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Jacques Chirac très affaibli : « il ne reconnaît plus que 5 personnes »

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L’état de santé Jacques Chirac se dégrade de plus en plus. Erwan L’Eléouet, écrivain a livré un témoignage fort sur l’ancien président de la République qui serait « très affaibli », dans son dernier livre Bernadette, les secrets d’une conquête 

Les nouvelles concernant la santé de l’ancien président Jacques Chirac ne sont pas très bonnes. Erwan L’Eléouet, écrivain et journaliste témoigne dans son dernier livre Bernadette, les secrets d’une conquête que Jacques Chirac souffrirait d’une amnésie sévère. « C’est un homme très affaibli pour qui le réel est une notion de plus en plus floue », exprime l’auteur en confirmant la fragilité de l’ancien président de la République âgé de 86 ans. C’est en restant auprès du quotidien de l’ex chef d’Etat que Erwan L’Eléouet a pu retranscrire son combat contre la maladie.

Etats de semi-conscience et d’amnésie

En 2005, Jacques Chirac avait été victime d’un accident vasculaire cérébral (AVC) qui lui a valu de nombreux ennuis au fil du temps. Il aurait subi de nouveaux petits AVC (sans les ressentir physiologiquement) qui au long terme lui auraient laissé des séquelles. L’anosognosie, a été l’une d’elles, qui est une incapacité à reconnaître sa maladie. Cette…

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Cors aux pieds : les dangers auxquels on ne pense pas

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Les cors aux pieds sont des affections cutanées situées au niveau des orteils, qui peuvent s’aggraver s’ils ne sont pas traités correctement et à temps par un pédicure podologue.

Qu’est-ce que les cors aux pieds ?

Les cors aux pieds consistent en un épaississement de la couche superficielle de l’épiderme (soit une hyperkératose). Ils sont généralement durs au toucher.
« Les cors sont des affectations cutanées du pied situées au niveau des orteils », explique Justine Zamengo, podologue, formatrice à l’institut de podologie de Toulouse et adhérente de l’Association pour le développement de la podologie, qui précise : « Ils peuvent être situés en dorsal d’un orteil, au niveau de la pulpe ou même entre deux orteils. Il s’agit alors d’un cor mou, ou œil de perdrix. »

Un cor se forme à la suite de frottements dans les chaussures ou de pression sur la peau pendant la marche. Si les femmes sont principalement touchées, toute personne présentant une déformation de l’avant-pied, comme des orteils en griffe ou un hallux valgus, peut en développer un.

Une douleur de plus en plus présente

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Dentifrice : le triclosan pourrait rendre inefficace vos antibiotiques

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D’après une étude américaine publiée le 19 février 2019 dans la revue médicale Antimicrobial Agents & Chemotherapy, le triclosan un antimicrobien contenu dans les dentifrices pourrait réduire l’efficacité des antibiotiques.

Le triclosan est un puissant antibactérien présent dans de nombreux produits de consommation du quotidien tels que les dentifrices, gels nettoyants, jouets pour enfants, vêtements, cosmétiques, cartes de crédits etc. Selon une nouvelle étude américaine publiée le 19 février 2019 dans la revue médicale Antimicrobial Agents & Chemotherapy, une trop forte exposition au triclosan (détectable a haut niveau dans les urines ) empêcherait les antibiotiques de bien fonctionner, notamment ceux utiliser ne cas d’infections urinaires ou d’infections des voies respiratoires. Ce composé associé aux antibiotiques aiderait même certaines bactéries infectieuses à devenir plus résistantes, comme pour l’Escherichia coli et le Staphylococcus aureus. « Nous avons émis l’hypothèse que l’exposition au triclosan pourrait conduire par inadvertance les bactéries à un état dans lequel elles seraient capables de tolérer des concentrations d’antibiotiques normalement mortelles », expriment les…

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Artemisia : l’utilisation de cette plante pourrait entraîner une complication mortelle

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L’Académie nationale de Médecine a tenu à mettre en garde dans un communiqué du 19 février 2019, les personnes qui utiliseraient la plante Artemisia pour lutter contre le paludisme. Cette dernière pourrait avoir des conséquences mortelles.

