en particulier et pourquoi.

Attention aux anticholinergiques

Les anticholinergiques sont une classe de médicaments qui regroupe des antiépileptiques, des antihypertenseurs, des anxiolytiques, des antidépresseurs, des diurétiques ou encore des antihistaminiques. Leur principe d’action repose sur l’inhibition de l’activité de l’acétylcholine, un neurotransmetteur qui joue un rôle important au niveau de la mémoire et de la contraction musculaire notamment. Puisqu’ils agissent sur le cerveau et qu’ils comptent parmi leurs effets indésirables des troubles de la mémoire, la question d’une possible association avec le déclin cognitif s’est rapidement posée pour les chercheurs.

Et deux études présentent des résultats significatifs. La première, publiée en mars 2015 dans la revue JAMA Internal Medicine, a suivi pendant sept ans 3434 personnes âgées de 65 ans et plus – cette population étant plus exposée aux anticholinergiques – sans diagnostic de démence au début de l’étude. Les…

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Comment ne pas avoir peur de la mort ?

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La peur de la mort peut tous nous concerner à un moment ou un autre de notre vie. Que ce soit la peur de sa propre mortalité, ou de celle des autres, la surmonter nécessite de faire un travail sur soi, parfois avec l’aide d’un thérapeute.

Pourquoi a-t-on peur de la mort ?

La peur de la mort est une peur ancestrale qui nous renvoie à notre propre finalité et à celle des autres. Personne ne sait à l’avance à quel moment et de quelle façon il va mourir. C’est cette peur de l’inconnu et ce manque de maitrise de notre destin de mortel qui créer une angoisse parfois tellement envahissante qu’elle empêche de vivre.

Qu’est-ce que les « angoisses de mort » ?

Inhérente à la vie, la mort est notre destin inévitable à tous. Que ce soit par la mort d’un proche ou la maladie, la prise de conscience de la finalité de la vie apparait en général vers l’âge de 7 ans. Même si la peur de la mort nous concerne tous, elle nous envahie à des degrés différents.

Si certains d’entre nous parviennent à intégrer cette fatalité sans qu’elle ne les empêche de vivre pleinement, d’autres en revanche peuvent souffrir d’angoisses très profondes appelées des « angoisses de mort ». Elles se traduisent par une anxiété…

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Les benzodiazépines peuvent-elles provoquer la maladie d’Alzheimer ?

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Sur 18 études menées à ce sujet, 15 présentent des résultats similaires : il y aurait une association entre la prise de benzodiazépines sur le long terme et l’apparition de la maladie d’Alzheimer. Mais dans le corps médical, ce possible lien fait débat. Le docteur François Sellal, neurologue, et le professeur Bernard Bégaud, pharmacologue, nous aident à comprendre pourquoi.

En 2011, la publication des résultats d’une étude française dans la presse avait fait l’effet d’une bombe : chez les personnes âgées de 65 ans et plus, l’usage prolongé des benzodiazépines (Valium®, Lexomil®, Stilnox®, etc.), utilisées dans le traitement de l’anxiété et des troubles du sommeil, serait associé à un risque accru de développer une démence de type Alzheimer.

L’étude en question, menée par le professeur Bernard Bégaud, pharmacologue, et publiée dans le très sérieux British Medical Journal, a suivi pendant 15 ans des personnes âgées de 78 ans en moyenne, sans symptômes de démence. Sur les 1063 participants, 95 avaient commencé à prendre des benzodiazépines à partir de la cinquième année de suivi. Au final, l’incidence de la démence chez les personnes exposées à ces médicaments était de 4,8 personnes sur 100 par an, contre 3,2 personnes sur 100 par an chez celles non exposées. Soit un risque accru de 50%. Quelques années plus tard, une…

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