Inquiète des dangers immédiats de l’utilisation de feuilles séchées d’Artemisia, l’Académie nationale de Médecine met en garde les personnes l’utilisant pour lutter et traiter le paludisme. Dans son communiqué du 19 février 2019, elle dénonce les « recommandations scientifiquement incertaines et irresponsables pour l’utilisation de cette phytothérapie ». Selon elle, cette plante utilisée en poudre ou en tisane ne garantit pas forcément son efficacité. C’est une chercheuse chinoise Youyou Tu, qui en 2015 a reçu le prix Nobel de Médecine pour l’extraction à partir d’une plante de son pays, l’Artemisia annua. Efficace contre le paludisme, cette plante est extrêmement puissante et permet une élimination rapide de la maladie. De plus, ce remède doit toujours être associée à un autre antipaludique d’action plus prolongée.

Une atteinte neurologique entrainant le décès

Le coup de gueule de l’Académie nationale de Médecine provient notamment de la mise en place de campagne…

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Polyarthrite rhumatoïde : le tofacitinib lié à un risque accru d’embolie pulmonaire

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Dans un communiqué publié le 25 février 2019, la Food and Drug Administration aux Etats-Unis alerte sur le tofacitinib, médicament utilisé dans le traitement de la polyarthride rhumatoïde : lorsque la dose prescrite est doublée, les risques d’embolie pulmonaire et de décès sont augmentés.

Attention si vous prenez du tofacitinib (Xeljanz®) dans le cadre d’un traitement pour la polyarthrite rhumatoïde. Dans un communiqué publié le 25 février 2019, la Food and Drug Administration (équivalent américain de l’Agence nationale de sécurité du médicament) alerte les médecins sur les risques d’embolie pulmonaire et de décès liés à la prescription de ce médicament lorsque la dose est doublée.

Une dose inadaptée et dangereuse

En effet, tandis qu’en France le tofacitinib est prescrit uniquement dans le cadre du traitement de la polyarthrite rhumatoïde et que sa dose est limitée à 5 mg deux fois par jour, ce médicament est également autorisé dans le traitement de la colite ulcéreuse aux Etats-Unis. La dose recommandée est, dans ce cas, de 10 mg deux fois par jour. Or, c’est cette dose qui est parfois prescrite chez les patients atteints de la polyarthrite rhumatoïde. Une posologie inadaptée et dangereuse, puisqu’une étude a démontré qu’elle…

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Goutte : le risque de mortalité est accru sous fébuxostat

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Les résultats d’une analyse de la Food and Drug Administration aux Etats-Unis ont conclu que le fébuxostat, médicament antigoutteux, était associé à une hausse du risque de décès toutes causes confondues, par rapport à un autre traitement. L’organisme appelle donc à plus de précautions lors de sa prescription.

On estime qu’un Français sur cent serait touché par la goutte, une maladie inflammatoire des articulations causée par un taux d’acide urique élevé dans le sang. Autant de personnes susceptibles d’être concernées par cette information : dans un communiqué publié le 21 février 2019, la Food and Drug Administration (équivalent américain de l’Agence nationale du sécurité du médicament) alerte sur les risques de mortalité accrus sous fébuxostat (Uloric®, Adenuric®, etc.) par rapport à d’autres médicaments antigoutteux, et appelle ainsi à la prudence lors de sa prescription.

Fébuxostat : il expose à plus de risques comparé à l’allopurinol

En 2018, une étude américaine avait en effet conclu à un risque de décès par accident cardiovasculaire et de décès toutes causes confondues augmenté avec ce médicament. L’objectif était de comparer les risques entre le traitement par fébuxostat et celui par allopurinol, ces…

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Tramadol et oxycodone : attention au risque de dépendance

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Dans un communiqué publié le 20 février 2019, l’Agence nationale de sécurité et du médicament (ANSM) alerte sur la hausse de la consommation et le mésusage des antalgiques opioïdes en France, liés à une explosion du nombre d’hospitalisations et de décès.

Efficaces et largement utilisés dans le traitement des douleurs chroniques notamment, les antalgiques opioïdes (codéine, morphine, etc.), prescrits sur ordonnance, sont connus pour leurs risques de dépendance, mais les dangers auxquels ils exposent semblent être largement sous-estimés par la population. Dans un communiqué publié le 20 février 2019, l’Agence nationale du sécurité et du médicament (ANSM) explique en effet que les intoxications, les hospitalisations et les décès liés à l’usage de ces médicaments ont explosé dans l’Hexagone ces dernières années.

Mésusage des opioïdes : le nombre de décès a explosé de 146%

Deux opioïdes en particulier sont concernés par ces risques : le tramadol (Contramal®, Topalgic®…), un opioïde dit « faible », dont la consommation a augmenté de 68% entre 2006 et 2017, et l’oxycodone (OxyContin®, OxyNorm®), un opioïde fort qui enregistre lui une hausse de 738% au cours de la même période….

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Lave-Vaisselle : 3 pastilles naturelles qui lavent vraiment

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Les pastilles lave-vaisselle sont néfastes pour l’environnement. Il est facile de les remplacer par des pastilles faites à la maison. Nos recettes.

Du bicarbonate de soudre pour dégraisser

Si vous employez les bons ingrédients, les tablettes lave-vaisselle sont écologiques et efficaces. Ce qu’il faut employer ? Du bicarbonate de soude pour nettoyer, dégraisser, désodoriser, des cristaux de soude pour dégraisser, de l’acide citrique pour détartrer, du gros sel pour détacher et désodoriser. Vous avez ainsi l’équivalent des tablettes vendues dans le commerce. « Il faut cependant faire attention à ne pas mettre trop de poudre lave-vaisselle maison dans le lave-vaisselle car cela laisse des résidus » informe Céline Touati, naturopathe à Courbevoie. Certaines personnes ne mettent ainsi qu’une demi pastille ou un quart de pastille dans leur lave-vaisselle.

Son autre conseil : remplacer le liquide de rinçage par du vinaigre blanc.

Une recette avec du savon de Marseille

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Ces produits toxiques pour l’air de votre maison

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Au travers d’une étude, des chercheurs américains pointent du doigt la pollution intérieure engendrée par les tâches ménagères quotidiennes comme la cuisine et le ménage, et invitent à une plus grande considération des risques qui y sont liés.

La pollution est souvent associée à l’air extérieur. Mais qu’en est-il de l’air de notre maison ? Au travers d’une étude publiée le 17 février 2019, des chercheurs de l’université du Colorado aux Etats-Unis révèlent que les tâches ménagères et les produits ou appareils utilisés pour les réaliser contribuent grandement à la pollution de l’air intérieur.

Dans la maison, des taux de particules équivalents à ceux « des grandes villes polluées »

Pour arriver à ce constat, les chercheurs se sont attelés à contrôler la qualité de l’air d’une maison d’environ 110m² en y posant des capteurs et des caméras. Durant un mois de l’année 2018, ils y ont réalisé des tâches ménagères, comme la cuisine, le nettoyage, etc. Résultats : des taux importants de particules chimiques ont été relâchées, équivalents à ceux « des grandes villes polluées », expliquent les auteurs de l’étude. Ils précisent : « Le simple fait de griller une tartine ou de faire…

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Zyrtec® : un risque de dépendance mis en évidence

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Des milliers d’Américains expérimentent un syndrome de sevrage lié à l’antihistaminique Zyrtec®, souffrant de démangeaisons intenses. Des risques qui ne sont pourtant pas précisés sur les boîtes du médicament, vendu sans ordonnance outre-Atlantique.

« Un enfer ». C’est ce que des milliers de patients américains sous Zyrtec®, un antihistaminique indiqué dans le traitement des symptômes de l’allergie, vivent au moment de l’arrêt du médicament. Vendu sans ordonnance aux Etats-Unis, il provoquerait un syndrome de sevrage qui se manifesterait, entre autres, par des démangeasions à la limite du supportable.

Impossible d’arrêter le Zyrtec® à cause de démangeaisons « insupportables »

Un paradoxe, quand on sait que le Zyrtec® est censé soulager le prurit lié à l’allergie. En 2016, plusieurs cas de démangeaisons intenses ont été récensés également aux Pays-Bas. « Ces patients prenaient ces antihistaminiques de manière continue pendant des mois voire des années, expliquent les pharmacologues. Ils ont essayé plusieurs fois de les arrêter, mais s’en sentaient incapables à cause de ces démangeaisons insupportables et exaspérantes » qui apparaissaient au bout de quelques jours seulement après l’arrêt du…

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